Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.
Chargement... Tinker, tailor, soldier, spy (original 1974; édition 1974)par John Le Carre
Information sur l'oeuvreLa Taupe par John le Carré (1974)
Best Spy Fiction (1) » 41 plus Top Five Books of 2013 (216) Folio Society (94) Best LGBT Fiction (18) Books Read in 2018 (168) Top Five Books of 2018 (518) 20th Century Literature (467) Books Read in 2020 (717) 1970s (151) Movie Adaptations (69) Swinging Seventies (10) Favourite Books (1,294) Finished in 2021 (2) Books Read in 2023 (2,233) Books Read in 2021 (3,228) Five star books (928) Big Jubilee List (19) stories at work (31) A's favorite novels (43) BBC Radio 4 Bookclub (257) Books set in Prague (24) Chargement...
Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre
Lors de la sortie du film, au lieu de faire comme tout le monde en allant passer quelques heures assis dans une salle obscure, je me suis mis en tête de lire le livre. Pour avoir lu plusieurs de ses romans, je connaissais et j'appréciais le travail de John le Carré. Je pense que mes lectures datent un peu car j'avais oublié la complexité de ses romans d'espionnage. Ce n'est pas vraiment l'intrigue qui est complexe bien que ces histoires d'agents doubles ne coulent pas toujours de source. La complexité tient selon moi à deux choses: - L'abondance des personnages, leur rôle, leurs motivations et les interactions qu'il y a entre eux. - Le mode de narration. Bien que la perspective ne soit pas toujours celle de Georges Smiley, le lecteur l'accompagne souvent lors de ses recherches et découvre l'histoire, recolle les morceaux en même temps que lui. Le "en même temps que lui" n'étant pas garanti car, pour cela, il faut avoir tout suivi et s'en souvenir. N'est pas Georges Smiley qui veut. Je pense que le contexte complexe de la guerre froide n'aide pas et que le fait que La taupe soit le cinquième roman mettant en scène Smiley le maître espion non plus ! Une fois que l'on a dit cela, il n'en reste pas moins un livre très réussi bien qu'extrêmement exigeant — ce n'est pas antinomique. Ne comptez pas le lire d'un oeil distrait ou avec la télé allumée en fond sous peine d'être complètement largué au bout de quelques pages. Ici, chaque phrase compte. Cette précision exercera un attrait sur les lecteurs qui s'ennuient à lire des polars basiques construits comme des passe-temps pour la plage. De mon côté, quelques — c'est un euphémisme — retours arrières auront été nécessaires pour venir à bout de ce livre sans rater trop de choses. Une expérience convaincante mais fatigante. La prochaine fois, je ne me ferai pas avoir par le cinéma et je commencerai par le début de la série L'appel du mort. http://www.aubonroman.com/2012/02/la-taupe-par-john-le-carre.html Lorsqu’un livre me plaît, je lis volontiers dans le train en allant au boulot et en en revenant. Lorsqu’un livre m’accroche sérieusement en plus du train je lis également en me couchant mais alors si un livre me passionne, que j’ai envie de le dévorer je suis prêt à faire l’asocial sur ma pause de midi pour m’isoler et lire… Tout ça pour dire, que La Taupe de John le Carré, j’ai mis presque un mois à le lire, donc non je ne l’ai pas souvent lu dans le train, jamais en me couchant et mes collègues ne m’ont pas vu disparaître durant tout ce temps-là à la pause déjeuné. Ce livre a pourtant une excellente critique, c’est pas pour rien qu’il figure dans la liste des 110 meilleurs livres… Bon sang j’ai loupé quoi?! Pour faire l’analyse de ma non-motivation à lire ce livre je crois que l’on peut résumer ça à peu de choses: des personnages qui ne m’ont pas forcément marqué, un départ trop lent et une intrigue un peu vague. Souvent en lisant je me disais “ah oui celui-là c’est qui déjà? — il est arrivé quand? — il est dans quel camp?”. Je crois pas que c’est par manque de compréhension mais vraiment plus un manque d’emprise. Prenons par exemple le pauvre Smiley — le personnage principal — il est certes intelligent, il avance gaillardement dans son enquête mais bref, il fait pas envie! Il aime sa Ann qui ne l’aime plus, il est persuadé qu’elle l’a trompé, il l’a voit plus et il est complètement morose. En plus on comprend rapidement qu’il s’est fait jeter par les services secrets, bref c’est pas la joie sa vie. D’ailleurs pour ne citer qu’un extrait du livre, voilà ce que ça donne: L’espace d’un moment, voilà ce qu’était Smiley: un espion bedonnant et pieds nus, comme dirait Ann, déçu en amour et impuissant dans la haine, serrant un pistolet dans une main, un bout de ficelle dans l’autre, tout en attendant dans l’obscurité. Triste non? C’est pas seulement la morosité qui m’a rebuté. La lenteur aussi. Au départ on se trouve dans un collège avec un gamin qui rencontre un nouveau prof avec qui se crée un certain lien… Mais c’est long! L’action tarde à venir, l’intrigue aussi, on ne sait pas pourquoi on est là, ni quand d’ailleurs. Bref, je n’ai pas envie de dégoûter les amateurs de livres et peut-être — je l’espère — que j’ai loupé un truc mais personnellement ce ne sera pas mon livre de chevet de sitôt. Il me faudra certainement le relire un jour pour essayer de percer la chose et comprendre pourquoi un si grand nombre de gens adorent ce livre, disant même que c’est l’un des tous meilleurs livres d’espionnage. [publié à l'origine sur http://me.jacquemin.ch/post/critique-de-livre-la-taupe-de-john-le-carre]
10 of the Greatest Cold War Spy Novels “Like Fleming, Le Carré (real name: David John Moore Cornwall) worked for British intelligence. But where Fleming used his WW 2 experiences as a springboard for fantasy, Le Carre turned his Cold War service into grimly realistic novels. The Spy Who Came in From the Cold (1963) trumped Deighton as a response to James Bond’s glamourous world of espionage, and he continues to turn out fine work to this day. Tinker charts the search for a Soviet mole in the upper echelons of British intelligence, providing Le Carré’s signature character – the low-key professional George Smiley – with a late-in-the-game chance to reclaim his standing in the Circus (MI6), made bittersweet by betrayal. A fine BBC serialization in 1974 was followed by an equally well-received feature-film version in 2011.” Karla is finally lured across a Berlin bridge and into the West. But, again, what figure is cut by the evil mastermind when he appears? “He wore a grimy shirt and a black tie: he looked like a poor man going to the funeral of a friend.” Le Carré has never written a better sentence, one so impatient of ideology and so attentive to what he, following W. H. Auden, describes plainly as “the human situation.” The television series of “Tinker Tailor Soldier Spy” has lost none of its grip, and the new film will recruit new friends to the cause; but if we seek George Smiley and his people, with their full complement of terrors, illusions, and shames, we should follow the example of the ever-retiring Smiley, and go back to our books. That’s the truth The power of the novel is that le Carré transfigured espionage – its techniques, failures and deceptions – into a rich metaphor combining national decay, the disintegration of certainties with advancing age, the impossibility of knowing another human being's mind, the fragility of all trust and loyalty. "Tinker, Tailor, Soldier, Spy" is fluently written; it is full of vivid character sketches of secret agents and bureaucrats from all levels of British society , and the dialogue catches their voices well. The social and physical details of English life and the day to day activities of the intelligence service at home and abroad are convincing. Unlike many writers Le Carré is at his best showing men hard at work; he is fascinated by the office politics of the agency since the war. Est contenu dansFait l'objet d'une adaptation dansPrix et récompensesDistinctionsListes notables
British agent George Smiley hunts for a mole in the Secret Service and begins his epic game of international chess with his Soviet counterpart, an agent named Karla. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Discussion en coursTinker Tailor Soldier Spy LE??! à Folio Society Devotees Couvertures populaires
Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.914Literature English & Old English literatures English fiction Modern Period 1901-1999 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
Est-ce vous ?Devenez un(e) auteur LibraryThing. |
Il s'agit d'une chasse à l'agent double dans les couloirs du « Cirque », comme Le Carré surnommait le service de renseignements extérieurs du Royaume-Uni (MI6).
Ce roman fait partie d'une trilogie des années 1970: le héros timide de Le Carré, George Smiley, y déjoue les pièges de son rival soviétique, Karla.
Le roman a été adapté à la télévision - avec Alec Guinness pour incarner Smiley - et au cinéma en 2011, avec une distribution de stars comprenant Gary Oldman, Colin Firth, John Hurt et Benedict Cumberbatch.
> L'espion qui venait du froid, Un pur espion, La Taupe... Les livres qui ont fait la gloire de John Le Carré
Décédé à l'âge de 89 ans, le romancier britannique laisse derrière lui vingt-cinq ouvrages au succès colossal. L'ancien employé du MI6 a vu une grande partie de son œuvre adaptée au cinéma.
Maître britannique du roman d'espionnage et auteur au succès aussi bien critique que public, John le Carré est décédé à l'âge de 89 ans. Durant sa longue carrière, l'écrivain a publié 25 livres, qui se sont écoulés à quelque 60 millions d'exemplaires dans le monde entier. Voici un choix non exhaustif de ses œuvres les plus admirées, pour la plupart adaptées sur grand écran, depuis le début d ses débuts en 1961 jusqu'en 2011. … ; (en ligne),
URL : https://amp-lefigaro-fr.cdn.ampproject.org/c/s/amp.lefigaro.fr/livres/le-directe...