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Janny Wurts

Auteur de Fille de l'empire

72+ oeuvres 19,507 utilisateurs 335 critiques 70 Favoris

A propos de l'auteur

Janny Wurts Janny Wurst began her writing career while still in high school, when she wrote several novels which she never published. After graduation and a self-financed trip to Europe, Wurts knew that she wanted to create something spectacular but needed life experiences to add a flavor of afficher plus reality to it. While still in college, she conceived the idea for "The Wars of Light and Shadow." But she was also drawn to painting, and first achieved success as a commercial illustrator for major New York publishing houses, with the intention of using her skill to create covers for her own books. After years of working as an illustrator, Wurts sold her first novel, "Sorcerer's Legacy," in 1982. It was followed by the "Cycle of Fire" coming of age trilogy: "Stormwarden" in 1984, "Keeper of the Keys" in 1986 and "Shadowfane" in 1988. Raymond E. Feist, a fellow fantasy author, asked Wurts to co-author a series set on the Tsurani world that he had created. The resulting Empire trilogy of "Daughter of the Empire," published in 1987, "Servant of the Empire" in 1990 and "Mistress of the Empire" in 1992, was an international bestseller which placed Wurts in the spotlight and named her a true fantasy writer. The project for which she is best known is the "Wars of Light and Shadow" series, of which new stories are still being written. (Bowker Author Biography) afficher moins

Séries

Œuvres de Janny Wurts

Fille de l'empire (1987) — Artiste de la couverture, quelques éditions; Auteur — 3,712 exemplaires
Pair de l'empire (1990) 3,131 exemplaires
Maîtresse de l'empire (1992) — Auteur — 3,004 exemplaires
La Brume des spectres (1993) — also cover artist, quelques éditions1,350 exemplaires
Les Nefs de Merior (1994) — also cover artist, quelques éditions850 exemplaires
Fugitive Prince (1997) — Artiste de la couverture, quelques éditions753 exemplaires
Stormwarden (1984) — Artiste de la couverture, quelques éditions729 exemplaires
L'Armée de Vaste-Marche (1995) — Artiste de la couverture, quelques éditions719 exemplaires
Keeper of the Keys (1988) — Artiste de la couverture, quelques éditions572 exemplaires
Grand Conspiracy (1999) — Artiste de la couverture, quelques éditions568 exemplaires
Shadowfane (1988) — Artiste de la couverture, quelques éditions558 exemplaires
The Master of Whitestorm (1992) — Artiste de la couverture, quelques éditions527 exemplaires
To Ride Hell's Chasm (2003) — Author and Cover Artist — 518 exemplaires
Peril's Gate (2001) — Artiste de la couverture, quelques éditions507 exemplaires
Sorcerer's Legacy (1982) — Artiste de la couverture, quelques éditions435 exemplaires
Traitor's Knot (2004) — Artiste de la couverture, quelques éditions414 exemplaires
Stormed Fortress (2007) — Artiste de la couverture, quelques éditions302 exemplaires
That Way Lies Camelot (1981) — Artiste de la couverture, quelques éditions299 exemplaires
Initiate's Trial (2011) 186 exemplaires
The Cycle of Fire (1999) 151 exemplaires
Destiny’s Conflict (2017) 79 exemplaires
Curse of the Mistwraith, Part 2/2 (1998) 10 exemplaires
Ships of Merior, Part 1/2 (1999) 7 exemplaires
Ships of Merior, Part 2/2 (1999) 6 exemplaires
Curse of the Mistwraith, Part 1/2 (1998) 4 exemplaires
Sorcerer's Legacy (2018) 3 exemplaires
Wayfinder (1994) 2 exemplaires
the gallant 2 exemplaires
Pán bílé bouře (1999) 2 exemplaires
Chrám stínů 1 exemplaire
Decoy 1 exemplaire
Initiates Trial 1 exemplaire
Shadowfaine 1 exemplaire
The Decoy 1 exemplaire
Silverdown's Gold [novelette] (1991) 1 exemplaire
Triad 1 exemplaire
Moebius Trip 1 exemplaire
Finder's Keeper 1 exemplaire
Cat Call 911 1 exemplaire
The Antagonist [novelette] (1988) 1 exemplaire
Double Blind [novelette] (1989) 1 exemplaire
No Quarter [short story] (1991) 1 exemplaire
Triple-Cross [novelette] (1990) 1 exemplaire
The Crash [short story] (1994) 1 exemplaire
The Firefall [short story] (1994) 1 exemplaire
The Snare [short story] (1994) 1 exemplaire
Dreambridge [short story] (1993) 1 exemplaire
Song's End [short story] (1989) 1 exemplaire
The Renders [short story] (1981) 1 exemplaire
To Ride Hells Chasm 1 exemplaire

Oeuvres associées

Jack Barron et l'éternité (1969) — Artiste de la couverture, quelques éditions751 exemplaires
Flights: Extreme Visions of Fantasy (2004) — Contributeur — 395 exemplaires
The Blood of Ten Chiefs Vol. 1 (1986)quelques éditions350 exemplaires
Grails: Quests of the Dawn (1992) — Contributeur — 234 exemplaires
Winds of Change: The Blood of Ten Chiefs Vol.3 (1989) — Contributeur, quelques éditions179 exemplaires
Tempest: All-New Tales of Valdemar (2016) — Contributeur — 178 exemplaires
Elemental (2006) — Contributeur — 175 exemplaires
Horse Fantastic (1991) — Contributeur — 174 exemplaires
Fantasy Gone Wrong (2006) — Contributeur — 174 exemplaires
Father to the Stars (1981) — Artiste de la couverture, quelques éditions173 exemplaires
Dragons of Darkness (1981) — Illustrateur, quelques éditions170 exemplaires
Counter Attack (1988) — Contributeur — 168 exemplaires
Sisters in Fantasy (1995) — Contributeur — 161 exemplaires
Against the Wind (Blood of Ten Chiefs, No 4) (1990) — Auteur, quelques éditions146 exemplaires
Elsewhere: Tales of Fantasy (1982) — Contributeur — 144 exemplaires
Pathways: All-New Tales of Valdemar (2017) — Contributeur — 139 exemplaires
Breakthrough (1989) — Contributeur — 133 exemplaires
Unfettered II: New Tales by Masters of Fantasy (2016) — Contributeur — 122 exemplaires
Choices: All-New Tales of Valdemar (2018) — Contributeur — 115 exemplaires
Highwaymen: Robbers and Rogues (1997) — Contributeur — 112 exemplaires
Total War (1990) — Auteur — 105 exemplaires
The Lord of Horses (1996) — Artiste de la couverture, quelques éditions98 exemplaires
The Solaris Book of New Fantasy (2007) — Contributeur — 92 exemplaires
Crisis (1991) — Contributeur — 91 exemplaires
Under Cover of Darkness (2007) — Contributeur — 84 exemplaires
Evil Is a Matter of Perspective: An Anthology of Antagonists (2017) — Contributeur — 73 exemplaires
Catopolis (2008) — Contributeur — 70 exemplaires
The Best Science Fiction of the Year #13 (1984) — Artiste de la couverture, quelques éditions62 exemplaires
Flights: Extreme Visions Fantasy, Vol II (2006) — Contributeur — 45 exemplaires
Intelligent Design (2009) — Contributeur — 42 exemplaires
Planet in Peril (1987) — Traducteur, quelques éditions36 exemplaires
Fantastic Companions (2005) — Contributeur — 34 exemplaires
Grails: Quests, Visitations and Other Occurrences (1992) — Contributeur — 24 exemplaires

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Critiques

Raymond Feist fait partie sans l’ombre d’un doute des auteurs de fantasy indécrottables, ceux qui se sont inspirés de Tolkien pour créer de longues séries à succès. Tout part de « La Guerre de la Faille » (appelée Chroniques de Krondor par l’éditeur poche) : Feist y met en scène une guerre acharnée entre deux mondes, l’un venant conquérir l’autre pour les richesses en métal dont lui-même est dépourvu. Cet épisode sanglant est décrit par les yeux du peuple agressé et donne quelques-uns des personnages les plus connus de l’auteur (Pug, Jimmy les mains vives,…). Feist va ensuite avoir l’idée de raconter le même événement par le point de vue du peuple conquérant, et va s’associer à Janny Wurts, artiste aux multiples talents, pour y parvenir.
La trilogie de l’Empire se déroule sur Kelewan, univers sorti de l’imaginaire de Raymond Feist s’inspirant très largement du Japon médiéval. La vie de l’Empire de Tsuranuanni est rythmée par le jeu du Conseil, un savant tissu d’intrigues, d’alliances et de trahisons que les grandes familles nobles ont l’habitude de pratiquer. Tous les coups sont permis à condition que le chef de famille préserve l’honneur de sa maison. Mara des Acoma a issé sa famille parmi les plus respectées de l’Empire et s’est vue accorder le titre très honorifique de « Pair de l’Empire », ce qui n’a fait que renforcer son influence et son prestige... ainsi que l’avidité de ses ennemis. Les tentatives d’assassinat perpétrées par Jiro des Anasati se multiplient et la tension croit entre les partisans du changement menés par Mara et les partis traditionalistes. Au bord de la guerre civile, Mara conduit l’Empire sur la voie de la modernité.
Si les retournements de situation sont toujours aussi nombreux et percutants, une certaine lassitude s’installe au cours de la lecture, les deux auteurs reprenant le schéma des narratifs des deux tomes précédents, à savoir une situation tendue et dangereuse à laquelle succède un jeu de manipulations politiques démontrant l’habileté et l’intelligence du protagoniste principal. Maîtresse de l’Empire poursuit également la critique de valeurs sociales d’un autre âge tel que le féodalisme ou la domination des femmes par les hommes, sans beaucoup de finesse finalement, ce qui peut finir par porter sur les nerfs à la longue. Au demeurant, la maîtrise de Feist et Wurts est suffisamment bonne pour tenir le lecteur en haleine tout au long du récit. Un bon roman d’aventure dans un univers d’inspiration orientale, c’est ça qu’il faut retenir.
Extrait : « Nos souverains ont soif de pouvoir pour l’honneur, pour le prestige, pour leurs propres plaisirs, sans penser aux souffrances des sujets qu’ils gouvernent. »
… (plus d'informations)
½
 
Signalé
corporate_clone | 29 autres critiques | Jul 7, 2010 |
Raymond Feist fait partie sans l’ombre d’un doute des auteurs de fantasy indécrottables, ceux qui se sont inspirés de Tolkien pour créer de longues séries à succès. Tout part de « La Guerre de la Faille » (appelée Chroniques de Krondor par l’éditeur poche) : Feist y met en scène une guerre acharnée entre deux mondes, l’un venant conquérir l’autre pour les richesses en métal dont lui-même est dépourvu. Cet épisode sanglant est décrit par les yeux du peuple agressé et donne quelques-uns des personnages les plus connus de l’auteur (Pug, Jimmy les mains vives,…). Feist va ensuite avoir l’idée de raconter le même événement par le point de vue du peuple conquérant, et va s’associer à Janny Wurts, artiste aux multiples talents, pour y parvenir.
La trilogie de l’Empire se déroule sur Kelewan, univers sorti de l’imaginaire de Raymond Feist s’inspirant très largement du Japon médiéval. La vie de l’Empire de Tsuranuanni est rythmée par le jeu du Conseil, un savant tissu d’intrigues, d’alliances et de trahisons que les grandes familles nobles ont l’habitude de pratiquer. Tous les coups sont permis à condition que le chef de famille préserve l’honneur de sa maison. Lors du tome précédent, Mara avait reçu la charge de sa maison dans des conditions dramatiques, et héritait donc d’un domaine à la survie improbable. Par son intelligence et son sens de la politique, elle est parvenue en quelques années à refaire de la maison Acoma une maison puissante et respectée. Dans Pair de l’Empire, la lutte contre la maison Minwanabi s’intensifie et devient le métronome du jeu du Conseil. Mara succombe au charme d’un jeune esclave midkemian, à la culture si différente de la sienne, et tente de préserver l’intimité de sa vie amoureuse en dépit de la guerre acharnée qu’elle mène aux Minwanabi. Le jeune Kevin va également devenir l’artisan de sa victoire, puisque la Dame des Acoma met à profit la créativité du jeune homme pour implémenter des tactiques innovantes sur le champ de bataille de la politique de l’Empire de Kelewan.
Pair de l’Empire continue sur la lancée du volume précédent ; les auteurs sont parvenus à reproduire la même constance de qualité tout au long des 600 pages qui constituent le roman. Feist et Wurts parviennent même à monter le rythme d’un cran : les manœuvres deviennent plus mortelles, les pertes plus douloureuses et l’ennemi plus impitoyable. Cependant, Pair de l’Empire n’est pas qu’une version dopée de Fille de l’Empire. Mara des Acoma y est décrite avec plus de profondeur quitte à délaisser un peu de la pudeur du premier tome. C’est le roman de ceux qui changent l’ordre établi et font fi des traditions tellement bien enracinées que ceux qui les observent ont oublié depuis bien longtemps les raisons pour lesquelles elles ont été établies. Un roman pour ceux qui ne font pas que nager à contre-courant, mais qui remontent à la source du fleuve pour dévier son cours. Le combat progressiste de Mara est admirable et humble, alors il faut le lire… Il est toutefois dommage que l’histoire se traîne de temps à autre, un amincissement d’une centaine de pages aurait été le bienvenu.
Extrait : « Les gens du peuple ne sont jamais concernés par les affaires des puissants, à moins qu’ils aient le malheur de se trouver sur leur chemin. Alors ils meurent. Sinon, leurs vies continuent, chaque jour de travail ressemblant au précédent. »
… (plus d'informations)
 
Signalé
corporate_clone | 34 autres critiques | Jul 7, 2010 |
Raymond Feist fait partie sans l’ombre d’un doute des auteurs de fantasy indécrottables, ceux qui se sont inspirés de Tolkien pour créer de longues séries à succès. Tout part de « La Guerre de la Faille » (appelée Chroniques de Krondor par l’éditeur poche) : Feist y met en scène une guerre acharnée entre deux mondes, l’un venant conquérir l’autre pour les richesses en métal dont lui-même est dépourvu. Cet épisode sanglant est décrit par les yeux du peuple agressé et donne quelques-uns des personnages les plus connus de l’auteur (Pug, Jimmy les mains vives,…). Feist va ensuite avoir l’idée de raconter le même événement par le point de vue du peuple conquérant, et va s’associer à Janny Wurts, artiste aux multiples talents, pour y parvenir.
La trilogie de l’Empire se déroule sur Kelewan, univers sorti de l’imaginaire de Raymond Feist s’inspirant très largement du Japon médiéval. La vie de l’Empire de Tsuranuanni est rythmée par le jeu du Conseil, un savant tissu d’intrigues, d’alliances et de trahisons que les grandes familles nobles ont l’habitude de pratiquer. Tous les coups sont permis à condition que le chef de famille préserve l’honneur de sa maison. Mara est la fille de Sezu des Acoma, une des dix familles les plus puissantes de l’Empire. Son frère étant nommé successeur, elle se prépare à une longue vie monastique comme servante dans le temple de Lashima. Jusqu’au jour où des soldats viennent lui annoncer la mort de son père et de son frère, ainsi que de deux mille cinq cents soldats Acoma sur le monde barbare où se déroule la guerre. Elle se retrouve catapultée reine des Acoma, à la tête d’une armée réduite à cinquante guerriers, et Jingu des Minwanabi, adversaire des Acoma, s’apprêtant à finir le travail de destruction de sa famille, déjà bien entâmé. Mara va devoir déployer ruse et intelligence pour sauver le prestige des Acoma et… prendre sa revanche sur ses ennemis. Qui sera le plus habile au jeu du Conseil ?
Fille de l’Empire est un excellent roman. L’ambiance japonisante est très bien rendue par les nombreux détails de la vie sociale, l’illusion est parfaite. L’intrigue du roman est parfaitement déroulée, rebondissements, action et jeux d’influence subtils se succèdent à grande vitesse. Définitivement une très belle réussite romanesque, il est difficile de trouver des points faibles : les personnages sont tous bien posés, et ce malgré leur nombre conséquent. Feist et Wurts savent mettre à profit leurs qualités de vieux briscards du roman d’aventure pour semer le lecteur régulièrement et le surprendre sans cesse. Le procédé est souvent vil (cacher aux lecteurs des conversations entre personnages principaux ou des informations détenues par ceux-ci), mais il est redoutablement efficace. On se laisse prendre au jeu et voir Mara monter les marches de la sphère politique en déjouant les pièges est jouissif. Peut-être faut-il regretter l’écriture qui manque souvent de relief, même si elle ne pose aucun problème à la lecture.
Extrait : « […:] Ses idées se transformaient en intrigues, le début d’un plan extrêmement complexe qui la conduirait bien au-delà de la simple survie, vers une ambition qui étourdissait son jeune esprit.
Le temps passant, Mara savait que ses plans devraient être modifiés pour prendre en compte les changements inattendus des équilibres de pouvoir et des alliances du jeu du Conseil. Mais la résolution venait avant les moyens et la méthode. Elle devrait passer des années à apprendre, avant que n’arrive à terme ce qu’elle appelait intérieurement son grand projet. »
… (plus d'informations)
½
 
Signalé
corporate_clone | 66 autres critiques | Jul 7, 2010 |

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