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Chris Wooding

Auteur de Frey, T1

46+ oeuvres 7,226 utilisateurs 275 critiques 21 Favoris
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A propos de l'auteur

Crédit image: Chris Wooding

Séries

Œuvres de Chris Wooding

Frey, T1 (2009) 1,010 exemplaires
Poison (2003) 775 exemplaires
The Haunting of Alaizabel Cray (2001) 749 exemplaires
Storm Thief (2006) 658 exemplaires
Malice (2009) 461 exemplaires
Frey T02 L'Épave perdue (2010) 393 exemplaires
The Iron Jackal (2011) 301 exemplaires
The Ember Blade (2018) 272 exemplaires
Silver (2013) 247 exemplaires
The Ace of Skulls (2013) 183 exemplaires
Havoc (2010) 182 exemplaires
Pandemonium (2012) 164 exemplaires
The Fade (2007) 156 exemplaires
Broken Sky #1: Escape the evil. (1999) 122 exemplaires
Kerosene (1999) 114 exemplaires
Broken Sky #2: Defy It! (1999) 91 exemplaires
Broken Sky #3: Survive. (2000) 71 exemplaires
Broken Sky #6: Take Control! (1656) 69 exemplaires
The Citadel (2001) 65 exemplaires
Broken Sky #5: Truth Hurts. (1999) 64 exemplaires
Crashing (1998) 62 exemplaires
Pale (2012) 60 exemplaires
Broken Sky #4: Revenge! (1999) 58 exemplaires
Velocity (2015) 54 exemplaires
The Shadow Casket (2023) 34 exemplaires
The Twilight War (2000) 31 exemplaires
Communion (2008) 25 exemplaires
Endgame (2000) 19 exemplaires
Catchman (1998) 17 exemplaires
Broken Sky Part 8 (1999) 16 exemplaires
Broken Sky Part 9 (1999) 13 exemplaires
Broken Sky Part 7 (1999) 4 exemplaires
Out of This World (2020) 3 exemplaires
Viharni tat 1 exemplaire
Broken Sky Communion 1 exemplaire
Jack from Earth (2019) 1 exemplaire

Oeuvres associées

The Restless Dead: Ten Original Stories of the Supernatural (2009) — Contributeur — 200 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1977-02-28
Sexe
male
Nationalité
UK
Lieu de naissance
Leicester, Leicestershire, England, UK
Lieux de résidence
London, England, UK
Études
University of Sheffield (BA|English Literature)
Professions
Author

Membres

Discussions

Critiques

Rappel de l’histoire : dans un monde imaginaire médiéval-japonisant-fantasy (trouvez m’en un deuxième et on pourra tenter d’inventer un nouveau genre de fantasy ^^) où les nobles assoient leur puissance sur le peuple grâce à une mystérieuse caste de sorciers qui peuvent, entre autres, communiquer entre eux sur de très longues distance grâce à une forme de télépathie, une jeune fille voit sa famille décimée par d’horribles mutants et découvre lors de se traumatisme qu’elle est elle-même une mutante dotée de pouvoirs destructeurs. L’enquête sur le meurtre de sa famille, aidée de différents compagnons, l’amène à découvrir que ces horribles démons ne sont que les jouets de cette caste de sorciers qui ourdissent un gigantesque complot visant à dominer le monde. C’est une fois de plus du « Orphelin/Rois/Vil-sorcier ».

J’avais critiqué le premier tome parce que le décor avait été dressé très rapidement, les protagonistes catapultés sur scène et l’intrigue cousue une fois de plus de fil blanc voire tendant au plagiat de la série des Guerriers du Silence de Pierre Bordage. Je ne reviendrais pas là dessus, ce tome était effectivement assez brusque. Ceci dit, les deux autres tomes rattrapent tout ça. Justement, à quelques détails près, le décor est posé, l’équipe de protagonistes est opérationnelle et la trame se déroule énergiquement. On a alors l’occasion de mieux connaitre les royaumes de Saramyr au fur et à mesure qu’ils se délitent sous l’influence des tisserands. Contrairement à ce que j’accusais précédemment, on dévie petit à petit du scénario des guerriers du silence (population incrédule manipulée en douce par les méchants) pour rentrer directement dans la confrontation violente et à une guerre d’influence entre les partisans de l’héroïne (je simplifie…), les nobles qui veulent garder leur pouvoir et les tisserands.

Le récit est bien mené avec des intrigues personnelles, des moments épiques, des victoires éclatantes et des échecs amers. Le traitement se veut réaliste faisant des royaumes de Saramyr un univers impitoyable et cruel qui n’a pas tellement à envier à l’ambiance du Trone de fer. Je m’arrête de suite au niveau de la comparaison : dans le Trone de fer, c’est surtout complots et coups bas qui engendrent des drames alors que dans la Croisée des chemins, c’est surtout la fantasy (le merveilleux, la magie, les monstres) très présente qui génère des moments de cauchemars et des tragédies sanglantes. Toujours est-il que Chris Wooding ne s’autocensure pas (sauf qu’il n’y a pas de cul) tout comme G.R.R. Martin. Les protagonistes de Wooding semblent plus précieux que chez Martin mais quand il faut décorer une chambre de tisserand c’est pas du taupe et du lin façon Damidot mais des écorchés, de la merde et du bon gros cadavre. Ajoutez là dessus une petite peuplade qui semble donner un exemple très positif de l’expérience marxiste et je ne peux être que satisfait.

Je vous invite donc à faire fi de ma première critique et de lire cette trilogie qui se lit rapidement.
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Signalé
Chassegnouf | 1 autre critique | Jan 4, 2014 |
« Le royaume de Saramyr : La croisée des chemins » de Chris Wooding en format poche (Pocket Fantasy). Il semble qu’il porte un titre différent en grand format (Fleuve Noir – Rendez Vous Ailleurs) : « les tisserands de Saramyr » à la place de « le royaume de Saramyr », ça vous aidera peut-être si vous préférez collectionner les bouquins à ce format-là…Le royaume de Saramyr : La croisée des chemins de Chris Wooding Le contexte et l’histoire sans trop en révéler. C’est un univers médiéval-fantastique qui se veut japonisant mais pas trop : il y a un système féodal qui y ressemble vaguement (mais avec des noms différents : barak à la place de daimyo, etc.

), une étiquette draconienne, des moines qui font un peu penser aux shintoïstes, un climat estival caniculaire et des maisons avec des paravents mais c’est à peu près tout. Sachant que j’ai acheté le bouquin pour sa prétendue ambiance japonisante, je n’ai pas trouvé ce que je cherchais. Mais ce n’est pas grave…Les familles nobles (ou riches) ont acquis (et gardent) leur pouvoir grâce à une alliance avec une mystérieuse caste, les tisserands. Ce sont des personnes qui tirent divers pouvoirs du mystérieux masque dont ils ne se séparent jamais : ils ont la capacité de communiquer à distance, d’espionner à travers une sorte de dimension parallèle, etc. En contrepartie, quand ils émergent de leur voyage dimensionnel, ils sont assaillis par une irrésistible et meurtrière vague de colère , leurs employeurs doivent donc les laisser se défouler selon leur bon vouloir et fermer les yeux devant telles débauches pour profiter de leurs précieux pouvoirs.

Outre le service envers leurs riches employeurs, les tisserands ont un hobby : traquer et éliminer ce que la population appelle les aberrants, ce sont des enfants qui développent des malformations et/ou des pouvoirs magiques. Ce bouquin relate les aventures de 2 de ces aberrants : d’un côté, Kaiku, une fille de nobliau, qui ne comprend rien à ce qui lui arrive et qui fait tout pour découvrir les tenants et aboutissants de la chute de sa famille. De l’autre côté, il y a Lucia, l’unique héritière de l’impératrice de Saramyr dont la future montée sur le trône impérial déplairait à la majorité du royaume. Je m’arrête là pour l’histoire même si on se doute que, bien sûr, tout est lié…Mon avis à moi : Il y a un arrière-gout assez prononcé qui rappelle l’œuvre de Pierre Bordage, « les guerriers du silence » dans laquelle d’innocents mystiques (ou futurs mystiques) se retrouvent traqués par une caste d’autres (affreux) mystiques, les scaythes, qui en parallèle complotent pour prendre le contrôle/détruire l’univers tout entier. Sans prendre trop de risques, je parie que la suite de cette saga y ressemblera beaucoup. On va dire que ce n’est pas le pillage, ni vu ni connu, d’une œuvre française par un anglais mais plutôt un exercice de style, un hommage. On y croit…Bon, après, il faut s’intéresser au traitement du sujet. Ca ne casse pas des briques non plus. Comme je l’ai expliqué en haut, l’ambiance japonisante n’est qu’un leurre, ça me fait plus penser à une mise en scène d’occidentaux déguisés en orientaux. L’habit ne fait pas le moine comme on dit. Ce qui m’a déplu au niveau du décorum, du monde dans lequel les protagonistes évoluent, c’est qu’il est peu décris. Malgré la carte au début du bouquin (pour faire comme les autres auteurs de fantasy ?), ce monde est creux, lisse, il n’y a pas de vie sans les protagonistes.

L’autre mauvais point, c’est que j’ai eu l’impression que l’auteur s’est dépêché d’enchainer les évènements après avoir mis du temps à nous avoir fait miroiter leur éventualité ou nous jeter des personnages dans le récit et les mettre en scène sans nous laisser le temps de nous familiariser avec eux. Rien de plus frustrant à mes yeux.

C’est donc déçu que j’ai clos ce bouquin qui pourtant fourmille d’idées originales à développer. Bon bien sûr, c’est le premier bouquin d’une saga et je vais me sentir obligé de lire la suite… ^^
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Signalé
Chassegnouf | 7 autres critiques | Jan 4, 2014 |
Ce livre est une histoire de pirates, à ceci près que ces pirates ont des aéronefs à la place des bateaux et qu’ils hantent un monde différent de la traditionnelle mer des caraïbes. Darian Frey est un contrebandier à la petite semaine, faisant un peu de piraterie par-ci par-là mais se tenant soigneusement à l’écart de tout business suffisamment important pour attirer l’attention de la marine de la coalition.

Gagne-petit, coureur de jupons infatigable, joueur de Rake (poker local) il est beaucoup plus attaché à son aéronef, la Ketty Jay, qu’au ramassis de fugitifs alcoolos qui constitue son équipage. Il n’est pas sans rappeler le célèbre Han Solo. Seulement voilà, un jour, on lui propose une affaire trop rentable pour être honnête. Sa cupidité l’emporte sur la prudence et évidemment, l’affaire tourne mal et le voilà ennemi public numéro 1, traqué non seulement par la marine mais aussi par nombre d’autres individus sans doute moins soucieux de la justice. Il n’aura d’autre choix que de faire face pour tenter de se sortir de ce guêpier.

Le livre est bien sûr un roman d’aventures, sans temps mort, avec de nombreux rebondissements et scènes d’action, mais on peut aussi y voir une évolution des personnages. L’anti-héros Frey va évoluer du parfait égoïste au Capitaine d’aéronef et le lecteur va aussi petit à petit découvrir les membres de son équipage un peu plus en profondeur, ce qu’ils fuient et comment cette somme d’individus va progressivement devenir un équipage. J’ai découvert ce livre via l’opération 200K de Bragelonne et je vais sans doute acheter les tomes suivants, même si l’histoire se termine dans ce livre, sans nécessairement appeler une suite.
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Signalé
grimm | 64 autres critiques | Sep 24, 2012 |

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