Charles Vidor (1900–1959)
Auteur de Gilda [1946 film]
A propos de l'auteur
Crédit image: Charles Vidor 1900-1959
Œuvres de Charles Vidor
20th Century Fox Studio Classics Collection: Volume 3 (Anna Karenina / A Farewell to Arms / The Sun Also Rises / Les… (2010) — Director; Directeur — 7 exemplaires
Over 21 [1945 film] — Directeur — 4 exemplaires
Western Legends Double Feature: The Man from Laramie [and] The Desperados (2005) — Directeur — 4 exemplaires
Films of Rita Hayworth: Cover Girl / Tonight and Every Night, Gilda, Miss Sadie Thompson, Salome (2010) — Directeur — 4 exemplaires
Doris Day: The Essential Collection [15 films] — Directeur — 3 exemplaires
The Tuttles of Tahiti 1 exemplaire
The Bridge [1929 film] — Directeur — 1 exemplaire
Leading Men Collection, Vol. 2: A Farewell to Arms / Gentleman's Agreement / The Grapes of Wrath / Heaven Knows, Mr.… (2013) — Directeur — 1 exemplaire
Classic Cuts Collection: Musicals (You Were Never Lovelier / Top Hat / Cover Girl / Lover Come Back) [DVD] — Directeur — 1 exemplaire
Double Door 1 exemplaire
Cover Girl 1 exemplaire
The Hemingway Classics Collection (The Sun Also Rises / A Farewell to Arms / The Snows of Kilimanjaro / Under My Skin /… (2007) 1 exemplaire
Together Again [1944 film] 1 exemplaire
Oeuvres associées
Étiqueté
Partage des connaissances
- Autres noms
- Vidor Károly [birth name; Hungarian word order]
- Date de naissance
- 1900-07-27
- Date de décès
- 1959-06-04
- Sexe
- male
- Nationalité
- Hungary (birth)
USA (naturalized) - Lieu de naissance
- Budapest, Hungary
- Lieu du décès
- Vienna, Austria
- Professions
- film director
film producer
screenwriter
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Statistiques
- Œuvres
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- Popularité
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- Évaluation
- 3.6
- Critiques
- 9
- ISBN
- 39
- Langues
- 1
La trop belle Gilda, aux jambes interminables et à la chevelure ruisselante, dégage un érotisme torride qui demeure inopérant aux yeux de ses deux maris successifs qui la tiennent successivement en cage. Les deux hommes, devenus amis et associés dans le casino possédé par l'un des deux, se convoitent-ils en réalité, sous la censure de l'époque qui ne pouvait faire autrement que de dissimuler un désir homosexuel ?
La fin (facile, une sorte de happy end où tout se résout par magie) jette un peu plus le trouble sur les intentions réelles du réalisateur.
Le sentiment d'amour-haine est traité trop schématiquement et les longueurs du film sont réelles. Gilda n'en demeure pas moins un film assez fascinant par ses non-dits et par le sentiment de frustration qu'il distille. Le mythe de la femme fatale se brise contre l'absence de désir des hommes.… (plus d'informations)