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Jean-Louis Tripp

Auteur de Magasin général, Tome 1 : Marie

31 oeuvres 869 utilisateurs 16 critiques

Séries

Œuvres de Jean-Louis Tripp

Magasin général, Tome 1 : Marie (2006) — Auteur — 168 exemplaires
Magasin général, Tome 2 : Serge (2006) — Auteur — 110 exemplaires
Magasin général, Tome 3 : Les Hommes (2006) — Auteur — 97 exemplaires
Magasin général, Tome 5 : (2006) — Auteur — 91 exemplaires
Magasin général, Tome 4 : Confessions (2006) — Auteur — 91 exemplaires
Magasin général, Tome 6 : Ernest Latulippe (2006) — Auteur — 72 exemplaires
Magasin Général 7 : Charleston (2011) — Auteur — 66 exemplaires
Magasin général 8 : Les femmes (2012) — Auteur — 54 exemplaires
Magasin général 9 : Notre-Dame-des-Lacs (2006) — Auteur — 53 exemplaires
Extases (2017) 12 exemplaires
Le Petit Frère (2022) 10 exemplaires
Een snuifje Afrika (1987) 4 exemplaires
Zulu Blues (1987) 4 exemplaires
Paroles d'anges (2005) 4 exemplaires
Das Nest Gesamtausgabe 1 (1) (2020) 4 exemplaires

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Critiques

Il est difficile d’écrire une note de lecture pour une œuvre aussi personnelle quand on ne l’a pas vraiment appréciée. Parce que c’est une œuvre très personnelle, il n’y a pas de doute, et JeanLouis Tripp y a, c’est certain, mis beaucoup de lui-même. Pour être tout à fait honnête, je ne suis pas certaine que j’aurais lu ce roman graphique de mon propre chef s’il n’avait pas fait parti de la sélection du prix bd (très local et qui n’aura aucun impact sur la notoriété de la bd récompensée...) auquel j’ai décidé de participer. C’est assez à la mode en ce moment de faire des ouvrages sur un traumatisme que l’on a eu dans son enfance ou son adolescence, et je suis assez peu portée sur ces livres en général. JeanLouis Tripp explique en quelques mots à la fin du livre ce qui l’a amené à faire cette bd et je crois que je peux comprendre cette envie, finalement, tant de temps après, de partager, partager « l’histoire de la mort de [son] frère et de ce que ça [lui] a fait. »
Pourtant malgré cela, je n’ai pas été convaincue par ce récit graphique. Non pas pour lui-même je pense, mais en tant qu’œuvre littéraire. JeanLouis Tripp évoque les faits, il parle de l’accident qui a coûté la vie à son jeune frère et des conséquences que cela a eue sur les membres de sa famille. Mais il me semble qu’il n’a pas la distance nécessaire avec ces faits. Je les trouve justement trop bruts, pas assez mis à distance pour en faire quelque chose de partageable, quelque chose qui dépasse sa seule expérience et devienne partageable. J’ai trop eu la sensation que JeanLouis Tripp n’avait pas encore fait son deuil (plus de 45 ans après les faits) et qu’il nous livrait avant tout sa colère et ses sentiments à l’état brut.
Alors oui, j’ai eu le cœur serré en lisant ce livre, mais j’ai aussi éprouvé la sensation persistante de faire du voyeurisme dans une histoire qui ne me concernait pas. J’imagine que cette histoire de distance est aussi dans l’œil du lecteur, et je ne peux m’empêcher de penser que certains trouveront que cette distance est celle qu’il fallait, elle ne fonctionne pas pour moi mais peut fonctionner pour d’autres. A moins que le propos de ce livre soit de dire qu’on ne peut pas faire son deuil de telles tragédies, même au bout de 40 ans ? Et dans ce cas, le livre délivre son message avec force, et c’est tragique, il n’y a pas d’autre mot.
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raton-liseur | Nov 4, 2022 |
A notre-Dame-des-Lacs, un petit bled paumé du Québec dans les années 20, Félix Ducharme, l’épicier du village est mort laissant sa femme seule

Marie devra reprendre en main le commerce, les clients exigeants et mauvais payeurs dans une ambiance très religieuse

Et arrive un étranger sur une moto, coincé dans le village par la neige et accueilli par Marie. Mais voilà… qu’en dira-t-on ?
Passé un accueil mitigé, tout le village tombe d’accord finalement pour lui trouver des qualités, d’autant qu’il fut vétérinaire et qu’il cuisine divinement et fini par ouvrir le premier restaurant dans l’épicerie avec Marie

Les liens se tissent et Marie n’est pas insensible au charme du nouveau venu mais voilà que débarquent les hommes à la fin de l’hiver, accompagnés de leur virilité toxique !

Une bande dessiné assez fine sur la vie rurale et ses règles sociales, les amours impossibles, les jalousies…
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noid.ch | 5 autres critiques | Sep 20, 2022 |
Après 2 ans d'attente, Marie, Serge, Gaëtan et tous les habitants de Notre-Dame-des-Lacs sont de retour pour un ultime album !
La fin de l'hiver approche, les femmes organisent une surprise pour le retour des hommes. Et Marie, leur en réserve une autre avec son ventre arrondi...
 
Signalé
Lu | Feb 12, 2015 |
L’histoire de Magasin général se déroule dans un village du Québec rural à partir du début des années 40. Elle gravite autour d’un personnage féminin, Marie, veuve avant l’heure et héritière du principal commerce local (le « Magasin général » qui donne son titre au récit), que l’irruption d’un étranger dans la petite communauté va progressivement réconcilier avec le bonheur ; bonheur d’aimer, bonheur d’être aimé(e), mais pas exactement de la manière que l’on pourrait imaginer…

9 tomes
Série finie

15 ans
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Signalé
Relais | 5 autres critiques | Mar 27, 2013 |

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