Photo de l'auteur

Kim Thúy

Auteur de Ru

12 oeuvres 1,391 utilisateurs 91 critiques 1 Favoris

A propos de l'auteur

Comprend les noms: THUY Kim, Kim Thúy, Kim Thúy, Kim Thùy

Crédit image: Kim Thúy en octobre 2020

Œuvres de Kim Thúy

Ru (2009) 863 exemplaires
Mãn (2013) 222 exemplaires
Vi (2001) 140 exemplaires
Em (2020) 123 exemplaires
Le secret des Vietnamiennes (2017) 17 exemplaires
À toi (2011) — Auteur — 13 exemplaires
Hitomi (2017) 5 exemplaires
La goutte (2014) 2 exemplaires
Le poisson et l'oiseau (2019) 1 exemplaire
Duygularini Pisiren Kadin: Man (2021) 1 exemplaire

Étiqueté

Partage des connaissances

Membres

Discussions

Canadian Author Challenge — January: Robertson Davies & Kim Thúy à 75 Books Challenge for 2016 (Février 2016)

Critiques

Femmes violées et orphelins nés pendant la guerre du Vietnam
 
Signalé
JasmineG | 5 autres critiques | Dec 30, 2020 |
> Par Marie-Claude Fortin (La Presse) : Ru de Kim Thuy: À fleur de peau
27 nov. 2009 ... Premier récit d'une Vietnamienne qui vit au Québec depuis l'âge de 10 ans, Ru est l'une des plus belles surprises de la rentrée.
Dans son roman Ru, Kim Thuy rend hommage à tous ces gens qu'elle a croisés, qu'elle a eu «la chance de côtoyer».
 
Signalé
Joop-le-philosophe | 55 autres critiques | Dec 17, 2018 |
Pourquoi ce livre?
Ma rencontre avec Kim Thúy, l’auteure, s’est faite, si l’on peut dire, de manière accidentelle. J’ai d’abord vu cette femme, que j’ai immédiatement trouvé drôle, spontanée, rafraîchissante, dans des émissions de cuisine. En l’écoutant parler de son pays d’origine qu’elle a quitté vers l’âge de dix ans, de sa traversée parmi les boat people vietnamiens et de son arrivée au Québec, mais surtout en constatant son infinie reconnaissance envers la vie qui lui a donné une seconde chance, j’ai eu envie de découvrir son œuvre littéraire. La lecture de son dernier livre, Vi, était une lecture de loisir.

Un aspect qui m’a plu :
Étant une fervente lectrice d’œuvres littéraires françaises du 19e siècle, je ne pensais pas retrouver le même plaisir à lire une auteure contemporaine que le bonheur que j’éprouve à lire des auteurs comme Balzac, Sand, Zola, etc. J’ai adoré le style dénué d’artifices de Kim Thúy, une façon d’écrire dont la beauté, l’humanité et la simplicité nous atteignent droit au cœur. Les images dispersées ça et là m’ont paru encore plus fortes en raison du fait qu’elles émergent au milieu d’une écriture marquée par la sobriété.

Un aspect qui m’a moins plu :
À la lecture de ce livre, j’ai eu une forte impression de déjà vu, de redite. Ayant lu Mãn (Thúy, 2013) et Ru (Thúy, 2009), j’ai trouvé que les personnages, les thèmes abordés (ex. exil, rapport au pays d’origine, quête identitaire) ainsi que les lieux évoqués dans ces trois romans se ressemblent au point où l’on a parfois tendance à confondre les trois œuvres. Cela vient sans doute du fait que l’auteure écrit à partir des ses expériences personnelles et qu’elle affirme ne pouvoir écrire qu’à propos de ce qu’elle a elle-même déjà senti, touché, goûté ou vu (Desmeules, 2013).

L’objet livre :
La page de couverture et la quatrième de couverture sont cartonnées et ont toutes deux un rabat. La page de couverture comprend, comme c’est habituellement le cas, le nom de l’auteur, le titre de l’œuvre ainsi que le nom et le logo de la maison d’édition. L’illustration qui s’y trouve nous paraît lumineuse et porteuse d’espoir. On y voit un oiseau qui surplombe le nom du personnage principal et, par le fait même, empêche la pluie de l’atteindre. Il y a aussi une illustration en noir et blanc à la fin du livre qui reproduit symboliquement le parcours intérieur et géographique du personnage principal de Saigon à Hanoi en passant par Montréal et Limoilou, sans oublier le creux de la clavicule de la personne aimée. Les sinuosités qui composent cette géographie imaginaire sont également présentes sur l’épine du livre.
Le livre ne contient ni table des matières, ni index, ni préface, ni épigraphe. Le roman n’est pas à proprement parler divisé en chapitres. Il est plutôt constitué de fragments d’au plus quelques paragraphes et les premiers mots de chacun de ces fragments tranchent avec le reste du texte en raison de leur couleur orangée. La police d’écriture utilisée, « Filosofia », est délicate tout comme Vi, le personnage principal du roman.
Les divers éléments paratextuels mentionnés précédemment donnent un avant-goût de la lecture que l’on s’apprête à faire en raison de leur sobriété et de l’impression d’harmonie et de douceur qui s’en dégage. On sent toute l’attention portée à l’esthétisme de ce livre.
… (plus d'informations)
 
Signalé
maude6344a16 | 8 autres critiques | Oct 13, 2016 |
De courts chapitres suivent les pensées de la narratrice, ses souvenirs désordonnées. chaque souvenir en amène un autre, certains nous font sourire, d'autres sont remplis de douleur. Le tout est écrit avec beaucoup de douceur et de poésie.
Un roman qui dresse un portrait du Vietnam d'après guerre. Pour le Sud du pays, la guerre commença véritablement avec la victoire du communisme, alors que la paix aurait du s'installer dans le pays.
" La vie est un combat où la tristesse entraine la défaite."
" J'avais oublié que l'amour vient de la tête et non du cœur."
… (plus d'informations)
 
Signalé
Lu | 55 autres critiques | Jun 2, 2012 |

Listes

Prix et récompenses

Vous aimerez peut-être aussi

Auteurs associés

Statistiques

Œuvres
12
Membres
1,391
Popularité
#18,479
Évaluation
3.8
Critiques
91
ISBN
119
Langues
15
Favoris
1

Tableaux et graphiques