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Moritz Thomsen (1915–1991)

Auteur de Living Poor: A Peace Corps Chronicle

6 oeuvres 265 utilisateurs 7 critiques 1 Favoris

A propos de l'auteur

Crédit image: Moritz Thomsen

Œuvres de Moritz Thomsen

Living Poor: A Peace Corps Chronicle (1969) 100 exemplaires
Le Plaisir le plus triste (1990) 88 exemplaires
La Ferme sur le rio Esmeraldas (1978) 52 exemplaires
Mes deux guerres (1998) 18 exemplaires
Bad News from a Black Coast (2018) 2 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1915-08-03
Date de décès
1991
Sexe
male
Nationalité
Etats-Unis
Lieu de naissance
Seattle, Washington, Etats-Unis
Lieu du décès
Guayaquil, Equateur
Cause du décès
Maladie (Choléra)
Organisations
Peace Corps
Courte biographie
Thomsen was born in 1915 into a wealthy American family in Seattle. His namesake was after his grandfather a powerful Washington businessman. Charlie, his father was President of Centennial Mills (Krusteaz Brand) and a multi-millionaire at the turn of the 20th century. As detailed in his memoirs, his relationship with his father was extremely strained, with Thomsen describing the man as "tyrannical."

During World War II, Thomsen served as a B-17 Flying Fortress bombardier in the Eighth Air Force. At age 44 he was working as a farmer in California when he decided to join the Peace Corps. In 1964, at 48 years old, Thomsen came to Ecuador as one of the first volunteers of the Peace Corps . Upon arrival, and after many wanderings, he was assigned on condition of agricultural expert to the small fishing town of Green River, north of the province of Esmeraldas . Thomsen lived for four years in that village, and a total of 35 years in Ecuador. After serving as a volunteer for four years, he remained in Ecuador. He died in 1991 of cholera. (Wikipedia, 2020-05-31)

Membres

Critiques

Je mets une très bonne appréciation bien que je n'ai retrouvé la pépite littéraire qui ma été vendue. Par contre j'ai découvert un homme.
½
 
Signalé
Nikoz | Jun 2, 2019 |
Moritz Thomsen nous fait part de sa propre expérience de fermier à Esmeraldas, province de l’Équateur. C'est du vécu, c'est du brut. L'auteur arrive à prendre du recul vis-à-vis de cette expérience de plusieurs années et le moindre que l'on puisse dire est qu'il faut savoir relativiser tant ses désillusions ont été nombreuses : la jungle, les débouchés commerciaux, les intempéries et surtout, les gens. Moritz Thomsen met dans sa poche sa mentalité d'occidental sur laquelle il avait déjà un sens critique particulièrement développé car ce qu'il vit au contact de la population est hors norme de son point de vue et c'est souvent la pauvreté qui rend les choses hors normes dans les comportements. La pauvreté qui irrigue tout, qui gangrène tout, qui fait que les personnes s'élèvent un petit peu puis s'écroulent à nouveau face aux difficultés, aux jalousies, à la méconnaissance des mécanismes économiques. pourtant, face à l'adversité, l'auteur ne critique pas, est souvent surpris mais est très respectueux des personnes. Son livre est une succession de portraits attachants, superbement écrit.… (plus d'informations)
 
Signalé
Veilleur_de_nuit | 1 autre critique | Apr 29, 2014 |

Listes

Prix et récompenses

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Statistiques

Œuvres
6
Membres
265
Popularité
#86,991
Évaluation
4.1
Critiques
7
ISBN
18
Langues
1
Favoris
1

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