Yasmina Reza

Happy are the Happy Yasmina Reza French playwright, novelist, and screenwriter Yasmina Reza’s work has won international acclaim for holding “the mirror up to bourgeois hypocrisy with the savage indignation of a born satirist” (The Guardian). Her darkly comic and socially prescient plays, including Conversations After a Burial, The Passage of Winter, and The Unexpected Man, have been translated into 35 languages and staged worldwide. She has twice won the Tony for Best Play, for 1998’s Art and 2009’s God of Carnage. Her other work includes seven novels and a popular memoir. Her new novel, Happy are the Happy, vacillates between cruelty and humor in a study of the elusive and ethereal qualities of love and commitment. In conversation with Toby Zinman, theatre critic, Philadelphia Inquirer, professor, University of the Arts Parkway Central Library 1901 Vine Street Philadelphia, PA 19103 (between 19th and 20th Streets on the Parkway) This is a TICKETED event; $15 General Admission, $7 Students. For more information, please call 215-567-4341, or click here

Location: Street: Free Library of Philadelphia Additional: 1901 Vine Street City: Philadelphia, Province: Pennsylvania Postal Code: 19103-5207 Country: United States (ajouté depuis IndieBound)… (plus d'informations)

Yasmina Reza, Le Dieu du carnage.

Lors d’une bagarre à la sortie de l’école, Ferdinand Reille a attaqué Bruno houillé à l’aide d’un bâton et lui a cassé deux dents. Pour résoudre l’affaire avec civisme, les parents du blessé ont convié ceux de l’agresseur à leur domicile. Tout le monde est de bonne éducation et soucieux de faire preuve de tolérance, n’est-ce pas? Mais les deux partis sont finalement bien peu enclins au compromis et la conciliation tourne court. C’est la débâcle et, de suffisances en coup bas, les « conciliateurs » ouverts et généreux ne parviennent plus à se contenir. Les masques tombent et la courtoisie de façade se noie dans une mer de mesquineries… La guéguerre des deux garnements va servir de ring de boxe aux parents bobos, péremptoirement ouverts d’esprit et au final très peu tentés par le «dialogue».

Yasmina Reza évoque avec jubilation nos paradoxes, les limites de nos discours éthiques et généreux... et la vacuité du monde moderne. En signant une délicieuse petite scène de massacre ordinaire entre adultes civilisés ! (Louve_de_mer)… (plus d'informations)

Yasmina Reza, Le Dieu du carnage.

Lors d’une bagarre à la sortie de l’école, Ferdinand Reille a attaqué Bruno houillé à l’aide d’un bâton et lui a cassé deux dents. Pour résoudre l’affaire avec civisme, les parents du blessé ont convié ceux de l’agresseur à leur domicile. Tout le monde est de bonne éducation et soucieux de faire preuve de tolérance, n’est-ce pas? Mais les deux partis sont finalement bien peu enclins au compromis et la conciliation tourne court. C’est la débâcle et, de suffisances en coup bas, les « conciliateurs » ouverts et généreux ne parviennent plus à se contenir. Les masques tombent et la courtoisie de façade se noie dans une mer de mesquineries… La guéguerre des deux garnements va servir de ring de boxe aux parents bobos, péremptoirement ouverts d’esprit et au final très peu tentés par le «dialogue».

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Yasmina Reza, Le Dieu du carnage.

Lors d’une bagarre à la sortie de l’école, Ferdinand Reille a attaqué Bruno houillé à l’aide d’un bâton et lui a cassé deux dents. Pour résoudre l’affaire avec civisme, les parents du blessé ont convié ceux de l’agresseur à leur domicile. Tout le monde est de bonne éducation et soucieux de faire preuve de tolérance, n’est-ce pas? Mais les deux partis sont finalement bien peu enclins au compromis et la conciliation tourne court. C’est la débâcle et, de suffisances en coup bas, les « conciliateurs » ouverts et généreux ne parviennent plus à se contenir. Les masques tombent et la courtoisie de façade se noie dans une mer de mesquineries… La guéguerre des deux garnements va servir de ring de boxe aux parents bobos, péremptoirement ouverts d’esprit et au final très peu tentés par le «dialogue».

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Yasmina Reza, Le Dieu du carnage.

Lors d’une bagarre à la sortie de l’école, Ferdinand Reille a attaqué Bruno houillé à l’aide d’un bâton et lui a cassé deux dents. Pour résoudre l’affaire avec civisme, les parents du blessé ont convié ceux de l’agresseur à leur domicile. Tout le monde est de bonne éducation et soucieux de faire preuve de tolérance, n’est-ce pas? Mais les deux partis sont finalement bien peu enclins au compromis et la conciliation tourne court. C’est la débâcle et, de suffisances en coup bas, les « conciliateurs » ouverts et généreux ne parviennent plus à se contenir. Les masques tombent et la courtoisie de façade se noie dans une mer de mesquineries… La guéguerre des deux garnements va servir de ring de boxe aux parents bobos, péremptoirement ouverts d’esprit et au final très peu tentés par le «dialogue».

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Yasmina Reza, Le Dieu du carnage.

Lors d’une bagarre à la sortie de l’école, Ferdinand Reille a attaqué Bruno houillé à l’aide d’un bâton et lui a cassé deux dents. Pour résoudre l’affaire avec civisme, les parents du blessé ont convié ceux de l’agresseur à leur domicile. Tout le monde est de bonne éducation et soucieux de faire preuve de tolérance, n’est-ce pas? Mais les deux partis sont finalement bien peu enclins au compromis et la conciliation tourne court. C’est la débâcle et, de suffisances en coup bas, les « conciliateurs » ouverts et généreux ne parviennent plus à se contenir. Les masques tombent et la courtoisie de façade se noie dans une mer de mesquineries… La guéguerre des deux garnements va servir de ring de boxe aux parents bobos, péremptoirement ouverts d’esprit et au final très peu tentés par le «dialogue».

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Yasmina Reza, Le Dieu du carnage.

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