Robert Fleming Rankin
Auteur de The Hollow Chocolate Bunnies of the Apocalypse
A propos de l'auteur
Œuvres de Robert Fleming Rankin
Eddie Bear, Private Detective (The Hollow Chocolate Bunnies of the Apocalypse & The Toyminator) (2006) 55 exemplaires
The Book With No Words 2 exemplaires
The Divine Commodore 2 exemplaires
The Boscombe Walters Story 1 exemplaire
Oeuvres associées
Étiqueté
Partage des connaissances
- Date de naissance
- 1949-07-27
- Sexe
- male
- Nationalité
- UK
- Lieu de naissance
- London, England, UK
- Lieux de résidence
- Brighton, Sussex, England, UK
- Études
- Ealing School of Art
- Relations
- Hayward-Rankin, Rachel (wife)
- Prix et distinctions
- Guest of Honour, Eastercon, UK (2005)
Fellow, The Victorian Steampunk Society (2009)
Membres
Critiques
Listes
Prix et récompenses
Vous aimerez peut-être aussi
Auteurs associés
Statistiques
- Œuvres
- 51
- Aussi par
- 1
- Membres
- 12,791
- Popularité
- #1,835
- Évaluation
- 3.6
- Critiques
- 178
- ISBN
- 183
- Langues
- 5
- Favoris
- 1
Fort heureusement pour lui, Hugo Rune, le Maître Parfait, aussi connu sous le nom de « Rétromancien », vient une fois de plus le sauver pour l’emmener dans le Londres du Blitz, en 1944, pour corriger cette horrible erreur de goût. Car le destin d’Hugo Rune est de sauver le monde, en ne demandant qu’une chose: que celui-ci paye les factures de son train de vie dispendieux.
Pour le coup, le lecteur de Retromancer, roman de Robert Rankin, se voit lui embarqué dans une aventure abracadabrante à base de magie noire, d’histoire, de technologie pulp et de monstres légendaires.
Je ne sais pas trop si l’auteur a décidé, avec ce roman (et son prédécesseur, The Brightonomicon, que je n’ai pas lu), de faire une sorte d’hommage au genre pulp, mais ça y ressemble fichtrement: le mélange d’occultisme, de machines infernales, de savants fous et d’individus d’exception (quoi que pas toujours recommandables).
En revisitant un certain nombre de mythes et d’objets emblématiques de la première moitié du XXe siècle (le Titanic, Winston Churchill, l’expérience de Philadelphie, Nikola Tesla, etc.), Retromancer rappelle un peu Planetary ou les Suppressed Transmissions de Ken Hite, tout en rajoutant une grosse louche d’humour absurde anglais et même de références geeks (les bières qui ont des noms de police de caractère).
Personnellement, je me suis laissé prendre au jeu de ce roman barré de la tête, plus britannique qu’un pudding de Noël – et pas forcément plus digeste. Le gros problème est que, si on ne se laisse pas prendre au style alambiqué du narrateur et aux élucubrations de l’auteur, l’ensemble risque d’être très rapidement énervant.
Il faudra que je lise le précédent, The Brightonomicon, même si ce que j’en ai lu semble dire que les deux ouvrages se ressemblent un peu trop. Mais si l’idée d’une aventure très pulp, pleine de rebondissements et d’humour absurde, à la limite de la satire, Retromancer est fait pour vous.… (plus d'informations)