Yoko Ogawa
Auteur de La formule préférée du professeur
A propos de l'auteur
Œuvres de Yoko Ogawa
Yoko Ogawa Coffret en 3 volumes : Hôtel Iris ; L'annulaire ; Le réfectoire un soir et une piscine sous la pluie (2007) 4 exemplaires
The Cafeteria in the Evening and a Pool in the Rain 2 exemplaires
Podziemie pamięci 1 exemplaire
The professor's favorite mathematic formula 1 exemplaire
文学ムック たべるのがおそい vol.3 1 exemplaire
妊娠カレンダー [Ninshin karendā] 1 exemplaire
غرفة مثالية لرجل مريض 1 exemplaire
The perfume of the ice 1 exemplaire
小川洋子と読む 内田百閒アンソロジー (ちくま文庫) 1 exemplaire
Η πορεία της Μίνας 1 exemplaire
මතක පොලිසිය 1 exemplaire
Grobowa cisza, żałobny zgiełk 1 exemplaire
Oeuvres associées
Monkey Business: New Writing from Japan, Volume 01 (2011) — Contributeur — 12 exemplaires, 1 critique
リテラリーゴシック・イン・ジャパン 文学的ゴシック作品選 — Contributeur — 1 exemplaire
Étiqueté
Partage des connaissances
- Nom canonique
- Ogawa, Yoko
- Date de naissance
- 1962-03-30
- Sexe
- female
- Nationalité
- Japon
- Lieu de naissance
- Okayama, Japan
- Lieux de résidence
- Ashiya, Hyogo, Japan
- Études
- Waseda University
- Professions
- writer
- Prix et distinctions
- Prix Kaien (1988)
Prix Akutagawa (1990)
Prix Yomiuri (2004)
Prix Izumi (2004)
Prix Tanizaki (2006) - Courte biographie
- Yoko Ogawa's fiction has appeared in The New Yorker, A Public Space, and Zoetrope. Since 1988 she has published more than twenty works of fiction and nonfiction, and has won every major Japanese literary award. [retrieved 6/28/2016 from Amazon.com Author Page]
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Critiques
Petites boîtes par Yoko Ogawa
La narratrice vit dans une école maternelle désaffectée et y prend soin du souvenir des enfants décédés. Un roman doux et onirique où se côtoient un homme qui ne parle qu’en chantant, un dentiste retraité qui crée de minuscules lyres ou une femme qui vend des bentos. Un texte à la fois morbide, étrange, délicat et tendre pour parler de deuil, d’attachement et de détachement.
½
Le musée du silence contient des objets ayant appartenus à des inconnus
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Ogawa-La-mer/116116
> LA MER, de Yoko Ogawa, 150 pages, 2009, Actes Sud. — Le plus célèbre écrivain japonais contemporain ? En tout cas, je recommanderais à tous de commencer par ce recueil de sept nouvelles, de longueurs inégales, mais toutes savoureuses.
Univers mystérieux, impermanents, oniriques, surréalistes ; lieux clos, insolites : on lit facilement, envoûté par la poésie, l'atmosphère de spiritualité, la douceur sensuelle et cruelle qui se dégagent de ces textes. (Jacques MARMEY)
—Carnets du Yoga, (283), Janvier 2010, (p. 19)… (plus d'informations)
> LA MER, de Yoko Ogawa, 150 pages, 2009, Actes Sud. — Le plus célèbre écrivain japonais contemporain ? En tout cas, je recommanderais à tous de commencer par ce recueil de sept nouvelles, de longueurs inégales, mais toutes savoureuses.
Univers mystérieux, impermanents, oniriques, surréalistes ; lieux clos, insolites : on lit facilement, envoûté par la poésie, l'atmosphère de spiritualité, la douceur sensuelle et cruelle qui se dégagent de ces textes. (Jacques MARMEY)
—Carnets du Yoga, (283), Janvier 2010, (p. 19)… (plus d'informations)
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Ogawa-Lannulaire/4402
> BAnQ (Denis J.-P., Le devoir, 29 janv. 2000, D-9) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2797793
> Elles semblent peu nombreuses, les femmes japonaises qui publient. En voici une dont l’univers romanesque est tout à fait singulier. En effet, on conserve longtemps un sentiment d’inquiétante étrangeté une fois qu’on a terminé la lecture de L’Annulaire (Babel) de Yôko Ogawa. Après avoir subi un léger accident de travail qui a abîmé son annulaire, une jeune fille, narratrice du récit, devient l’assistante de M. Deshimaru, propriétaire d’un laboratoire de spécimens où ceux qui en éprouvent le besoin vont déposer des objets pour mettre fin à un lien, à une douleur. « Parce que le sens de ces spécimens est d’enfermer, séparer et achever. Personne n’apporte d’objets pour s’en souvenir encore et encore avec nostalgie. » Mais le lecteur comprendra que les objets ne sont pas les seuls spécimens à intéresser M. Deshimaru… Le style minimaliste et évocateur de Yôko Ogawa est envoûtant. (Au moment d’écrire ces lignes, on apprend que la sortie du livre a été reportée de quelques semaines. Patience.) (Johanne JARRY)
—Le devoir, 28 octobre 2000, D-8… (plus d'informations)
> BAnQ (Denis J.-P., Le devoir, 29 janv. 2000, D-9) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2797793
> Elles semblent peu nombreuses, les femmes japonaises qui publient. En voici une dont l’univers romanesque est tout à fait singulier. En effet, on conserve longtemps un sentiment d’inquiétante étrangeté une fois qu’on a terminé la lecture de L’Annulaire (Babel) de Yôko Ogawa. Après avoir subi un léger accident de travail qui a abîmé son annulaire, une jeune fille, narratrice du récit, devient l’assistante de M. Deshimaru, propriétaire d’un laboratoire de spécimens où ceux qui en éprouvent le besoin vont déposer des objets pour mettre fin à un lien, à une douleur. « Parce que le sens de ces spécimens est d’enfermer, séparer et achever. Personne n’apporte d’objets pour s’en souvenir encore et encore avec nostalgie. » Mais le lecteur comprendra que les objets ne sont pas les seuls spécimens à intéresser M. Deshimaru… Le style minimaliste et évocateur de Yôko Ogawa est envoûtant. (Au moment d’écrire ces lignes, on apprend que la sortie du livre a été reportée de quelques semaines. Patience.) (Johanne JARRY)
—Le devoir, 28 octobre 2000, D-8… (plus d'informations)
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