Georges Nivat
Auteur de Les sites de la mémoire russe. Tome 1 : Géographie de la mémoire russe
A propos de l'auteur
Séries
Œuvres de Georges Nivat
Les sites de la mémoire russe. Tome 2 : Histoire et mythes de la mémoire russe (2019) — Directeur de publication — 3 exemplaires
Oeuvres associées
L'arche des enfants. L'odyssée de huit cents enfants de Saint-Pétersbourg pendant la guerre civile russe (2011) — Préface, quelques éditions — 1 exemplaire
Étiqueté
Partage des connaissances
- Nom canonique
- Nivat, Georges
- Nom légal
- Nivat, Georges Michel
- Date de naissance
- 1935-05-11
- Sexe
- male
- Nationalité
- France
- Lieu de naissance
- Clermont-Ferrand, Puy-de-Dôme, Auvergne-Rhône-Alpes, France
- Études
- Agrégation de russe (Rang 5, 19 59)
Université d'Oxford, St Antony's College (Auditeur, 19 57 | 19 58 puis 19 59 | 19 60
Université Lomonossov de Moscou (Auditeur, 19 56 | 19 57, Oxford Diploma in Slavonic Studies, 19 60 | 19 61)
Université de la Sorbonne (Licence, Russe, Licence anglais)
Ecole Normale Supérieure, Paris
Lycée Blaise-Pascal, Clermont-Ferrand (Baccalauréat) - Professions
- Professeur (Langue et civilisation russe)
Russologue
Traducteur (Russe, Français) - Relations
- Nivat, Jean (Père)
Nivat, Maurice (Frère)
Bonami, Aline (Soeur)
Nivat, Lucile (Epouse)
Nivat, Anne (Fille) - Organisations
- Université de Genève (Professeur, Langue et civilisation russe, 19 74 | 20 00)
Université de Stanford, Hoover Institute (Chercheur, 19 85 | 19 86)
Université Harvard, Russian Research Center (Chercheur, 19 85 | 19 86)
Université de Paris X (Maître de conférence, | 19 73)
Université de Lille
Université de Toulouse (Assistant (tout afficher 8)
L'Âge d'Homme, Editeur (Directeur de collection "Slavica")
Academia Europaea (Membre, 19 90)
Membres
Critiques
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Statistiques
- Œuvres
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- 5
- Membres
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- Popularité
- #370,100
- Évaluation
- 3.7
- Critiques
- 1
- ISBN
- 15
J’ai appris beaucoup de choses sur ces auteurs. J’ai compris ce qui me fascinait chez les russes. Une perpétuelle balance entre l’emerveillement pour l’europe et leur passion de la terre russe et de ces habitants. La tension permanente entre la civilisation et ce qu’on pourrait voir comme une sauvagerie. C’est passionnant, cet ouvrage rend bien cette double tentation, ce drame russe.
La beauté du livre est liée à la reproduction de nombreux autographes et oeuvres graphiques. Il est amusant de voir comme le français a été la langue de l’aristocratie russe. Voir l’écriture de pouchkine et la comprendre, c’est émouvant.
Un des grands intérêt de l’ouvrage est de parler des vieux croyants . L’église orthodoxe a a connu un schisme, le raskol . Il a poussé dehors des croyants qui ont refusé une nouveau rituel. L’église devient un outil de controle de la société entiérement dédié au régime tsariste ou l’inverse ceci dépend des périodes. Ces malheureux ont été persécutés. Ils se sont réfugiés dans le nord. Ils ont donné naissance à une école graphique fort original. Les vieux croyants pour transmettre l’enseignement religieux devaient recopier les livres sacrés. Ainsi en plein XIXé siécle, dans un coin d’europe, de veritables moines copistes ont continué l’oeuvre de ceux du “nom de la rose “. Ils recopiaient les textes, les enluminaient et les illustraient. C’est fascinant. C’est beau. Les manuscripts ont été sauvés et une partie de cette culture populaire a été conservé par le régime soviétique. Les dessins sont magnifiques. J’ai pris un immense plaisir à le lire. J’ai une petite réserve de conseils de lecture. Un cadeau de noel inspiré qui se prolongera bien au delà.
C’est un très beau livre. Si vous aimez la littérature russe, je vous conseille son acquisition.… (plus d'informations)