Joseph Mitchell (1) (1908–1996)
Auteur de Up in the Old Hotel
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A propos de l'auteur
Joseph Mitchell came to New York City in 1929 from a small town in North Carolina. He was twenty-one years old. He worked as a reporter & feature writer--for "The World", "The Herald Tribune", & "The World Telegram"--for eight years, & then went to "The New Yorker", where he remained until his afficher plus death in 1996. (Bowker Author Biography) afficher moins
Œuvres de Joseph Mitchell
Goodbye, Shirley Temple 2 exemplaires
Lady Olga 1 exemplaire
Oeuvres associées
The Art of Fact: A Historical Anthology of Literary Journalism (1997) — Contributeur — 214 exemplaires
Writing New York: A Literary Anthology (Expanded 10th-Anniversary Edition) (2008) — Contributeur — 93 exemplaires
Étiqueté
Partage des connaissances
- Date de naissance
- 1908-07-27
- Date de décès
- 1996-05-24
- Sexe
- male
- Nationalité
- USA
- Lieu de naissance
- Iona, North Carolina, USA
- Lieu du décès
- New York, New York, USA
- Lieux de résidence
- New York, New York, USA
Iona, North Carolina, USA (birthplace) - Études
- University of North Carolina, Chapel Hill
- Professions
- reporter
writer - Organisations
- The New Yorker
Gypsy Lore Society
Friends of Cast-Iron Architecture
New York City Landmarks Preservation Commission - Prix et distinctions
- American Academy of Arts and Letters (Literature, 1965)
American Academy of Arts and Letters (Literature, 1970)
Membres
Critiques
Listes
Schwob Nederland (1)
Prix et récompenses
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Auteurs associés
Statistiques
- Œuvres
- 9
- Aussi par
- 7
- Membres
- 2,542
- Popularité
- #10,105
- Évaluation
- 4.2
- Critiques
- 46
- ISBN
- 91
- Langues
- 6
- Favoris
- 18
> « Avec son pardessus trop grand, sa tête nue et sa figure sale, l'homme, malgré sa barbe, avait un air enfantin,
égaré : un enfant qui se serait amusé avec des petits camarades à essayer des vêtements d'adulte au grenier. »
Devenu une sorte de légende urbaine, Joe Gould a hanté les cafés, les diners, les bars, les trous à rats de Greenwich Village. Il se vantait d'écrire une oeuvre totale, fruit de vingt mille conversations, dont les rares fragments publiés ont inspiré l'avant-garde littéraire des années 1920.
Quatre décennies plus tard, Joseph Mitchell, lui-même portraitiste de génie au New Yorker, se lance à la poursuite de ce manuscrit mythique et en tire son propre roman, Le Secret de Joe Gould, un livre culte, que l'on brûle encore de faire découvrir.
—Pauline Hamon (Culturebox)
> Son héros ou anti-héros est «le dernier des bohèmes», une sorte d'érudit qui a résisté à la mort et à la publicité et se trouve constamment «aux prises avec trois fléaux : l'absence de toit, la faim et la gueule de bois. [...] Il fait un mètre soixante-deux et pèse rarement plus de quarante-cinq kilos». Surtout, l'homme est un auteur qui renouvelle le genre du chef-d'oeuvre inconnu. Depuis vingt-six ans, dès le texte de 1942, il travaille «sur un livre sans forme passablement mystérieux qu'il intitule Une histoire orale de notre temps». Il y rassemble des conversations sur tout et rien dont son extraordinaire mémoire lui permet de se souvenir, qui passent souvent du coq à l'âne et n'ont aucun sujet stable, mais qui devraient permettre, mieux que n'importe quelle oeuvre, de le mettre au pinacle des historiens, tant l'époque dont il fut contemporain, ses présupposés et ses sous-entendus, y serait photographiée par le langage pour le profit de la postérité...
Salman Rushdie voit le Secret de Joe Gould comme «une merveille, à classer au même rang que les plus grands chefs-d'oeuvre de la littérature» et Martin Amis estime : «Voilà ce qu'aurait pu écrire Borges s'il avait été originaire de New York.» (Mathieu Lindon
—Libération du 10 janvier 2013)
> Une merveille, à classer au même rang que les plus grands chefs-d'oeuvre de la littérature.
—Salman Rushdie
> Voilà ce qu'aurait pu écrire Borges s'il avait été originaire de New York.
—Martin Amis… (plus d'informations)