James Lovelock (1) (1919–)

> LA TERRE EST UN ÊTRE VIVANT, Pourquoi il faut sauver la terre, de J. E. Lovelock. — La première publication en langue anglaise du livre du professeur Lovelock La Terre est un être vivant, l’hypothèse Gaïa (nom de l’ancienne divinité grecque de la Terre-Mère) a suscité un débat passionné dans la communauté scientifique internationale. Cette idée qui semblera évidente pour quiconque ayant gardé le contact avec la vie des champs et des bois, est en train de révolutionner notre approche scientifique de la vie sur notre planète – de notre vie avec notre planète.
Gaïa vit et elle vivra tant que ses organes vitaux n’auront pas été irrémédiablement endommagés… or nous ne connaissons pas avec précision quels sont ses organes essentiels : seule une science ayant radicalement remis en cause ses anciens paradigmes nous permettra de le découvrir : une science nouvelle, fondée sur l’hypothèse Gaïa, par laquelle l’homme pourra mettre en harmonie sa vie sur Terre avec la vie de la Terre. Tel est l’enjeu de la biologie, de la biochimie et de toutes les sciences de l’environnement pour les décennies à venir. Editions du Rocher, 1986 - 180 p.
—3ᵉ millénaire, (15), Printemps 1990

> LA TERRE EST UN ÊTRE VIVANT, de J. E. Lovelock, Ed. Flammarion poche. — Mondialement célèbre pour avoir énoncé dans cette étude " l’hypothèse Gaïa ”, du nom de la déesse antique représentant la Terre, ce scientifique britannique ignorait tout des travaux de Vernadsky et de Teilhard de Chardin lorsque ses propres recherches l’amenèrent à formuler son fabuleux scénario. Avec lui, les visions d’un tout petit cénacle vont devenir mondiales et populaires. Nous vivons sur le dos d’une incroyable géante, dont l’écorce terrestre est la peau, l’atmosphère le souffle, les forêts la toison... et nous, les parasites un peu violents, qui ont tendance à la rendre chauve !
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