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Matthew Lewis (1) (1775–1818)

Auteur de Le Moine

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Matthew Lewis (1) a été combiné avec Matthew Gregory Lewis.

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Œuvres de Matthew Lewis

Oeuvres associées

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The Monk [2011 film] (2012) — Original book — 8 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom légal
Lewis, Matthew Gregory
Autres noms
Lewis, Monk
Date de naissance
1775-07-09
Date de décès
1818-05-14
Sexe
male
Nationalité
UK

Membres

Discussions

Folio Archives 322: The Monk by Matthew Lewis 1984 à Folio Society Devotees (Mai 2023)
The Monk: A Romance à Gothic Literature (Novembre 2021)
Group Read, May 2019: The Monk à 1001 Books to read before you die (Mai 2019)
The Monk by Matthew Gregory Lewis - lyzard tutoring SqueakyChu à 75 Books Challenge for 2012 (Janvier 2015)

Critiques

Une fable morale comme une tragédie grecque revisitée par un sombre démon gothique au milieu de l'inquisition espagnole, des amours interdits, des tabous violés (et ils ne sont pas les seuls) et une lente descente aux enfers la main dans les griffes de Lucifer.

Une histoire de la corruptibilité de la recherche de la vertu pour elle-même.

Sublime, décadent et religieusement érotique
 
Signalé
noid.ch | 91 autres critiques | Jan 12, 2022 |
Et dire que l’auteur aurait écrit ce livre pour divertir sa mère… Quel étrange divertissement, et quel étrange présent à faire à sa mère ! On est ici dans le roman gothique dans son expression la plus crue. Dérangeant d’un bout à l’autre, ne reculant devant rien pour mettre le lecteur mal à l’aise, bravant les interdits moraux les uns après les autres, tombant toujours dans plus sordide alors que l’on croyait avoir atteint le fond...
Il faut avoir le cœur bien accroché pour lire ce bouquin, et on ne m’y reprendra pas. Sade l’a aimé et ça ne m’étonne pas. Parce que c’est glauque au possible, mais aussi parce que, sous ses dehors provocateurs, c’est un livre de contestation. Il contient une charge virulente contre l’Eglise et toute son hypocrisie. Excessif aujourd’hui, il est, à l’époque de sa publication en 1796, extrêmement subversif. Si j’en crois ce que j’ai lu sur Sade (incapable de lire plus de quelques pages d’un de ses romans, j’en ai la nausée rien qu’en y repensant), c’est la même démarche. Les horreurs décrites ne sont pas là juste pour choquer, elles sont là pour dénoncer les apparences de la vertu, les faux-semblants d’une société corsetée dans ses principes et volontairement aveugle à ses déviances. C’est en partie à partir de ce type de roman que s’est forgée dans la société occidentale une défiance par rapport au pouvoir religieux, puis une remise en cause de sa tutelle. C’est à des romans de ce genre, entre autres, que l’on doit la liberté de penser dont l’on jouit aujourd’hui.
En conclusion, c’est une lecture intéressante d’un point de vue historique et pour ma culture générale. Mais une fois me suffira, et ce ne fut pas une partie de plaisir. Un lecteur averti en valant deux, du moins ici, à chacun de prendre ses responsabilités en décidant de lire ou non ce roman.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | 91 autres critiques | Apr 28, 2019 |
Très renommé à Madrid comme un confesseur intraitable et un modèle de sainteté, le moine Ambrosio va céder aux avances d’une jeune femme apparemment éprise de lui. Mais Mathilde, incarnation du Diable, va le pousser à des crimes ignobles : nantis d’un charme pour forcer les verrous (charme qu’une invocation satanique a mis à sa disposition), Ambrosio ira violer sa sœur et tuer sa mère. Arrêté et enfermé par l'Inquisition, Ambrosio fait une dernière fois appel au Diable. Celui-ci intervient, l'enlève, et le mène au sommet d'une montagne, d'où il le précipite.… (plus d'informations)
 
Signalé
vdb | 91 autres critiques | Nov 21, 2010 |
Très renommé à Madrid comme un confesseur intraitable et un modèle de sainteté, le moine Ambrosio va céder aux avances d’une jeune femme apparemment éprise de lui. Mais Mathilde, incarnation du Diable, va le pousser à des crimes ignobles : nantis d’un charme pour forcer les verrous (charme qu’une invocation satanique a mis à sa disposition), Ambrosio ira violer sa sœur et tuer sa mère. Arrêté et enfermé par l'Inquisition, Ambrosio fait une dernière fois appel au Diable. Celui-ci intervient, l'enlève, et le mène au sommet d'une montagne, d'où il le précipite.… (plus d'informations)
 
Signalé
vdb | 91 autres critiques | Nov 21, 2010 |

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