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Imre Kertész (1929–2016)

Auteur de Être sans destin

63+ oeuvres 5,108 utilisateurs 157 critiques 21 Favoris

A propos de l'auteur

Imre Kertész was born in Budapest, Hungary on November 9, 1929. He was only 14 years old when he was deported with 7,000 other Hungarian Jews to the Auschwitz concentration camp in Poland in 1944. He survived that camp and later was transferred to the Buchenwald camp from where he was liberated in afficher plus 1945. After returning to his native Budapest, he worked as a journalist and translator. He translated the works of Friedrich Nietzsche, Sigmund Freud, Ludwig Wittgenstein and Elias Canetti into Hungarian. He wrote several novels that drew largely from his experience as a teenage prisoner in Nazi concentration camps. His novels included Fateless, Fiasco, Kaddish for a Child Not Born, Someone Else, The K File, Europe's Depressing Heritage, and Liquidation. He also wrote the screenplay for the film version of Fateless in 2005. While his work was ignored by both the communist authorities and the public in Hungary where awareness of the Holocaust remained negligible, his work was recognized in other parts of the world. He received awards including the Brandenburg Literature Prize in 1995, The Book Prize for European Understanding, the Darmstadt Academy Prize in 1997, the World Literature Prize in 2000, and the Nobel Prize for Literature for fiction in 2002. He died after a long illness on March 31, 2016 at the age of 86. (Bowker Author Biography) afficher moins

Séries

Œuvres de Imre Kertész

Être sans destin (1975) 2,263 exemplaires
Liquidation (2003) 550 exemplaires
Roman policier (1977) 323 exemplaires
Le refus (1988) 315 exemplaires
Dossier K. (2006) 128 exemplaires
Le drapeau anglais (1991) 123 exemplaires
Le chercheur de traces (1977) 112 exemplaires
Journal de galère (1992) 98 exemplaires
De verbannen taal (2001) 56 exemplaires
Una historia: dos relatos (1993) 44 exemplaires
Il secolo infelice (1998) 33 exemplaires
L'ultime auberge (2014) 32 exemplaires
Schritt für Schritt (1900) 23 exemplaires
Trilogie de l'Etre sans destin (2002) 16 exemplaires
Sauvegarde : journal 2001-2003 (2011) 8 exemplaires
Cartas a Eva Haldimann (2009) 6 exemplaires
Sinn und Form 3/2013 (2013) 3 exemplaires
Dossier K. (2009) 2 exemplaires
Le Spectateur: Notes 1991-2001 (2023) 2 exemplaires
Không Số Phận 1 exemplaire
A végső kocsma 1 exemplaire
פיאסקו 1 exemplaire
Kadiš za nerojenega otroka (2003) 1 exemplaire
Opfer und Henker (2007) 1 exemplaire
2009 1 exemplaire
A megfogalmazás kalandja (2009) 1 exemplaire
Peter Esterhazy 1 exemplaire
Jegyzőkönyv (1993) 1 exemplaire
Vyhnaný jazyk eseje (2002) 1 exemplaire
Besudbinstvo 1 exemplaire
Engleska zastava (2006) 1 exemplaire

Oeuvres associées

Nobel Lectures: From the Literature Laureates, 1986 to 2006 (2006) — Contributeur — 72 exemplaires
Die letzten Dinge: Lebensendgespräche (2015) — Contributeur — 11 exemplaires
Fateless [2005 film] (2006) — Screenwriter — 7 exemplaires
Merian 1994 47/04 - Weimar (1994) — Auteur — 6 exemplaires
Was für ein Péter! Über Péter Esterházy (1999) — Contributeur — 1 exemplaire

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom canonique
Kertész, Imre
Nom légal
Kertész Imre (Hungarian name order)
Date de naissance
1929-11-09
Date de décès
2016-03-31
Sexe
male
Nationalité
Hungary
Pays (pour la carte)
Hungary
Lieu de naissance
Budapest, Hungary
Lieu du décès
Budapest, Hungary
Lieux de résidence
Budapest, Hungary
Berlin, Germany
Professions
writer
journalist
translator
novelist
essayist
public speaker
Prix et distinctions
Nobel Prize for Literature (2002)
Order of Saint Stephen
Goethe Medal (2004)
Brandenburger Literaturpreis (1995)
Leipziger Buchpreis (1997)
Herder Preis (2000) (tout afficher 7)
Pour le Mérite (2001)
Courte biographie
Imre Kertész was born to a Jewish family in Budapest, Hungary. After his parents László Kertész and Aranka Jakab separated when he was about five years old, he attended a boarding school. In 1944, after Nazi Germany invaded his homeland during World War II, he was deported at age 14 with other Hungarian Jews to the death camp at Auschwitz, and was later sent to Buchenwald concentration camp. He survived to be liberated by U.S. troops in 1945 and returned to Budapest. He resumed his education and graduated from high school in 1948. Kertész became a journalist and worked for the periodical Világosság (Clarity) but was dismissed in 1951 after it adopted the Communist party line. After a short time as a factory worker, he was employed by the press department of the Ministry of Heavy Industry. He then became a freelance writer and translator of German-language authors into Hungarian, including works by Friedrich Nietzsche, Sigmund Freud, Ludwig Wittgenstein, and Elias Canetti. His most influential novel, Sorstalanság (Fatelessness), written between 1960 and 1973, the first of his Holocaust trilogy, was based on his experiences in the camps. Initially it was rejected by the Communist censors in Hungary, but was finally published in 1975. In was adapted into a film in 2005. Subsequent volumes in the trilogy were A kudarc (The Failure, 1988) and Kaddis a meg nem született gyermekért (Kaddish for an Unborn Child, 1990). Having found little appreciation for his writing in Hungary, he divided his time between Budapest and Berlin, where he also was able to make public appearances. He won numerous literary prizes before being awarded the Nobel Prize in Literature in 2002.

Membres

Critiques

Mauvaise idée sans doute de ma part de commencer l'œuvre de Kertész par ce journal... Impression mitigée, sans doute du fait de mon ignorance de son travail?
½
 
Signalé
Nikoz | Feb 15, 2015 |
C’est un livre qui ne laisse pas indifférent, il nous décrit les camps Nazis à travers le regard naïf d’un adolescent qui suit son destin au jour le jour. Ce qui est touchant c’est justement le coté naïf de ce garçon qui essaie de donner un sens à ce qu’il voit et découvre et à, ce qui lui arrive. Un sens à ce qui est insensé , et c’est des doses homéopathiques qu’il s’impose de ( cette acceptation de la réalité ) , il ne veux pas recevoir d’un seule coups cette fatalité , c’est sa façon à lui de se protéger ou plutôt de survivre . Mais en fin de compte son corps lâche et là il n y a aucun échappatoire ( cette réalité des camps est là , elle s’impose à lui ) .
Après qu’il ait survécu à ce cauchemar, à la libération et de retour à son pays, le jeune garçon nous déroute une fois de plus avec sa sérénité. On s’attend à ce qu’il raconte ou bien qu’il dénonce ce qui lui est arrivé, mais rien de tout cela, il continue sa route mais une chose est sûr c’est que sa vie ne sera plus la même.
je vous en dis pas plus, il faut le lire ce livre …. C’est un livre qui marque.
… (plus d'informations)
 
Signalé
acroread | 70 autres critiques | Dec 17, 2013 |
Probablement un grand livre auquel je n'ai pas du tout était sensible. Rien ne m'a plus, ni l'écriture,ni le propos. Je suis d'autant plus triste que je sais que ce livre lu il y a entre cinq et dix ans m'aurait probablement fasciné. J'aurai pu aimé passionnement cet oeuvre et là rien. Sauf de l'ennui, ces phrases qui tournent en boucle qui tournent sur elles même sans fin. Ces idées, cette complaisance avec lui même, ce désir de l'absence de désir, ce refus hypocrite de reconnaitre que seul l'oeuvre littéraire et la création de la postérité compte. Cette manière de dire c'est moi qui suis responsable mais pour mieux montré que c'est les autres les vrais coupables. Insupportable, la lecture a été pénible, mais j'ai fini ce livre. Je n'ai pas été déçu au moins il y a un petit peu d’honnêteté dans la dernière page. Je suis triste de ne pas avoir aimé car ceci me renvoie à mon propre vieillissement. j'ai dépassé le stade du héros. J'ai probablement détesté car je suis comme lui, moins maintenant, car j'ai un peu grandi.
Il y a l'expérience concentrationnaire qui est là, mais pour moi elle n'excuse aucunement le comportement du personnage. La question sur l'identité ne pousse pas le raisonnement assez loin. Superficie des sentiments, des comportements. Tout ça pour la dernière page.
L'écriture ne m'a pas plu mais je reconnais le travail et la qualité littéraire du texte. Je peux comprendre qu'il fascine, mais découverte trop tardive pour moi. Dommage.
Quand je vois que Kertész a eu un Nobel et pas Borges, je me dis que le comité Nobel a des fois de drôles de choix.
… (plus d'informations)
 
Signalé
PUautomne | 16 autres critiques | Dec 8, 2012 |
C'est là l'occasion de découvrir l'auteur, ses inspirations, sa perception du monde et son cheminement. J'ai particulièrement aimé son discours autour du livre : les œuvres qui l'ont inspiré, celles qui l'ont formé, celles, même, qu'il a rejetées. Il y avait aussi un regard intéressant sur ce que signifie le livre, l'écriture et ses propres romans, la différence entre fiction et réalité et le rôle du livre dans la libération de l'esprit, la catharsis, le façonnage du monde. Bémol : Kertész évitait beaucoup de questions ce qui donnait l'impression de coquetterie (même si c'était sans doute la fatigue et la souffrance) mais la teneur de ses propos était souvent riche et instructive.… (plus d'informations)
 
Signalé
Cecilturtle | 3 autres critiques | Dec 26, 2009 |

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