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Aryeh Kaplan (1934–1983)

Auteur de Jewish Meditation: A Practical Guide

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A propos de l'auteur

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Œuvres de Aryeh Kaplan

Jewish Meditation: A Practical Guide (1985) 421 exemplaires
Meditation and Kabbalah (1982) 275 exemplaires
Meditation and the Bible (1978) 153 exemplaires
Tefillin (1975) 64 exemplaires
If You Were God (1983) 54 exemplaires
The Aryeh Kaplan Anthology ll (1991) 51 exemplaires
Tzitzith: A Thread Of Light (1984) 48 exemplaires
Sabbath: Day of Eternity (1976) 40 exemplaires
The handbook of Jewish thought (1979) 26 exemplaires
Encounters (1990) 18 exemplaires
Call to the Infinite (1986) 15 exemplaires
Facets and Faces (1641) 12 exemplaires
The Story of Tisha B'Av (1981) 10 exemplaires
Rabbi Nachman's Wisdom (1973) 9 exemplaires
Gems of Rabbi Nachman (1980) 8 exemplaires
Reaching Out (1991) 7 exemplaires
The Basic Haggadah (1982) 7 exemplaires
The book of Esther 2 exemplaires
Si vous étiez Dieu (1975) 1 exemplaire
THE LAWS OF CHANUKAH 1 exemplaire

Oeuvres associées

Le Sepher Yetsirah : Le livre kabbalistique de la formation (1950) — Directeur de publication, quelques éditions799 exemplaires
Le bahir =: Le livre de la clarté (Collection "Les Dix paroles") (1977) — Directeur de publication, quelques éditions325 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom canonique
Kaplan, Aryeh
Nom légal
Kaplan, Aryeh Moshe Eliyahu
Date de naissance
1934
Date de décès
1983-01-28
Lieu de sépulture
Mount of Olives Cemetery, Jerusalem, Israel
Sexe
male
Nationalité
USA
Lieux de résidence
Bronx, New York, USA
Jerusalem
Études
Torah Voda'as Yeshiva
Mir Yeshiva

Membres

Critiques

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Kaplan-Si-vous-etiez-Dieu/1620544

> SI VOUS ÉTIEZ DIEU ?, de Aryeh Kaplan, Éditions Otsar - Paris.(1991). — Né à New York, l'auteur de ce livre, Aryeh Kaplan, fut un Rabbin éminent également détenteur d'une maîtrise de physique. Décédé prématurément, il eut le temps d'écrire 47 ouvrages très remarqués. Dans un style accessible à tous, il nous livre ici des vérités naguère réservées à quelques rares initiés. Une fois de plus il nous mène au-delà des idées reçues. Nous évoluons dans les tréfonds de l'âme, les mystères de l’univers et sa finalité. En bref, c'est un livre qui nous invite à réfléchir, à agir et à réagir.
La voix séfarad, 34e année /Volume I, Déc.-janv. 2005, (p. 48)

> RÉSUMÉ. — Écrit dans une langue accessible à tous, cet ouvrage nous ouvre les yeux, éveille notre curiosité et notre imagination et pénètre nos cœurs d'un message qui nous force à réfléchir, à agir et à réagir. Il nous entraîne, bien au-delà de notre univers fait de superficialité et de mondain, dans un autre où la lumière de Dieu confèrera à nos existences une nouvelle signification et un autre but. Le Rabbin Aryeh Kaplan a su - et il était seul à pouvoir le faire - percer les secrets du rideau divin et révéler au grand public des vérités naguère réservées aux savants et aux rabbins. Dans cet ouvrage émouvant et d'une grande profondeur, il nous transporte une fois de plus au-delà des idées reçues et de ce qu'elles ont de superficiel. Il nous fait évoluer avec beaucoup de perspicacité dans les tréfonds de l'âme et dans les mystères du monde et de ses buts. Écrit dans une langue accessible à tous, cet ouvrage nous ouvre les yeux, éveille notre curiosité et notre imagination et pénètre nos cœurs d'un message qui nous force à réfléchir, à agir et à réagir.
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Feb 11, 2024 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Kaplan-La-Meditation-et-la-Bible/297855

> LA MÉDITATION ET LA BIBLE, de Aryeh Kaplan, Éditions Albin Michel. Coll. Spiritualités vivantes, 218 pages. — Longtemps on n’a vu dans la méditation hébraïque qu’une invention ou une importation d’autres cultures ; elle a pourtant toujours existé, son représentant le plus connu étant sans doute le kabbaliste du XIIIe siècle Abraham Aboulafia.
Prolongeant les travaux de Gershom Scholem et de Moshé Idel, Aryeh Kaplan montre que cette pratique trouve ses racines dans la Bible elle-même. Transmise de maître à disciple depuis les Patriarches jusqu’à nos jours, cultivée par les prophètes, elle se fonde sur l’interprétation symbolique de textes comme la vision d’Ezéchiel. L’auteur insiste également sur la valeur des Psaumes, qui fonctionnent comme des « mantras » aidant à la concentration et à l’élévation.
Devenu un classique aux Etats-Unis, ce livre fondamental ouvre, comme le souligne Marc-Alain Ouaknin, de nouvelles pistes pour la lecture de la Bible. (Spiritualités vivantes)

> LA MÉDITATION ET LA BIBLE, de Aryeh Kaplan, Éditions Albin Michel. Coll. Spiritualités vivantes.. — « La méditation est un plaidoyer pour une existence joyeuse et heureuse, avec la méditation la tristesse disparaît » écrit Marc-Alain Ouaknin dans la préface … Et il cite un peu plus bas le Rabbi Nahman de Braslav: « La tristesse, c'est l'exil de la présence divine. Mais lorsque l'homme fait une action dans la joie, s'ouvre au miracle du futur, il délivre les étincelles de sainteté retenues prisonnières dans les « êtres ». Quel merveilleux programme !
En lisant ensuite Aryeh Kaplan, on n'a aucun mal a être persuadé que la méditation est la plus belle « activité » de l'homme puisqu'elle met en présence de Dieu et nous rapproche des autres hommes. Le vocabulaire biblique a bien sûr ses mots pour décrire une assez grande variété d'états mystiques et méditatifs. Nous sommes entraînés dans la richesse de la langue hébraïque, sa sémantique bien particulière et passionnante, ses saints persomnages aux caractères bien trempés, Elie, Ezéchiel, Moïse, ainsi que ses êtres surnaturels, Chérubins, anges intercesseurs aimés de Dieu et amis des hommes. « Le fait que les chérubins aient la forme d'êtres humains indique assez que l'homme est à même de transcender ses liens terrestres. »
Philosophes juifs et kabbalistes utilisent le terme « hitbodebout » (dérivé de la racine badad qui veut dire être seul), pour parler du concept de méditation, dont l'objectif est l'accès à l'illumination. Cet éveil porte le nom de Rouah Haqodech, ce qui désigne également l'Esprit Saint. Rouah c'est le Souffle de Dieu, celui qui « plane sur les eaux » aux premières pages de la Genèse. Ce mot signifie également « vent » et « esprit ». Il est proche du mot oreah, « visiteur » ou « visite », d'orah, « sentier », et de reah, « parfum ». « Chacun de ces mots indique une sorte de cheminement, de l'absence à la présence », note Aryeh Kaplan.
Le Talmud décrit les dix degrés çonduisant au « rouah Hagodech » : Etude - Attention - Diligence - Propreté - Abstinence - Pureté - Piété - Humilité - Peur du péché - Sainteté… Presque les Yamah et Niyamah de Patañjali ! Navi désigne le prophète, navah « hurler », « s'écrier ». Le prophète n'est-il pas le « porte-parole » de Dieu par excellence ? Qu'est-ce que hurler, s'écrier, sinon « rendre le souffle » avec vigueur, et ici, sûrement, avec conviction !
Un long chapitre est donc consacré à la prophétie, aux états de conscience nécessaires pour parvenir à ce stade, et donc aux techniques utilisées. Il est aussi question de mélodies répétitives et d'usage des noms divins, proches des mantra, entre autres, la musique étant considérée comme le langage d'un monde spirituel, par lequel l'adepte peut entrer en communication avec son âme. « La Bible fait rarement état de postures corporelles en relation avec la méditation prophétique et l'obtention d'un état mystique. L' Amida, la « prière debout », gui joue un rôle important dans la méditation kabbalistique, est récitée les pieds joints, à l'imitation de la posture des anges. D'autres textes évoquent encore certaines formes de « méditation assise » précise Aryeh Kaplan au début du petit chapitre consacré à la « posture prophétique ». Il mentionne néanmoins la posture à genoux bras ouverts (« l'ouverture des mains indique clairement que l'adepte reçoit le feu spirituel venu des hauteurs »). Les dix doigts élevés correspondraient aux dix sefirot.
La posture prophétique proprement dite est celle où « le sujet enfouit sa tête dans ses genoux », il y a alors transmission de l'énergie séfirotique vers l'esprit.
Annick de Souzenelle parle longuement de cette attitude dans son ouvrage « Le Symbolisme du Corps humain ».
Dans sa troisième partie, « l'archéologie verbale », l'auteur part à la recherche de ce qu'il reste du vocabulaire utilisé pour décrire les pratiques et expériences prophétigues. Deux mots se détachent d'abord :
- Siyah, qui pourrait se traduire par « conversation avec son propre coeur », « Sur le récit de Tes merveilles, je méditerai » (Siyah) (Ps. 119-27). C'est ce qu'en termes « yogigues » nous pourrions traduire par « méditation avec germe », d'autant plus que ce mot « siyah » désigne également la croissance, aussi bien d'une pensée que d'une plante !
- Haga semble désigner la répétition continue d'une formule. Ce mot a la même racine que celui qui, en hébreu, veut dire barre et gouvernail… Ce qui amène les spécialistes à penser que la méditation désignée par ce terme va dans le sens de l'existence dirigée, et aboutit aux « oeuvres », celles de Dieu et… celles de l'homme. Ici, c'est Ishvara Pranidana qui n'est pas loin !
Quant à la méditation cha'cha', « Il s'agit en premier lieu d'un ravissement de l'attention, où l'initié s'affranchit de toute contingence extérieure pour mieux contempler les hauts royaumes spirituels ».
L'auteur achève par un chapitre sur les Psaumes qui « évoquent ceux qui cherchent l'illumination et l'expérience transcendantale ».
Mais aussi qui en amenèrent tant d'autres à l'état contemplatif…
Voici un livre important (paru en 93) pour qui s'intéresse aux traditions hébraïques ou désire simplement jeter un regard neuf sur certains grands passages de la Bible. (Françoise BLÉVOT)
Carnets du Yoga, (167), Mars 1995
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Jan 18, 2022 |

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