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Serge Joncour

Auteur de Elle s'appelait Sarah [film]

19 oeuvres 347 utilisateurs 27 critiques

A propos de l'auteur

Comprend les noms: Serge Joncour

Crédit image: Serge Joncour

Œuvres de Serge Joncour

Elle s'appelait Sarah [film] (2011) — Screenwriter — 80 exemplaires
Chien-Loup (2018) 51 exemplaires
U. V. (2003) 37 exemplaires
Repose-toi sur moi (2016) 29 exemplaires
Nature humaine (2020) 24 exemplaires
L'amour sans le faire (2012) 18 exemplaires
L'écrivain national (2014) 17 exemplaires
Vu (1998) 12 exemplaires
Combien de fois je t'aime (2008) 12 exemplaires
Situations délicates (2001) 12 exemplaires
L'idole (2004) 10 exemplaires
Que la paix soit avec vous (2006) 9 exemplaires
Chaleur humaine (2023) 6 exemplaires
In vivo (2002) 5 exemplaires
Combine De Fois Je T'aime (B1) (2014) 5 exemplaires
Lean on Me (2022) 5 exemplaires
Kenavo (2002) 4 exemplaires
Ultraviolett (2008) 3 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1961-11-28

Membres

Critiques

Sympa, cette passion, ça emporte.

Un livre sur la force, celle qui rassure et protège. Un peu « cliché sexiste » quand même, cette histoire de femme en désarroi qui recherche l’épaule solide. Non ?
 
Signalé
noid.ch | 1 autre critique | Mar 14, 2022 |
L'entreprise d'Aurore, styliste parisienne fragile et angoissée, est en perte de vitesse. Ludovic, ancien agriculteur reconverti dans le recouvrement de fond, inspire confiance et respect. Quelques jours-clé dans la vie de ces deux voisins, entre différences de classe, appréhensions du lendemain et découverte de soi et de l'autre. Un roman moins léger qu'il n'y paraît, qui mêle avec délicatesse difficultés matérielles et émotionnelles de la vie contemporaine et recherche intime de sens.… (plus d'informations)
 
Signalé
Steph. | 1 autre critique | Sep 10, 2017 |
Voilà une autofiction où Serge Joncour se met en scène. Invité par les libraires d'une petite municipalité de région forestière à devenir l'écrivain en résidence ayant la charge d'animer des ateliers et de livrer quelques conférences, l'auteur sera plongé dès les premiers instants dans un drame issu d'un fait divers, la disparition d'une figure locale attribuée à un couple de ses locataires d'un petit terrain en forêt. C'est le regard photographié de Doria, la partie féminine de ce couple marginal, qui fascinera l'écrivain. Il cherchera aussitôt à la rencontrer sans tenir compte des avis contraires de ses hôtes.

On est alors entraîné dans la quête de l'écrivain, une quête qui prend une allure policière et noire, mais qui constitue en un certain sens un prétexte pour porter un regard sur une société tournée sur elle-même, une communauté qui engendre ses propres ennemis et où l'auteur, enquêteur gauche et malhabile, ne semble jamais à sa place.

Au rythme de ses incursions en forêt, l'auteur nous livre ici des descriptions naturelles et humaines parfois teintées d'ironie. Il partage également ses réflexions sur le rôle de l'écrivain, sur ses interactions avec ses lecteurs et avec le monde et cela est loin d'être la partie la moins intéressante de cette agréable lecture.

[http://rivesderives.blogspot.ca/2017/02/lecrivain-national-serge-joncour.html]
… (plus d'informations)
 
Signalé
GIEL | Mar 9, 2017 |
Je connais Serge Joncour par sa voix aux Papous et par ses quelques tweets inspirés. Je n'avais jamais lu l'un de ses romans et puis, il y a eu celui-ci offert sur une table de mise en valeur chez mon libraire d'occasion. Je n'ai pas été long à convaincre que j'avais là l'opportunité de me confronter à une écriture moins brève de Joncour.
Je n'ai pas été déçu. L'idole offre un regard aiguisé et moqueur sur certains aspects de notre société où la pipolisation ou vedettisation fait office d'interface entre la star et la plèbe. Georges Frangin, chômeur lamda, se voit ici projeté à l'avant-scène de la célébrité sans en connaître la raison. Il explorera, et nous l'accompagnant, les détours et les dérives de cette célébrité en jetant des questionnements sur certains événements de sa vie antérieure, aucun de ceux-ci n'anticipant cela. Dans la tête de Georges, nous vivons ses émois comme nous vivions ceux de Monsieur Palomar. L'humour retenu et parfois noir de Joncour contribue à l'agrément de lecture de ce court roman sociologique.

[http://rivesderives.blogspot.ca/2014/08/l-serge-joncour.html]
… (plus d'informations)
½
 
Signalé
GIEL | Jan 4, 2015 |

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Prix et récompenses

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Statistiques

Œuvres
19
Membres
347
Popularité
#68,853
Évaluation
½ 3.3
Critiques
27
ISBN
57
Langues
4

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