Jayadeva
Auteur de Gita Govinda: Jayadeva, Danses et poème d'amour
A propos de l'auteur
Crédit image: From Wikimedia Commons
Œuvres de Jayadeva
Gītagovinda: ein illustriertes Palmblattmanuskript aus Orissa, Indien im Museum Rietberg Zürich : das grosse… (2010) — Auteur — 2 exemplaires
Beyond Mediation,Negotiation and Negative Peace:Towards Trans formative Peace in Sri Lanka 1 exemplaire
Śrīgītagovindamahākāvyam 1 exemplaire
Gitagovinda (Holcombe) 1 exemplaire
Oeuvres associées
World Poetry: An Anthology of Verse from Antiquity to Our Time (1998) — Contributeur — 448 exemplaires
Étiqueté
Partage des connaissances
- Autres noms
- Jaidev
- Date de naissance
- 1170 CE
- Date de décès
- unknown
- Sexe
- male
- Nationalité
- India
- Professions
- poet
Hindu mendicant - Organisations
- Bhakti Movement
- Courte biographie
- Jayadeva was a Sanskrit poet, who lived in what is now Orissa, circa 1200 AD. He is most known for his composition, the epic poem Gita Govinda, which depicts the divine love of the Hindu deity Krishna and his consort, Radha, and is considered an important text in the Bhakti movement of Hinduism. He was born to an Utkala Brahmin family in a village called Kenduli Sasan in Orissa.
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Auteurs associés
Statistiques
- Œuvres
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- Membres
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- Popularité
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- Évaluation
- 4.0
- Critiques
- 3
- ISBN
- 26
- Langues
- 10
- Favoris
- 1
> GITA-GOVINDA, de Jayadeva. Préfacé et traduit du sanskrit par Jean Varenne. Collection Textes Sacrés. — Voici une nouvelle traduction du Gîta-Govinda, « le grand poème célébrant l’amour » écrit au XIIIe siècle par Jayadéva. Ce texte très apprécié en Europe à l’époque romantique - Goethe le tenait pour l’un des joyaux de la littérature universelle - avait subi plusieurs mauvaises traductions successives.
Le canevas de ce chant est classique et très populaire. Il s’inspire des amours de Krishna et Râdhâ qui appartiennent au patrimoine religieux de l’Hindouisme. Krishna aime Râdhâ et en est aimé. Il lui arrive cependant d’être infidèle et de séduire les nombreuses gopîs (vachères) ; elle se lamente alors et souhaite le voir revenir à elle. Lui, de son côté se souvient de leurs amours et revient à elle, non sans se demander si elle ne va pas le rejeter. Elle n’en fait rien. Dans diverses régions de l’Inde, de nombreux poèmes sur ce thème ont été composés au cours des siècles.
L’originalité de Jayadéva fut de composer en sanscrit une série de 24 chansons à l’imitation de celles qui avaient en hindi ou en bengali la faveur du public populaire et de reprendre sur le mode lyrique les thèmes habituels de la littérature Krishnaïte : joie et souffrances du jeu amoureux dans le décor agreste du Vrindâvana. Au lieu de célébrer Krishna et les gopîs, Jayadéva choisit de centrer l’action sur la dialectique des rapports amoureux entre Krishna et sa favorite, Râdhâ. Il donne ainsi à leur amour une valeur universelle.
En Inde l’amour charnel représente l’union mystique et Jayadéva est un dévot qui n’a écrit que pour célébrer la gloire de Krishna, son Seigneur. Même si la lecture que nous en faisons n’est que profane, le Gîta-Govinda exalte en nous une émotion poétique qui n’est pas si éloignée de l’émotion mystique.
Jean Varenne, docteur ès lettres, professeur de sanskrit à l’université de Lyon, donne ici la première traduction moderne et poétique du Gîta-Govinda. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages concernant la civilisation de l’Inde traditionnelle : l’Art de l’Inde (Flammarion), Célébration de la Grande Déesse (Belle Lettres), Sept Upanishads (Le Seuil), Aux Sources du Yoga (Éd. ; J. Renard), Cosmogonies védiques (Belles Lettres), Le Tantrisme (Retz)… Ed. du Rocher/Unesco. (Ysé MASQUELIER).
—Carnets du Yoga, (136), Février 1992
> GITA-GOVINDA, de Jayadéva. — Jean Varenne, docteur ès lettres, professeur de sanskrit à l’université de Lyon, donne ici la première traduction moderne et poétique du Gîta-Govinda, oeuvre de Jayadéva : XIIe siècle.
À la fois lyrique et érotique, le Gîta-Govinda est aussi une allégorie mystique des souffrances de l’âme dévote qui se croit abandonnée de Dieu avant de la retrouver avec ravissement. Extrêmement populaire, le Gîta-Govinda est récité dans les temples, accompagnés de musique et de danse. Ed. du Rocher/UNESCO - 205 p.
—3ᵉ millénaire, (22), Hiver 1991… (plus d'informations)