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Jean-Michel Guenassia

Auteur de Le club des incorrigibles optimistes

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A propos de l'auteur

Crédit image: Jean-Michel GUENASSIA

Œuvres de Jean-Michel Guenassia

Le club des incorrigibles optimistes (2009) 441 exemplaires
La vie rêvée d'Ernesto G. (2012) 64 exemplaires
La Valse des arbres et du ciel (2016) 25 exemplaires
Trompe-la-mort (2015) 12 exemplaires
Les Terres promises (2021) 9 exemplaires
La mano sbagliata (2015) 3 exemplaires
A Dieu vat (2023) 2 exemplaires
Guenassia Jean-Michel 1 exemplaire

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom canonique
Guenassia, Jean-Michel
Nom légal
Guenassia, Jean-Michel
Date de naissance
1950
Sexe
male
Nationalité
France

Membres

Critiques

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Guenassia-Le-club-des-incorrigibles-optimistes/13...
> Psychologies magazine : https://fr.calameo.com/books/000048378bf6d93a97b95

> Au-delà du portrait d’une génération, celle qui a connu la Seconde Guerre mondiale, la Libération et plus tard le conflit d'Algérie, ce roman inracontable nous parle d'exil, d’amitié, d’amour.
Le Livre de Poche

> Il y a de l’allant dans ce feuilleton, une douceur dans la narration, des alliances réussies entre les truquages politiques de l’époque et l’innocence d’un lycéen.
Jacques-Pierre Amette, Le Point

> Un beau roman ambitieux qui réussit à brosser le portrait de la France gaulliste à peine relevée de la guerre.
Christine Ferniot, Télérama

> Jean-Michel Guenassia prend tout son temps pour installer le lecteur dans ce monde où se croisent les destinées les plus complexes et le quotidien du petit Parisien qui fait son apprentissage de la vie. Cette délicate balance entre l'histoire mondiale des années 1960 et la vie sans aspérité de la famille Marini est maintenue, portée et développée de la première à la dernière page. C'est sans doute la principale qualité de ce livre : ne jamais tomber dans la démonstration, préserver le sentiment, la proximité et la structure romanesque...
Quoi qu'il en soit, cet opus est un beau roman ambitieux qui réussit à brosser le portrait de la France gaulliste à peine relevée de la guerre, ignorant ce qui se passe à deux pas de chez elle, dans la Russie stalinienne.
—(Christine Ferniot - Télérama du 19 août 2009)

> C'est un gros et grand roman. Le premier d'un inconnu de 59 ans dont vous devez à tout prix retenir le nom : Jean-Michel Guenassia réussit, avec cette oeuvre de près de 800 pages, une entrée fracassante sur la scène littéraire. D'emblée, il s'impose comme un véritable écrivain. Le pari était audacieux : croiser la saga d'une famille française, des gens bien comme il faut, avec celle d'une armée de parias, des réprouvés venus de toutes les régions d'Europe de l'Est...
Tous ont trahi leurs idéaux, leurs familles, leurs amours. Aucun ne mérite d'être jugé. Car leur histoire est magnifique. Jean-Michel Guenassia récite leurs destins à la manière d'un aède grec. Puissant, profond, triste et réjouissant, Le Club des incorrigibles optimistes, premier roman d'une stupéfiante maîtrise, sera l'événement de cette rentrée littéraire !
—(François Busnel - L'Express du 20 août 2009)

> La grande réussite de Guenassia est une composition subtile, un rythme toujours soutenu, qui retient les lecteurs, même les plus rétifs aux gros romans narratifs. Il fait alterner deux histoires principales, liées par Michel Marini : le roman de formation de celui-ci, dans la France troublée de la fin des années 1950 et du début des années 1960, et ce "club des incorrigibles optimistes", dont le nom rappelle ironiquement l'un des drames du XXe siècle, la faillite du communisme. Ce fameux club, qui se réunit dans l'arrière-salle du Balto, un café de la place Denfert-Rochereau, rassemble des joueurs d'échecs. Tous ont quitté des pays de l'Est, pour des raisons diverses. Certains sont d'un anticommunisme radical, d'autres défendent encore le rêve de leur jeunesse. Ils s'engueulent dans toutes les langues, avant de se retrouver en français.
—(Josyane Savigneau - Le Monde du 28 août 2009)

> Ce formidable premier roman, où l'on croise Sartre et Kessel, est un pavé dans la mare de la rentrée...
Avec pour thème central la trahison des idéaux et les drames nés des idéologies qui ont déchiré le XXème siècle, le gros roman de Jean-Michel Guenassia est l'un des événements de la rentrée. Sa réussite tient à l'atmosphère qu'il dégage et à la fluidité de son écriture. Sur fond de guerre d'Algérie, l'auteur brosse un remarquable tableau de la France des années 1960 vue par les émigrés qui ont fait la France d'aujourd'hui. Pour ces incorrigibles optimistes, «le plus important dans la Terre promise, ce n'est pas la terre, c'est la promesse».
—(Claire Julliard - Le Nouvel Observateur du 10 septembre 2009)

> Jean-Michel Guenassia trouve le ton juste, à la fois tendre et gouailleur, pour raconter cette jeunesse française. Les premiers émois amoureux de son héros, sa révolte contre des parents jugés trop autoritaires, sa découverte du rock' n'roll, sa passion du baby-foot qui n'a d'égale que celle de la lecture... autant de morceaux de bravoure qui font de la lecture de cet ample roman - 750 pages tout de même - un long moment de plaisir.
—(Dominique Guiou - Le Figaro du 17 septembre 2009)

> Ce premier roman, qui n'en est pas tout à fait un, puisque Jean-Michel Guenassia, né en 1950, scénariste pour la télévision, a publié un polar chez Liana Levi en 1986 (Pour cent millions), se passe entre 1959 et 1964, avec des flash-back qui concernent les optimistes du titre, et entretiennent le côté mille-feuille. Le narrateur s'appelle Michel, prénom d'époque. C'est celui du bébé très populaire, créé en 1954 par le magazine Modes et Travaux...
L'auteur ne se méfie pas des clichés, concentré qu'il est sur les irruptions de la grande Histoire dans les aventures de Michel (une allusion à la série des «Michel» dans «la Bibliothèque verte» ?). Le Club des incorrigibles optimistes est un cercle de joueurs d'échecs, à l'abri derrière une porte dissimulée par un rideau de velours vert, au fond du Balto, un bistro à l'angle de Denfert-Rochereau et Raspail où se donnent rendez-vous les mangeurs de goulash. Outre qu'on y croise Jean-Paul Sartre et Joseph Kessel («ils étaient riches, célèbres, généreux et discrets»), il se dispute ici des parties mémorables, qu'on a du mal à se représenter, car les participants sont surtout occupés à faire énormément de bruit. Ils s'engueulent sur Gagarine envolé dans l'espace ou Noureev passé à l'Ouest. Russes, Tchèque, Hongrois, Grec, communistes ou antisoviétiques, ils ont fui leur pays.
—(Claire Devarrieux - Libération du 22 octobre 2009)
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Signalé
Joop-le-philosophe | 20 autres critiques | Jan 31, 2019 |
Il faut bien l’avouer, je me suis un peu fait avoir lorsque j’ai acheté ce livre. Le titre me plaisait, mais peu de temps avant, je m’étais résolue à ne pas lire Le Club des incorrigibles optimistes, convaincue par les critiques (tant les élogieuses que les moins amènes) que ce livre n’était pas fait pour moi. Alors imaginez ma déception lorsque je me suis aperçue que c’était le même auteur qui avait écrit ce livre…
Bon, tant pis, un achat est un achat, je me suis décidée il y a peu à donner une chance à ce livre, en essayant de faire de mon mieux pour faire abstraction de mes réticences. Las. Sont-ce ces réticences, ou sont-ce les qualités intrinsèques (ou leur absence) de ce livre, toujours est-il que je n’ai pas réussi à en lire plus d’une petite centaine, avant de rendre sa liberté à ce livre en espérant qu’il trouve des lecteurs qu’il saura mieux combler que moi.
J’ai trouvé le style plat, les personnages sans relief, l’histoire sans intérêt et même en jetant un petit coup d’œil ici ou là pour voir si les événements s’emballaient, je n’ai pas réussi à trouver l’envie de continuer à accompagner Joseph dans ses pérégrinations. Ce n’est pas que Le Club des incorrigibles optimistes qui n’est pas pour moi, c’est tous les livres de cet auteur, je le crains.
Suivre un peu plus l’actualité littéraire avant de faire des achats de dernière minute par peur de manquer de pages dans une librairie d’aéroport. Leçon apprise à mes dépens et à ceux de mon porte-monnaie.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | 3 autres critiques | Jul 4, 2016 |
On est tout près du même ratage que son autre opus alors que là, le charme opère et que l'on a un livre attachant, intéressant, bien ficelé.
 
Signalé
Nikoz | 20 autres critiques | Jun 23, 2014 |
Le foisonnement culturel des années 60, la guerre d'Algérie, le stalinisme et les exilés politiques, mais aussi les premiers amours, les désillusions familiales et les espoirs adolescents. C'est tout cela que ce roman relate avec sensibilité et humour en montrant à quel point la grande histoire peut bouleverser les destins individuels.
 
Signalé
Steph. | 20 autres critiques | Oct 4, 2013 |

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