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Crédit image: José Frèches en 2017

Séries

Œuvres de José Frèches

Toulouse-Lautrec. Les lumières de la nuit (1991) — Directeur de publication — 76 exemplaires
Le Toit du monde (2004) 55 exemplaires
Les yeux de Bouddha (2004) 33 exemplaires
L'Usurpatrice (2004) 25 exemplaires
Il était une fois la Chine, 4500 ans d'histoire (0005) — Auteur — 23 exemplaires
Moi, Bouddha (2004) 21 exemplaires
Le Caravage, peintre et assassin (1995) 14 exemplaires
Dictionnaire amoureux de la Chine (2013) — Auteur — 9 exemplaires
El imperio de las lágrimas (2009) 6 exemplaires
Les amants calligraphes (2005) 5 exemplaires
Le centre d'appels (2007) 5 exemplaires
Les merveilles du Palais d'Eté (2006) 4 exemplaires
Moi, Confucius (2013) — Auteur — 4 exemplaires
Quand les Chinois cesseront de rire, le monde pleurera (2007) — Auteur — 4 exemplaires
La Route de la Soie (2003) 3 exemplaires
La Sinologie (1975) 3 exemplaires
La guerre des images (1986) 3 exemplaires
Eu, Buda (2006) 2 exemplaires
Gengis Khan (1) (2017) 2 exemplaires
La emperatriz de la seda (2010) 2 exemplaires
Eu, Siddharta, O Buda 1 exemplaire
MOI, BOUDDHA 1 exemplaire
Zīda imperatore : triloģija (2007) 1 exemplaire
Gandhi: roman istoric (2009) 1 exemplaire
Je suis un soldat de la paix (1982) 1 exemplaire
Moi, Confucius 1 exemplaire
Le Poisson Pourrit Par La Tête (1992) 1 exemplaire
MOI BOUDDHA (2006) 1 exemplaire
Le Centre d'appel (2006) 1 exemplaire

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Critiques

Voici donc la conclusion de l’Impératrice de la soie, seconde incursion de José Frèches dans le roman historique, ayant produit une trilogie dans l’antiquité chinoise quelques années auparavant. On a ici affaire à une nouvelle fresque exploitant une période clef de l’histoire chinoise puisque celle-ci se déroule sous la dynastie des Tang, à une époque où le commerce de la soie battait son plein et faisait la richesse de l’Empire. C'est aussi, et peut-être surtout, le récit de l'accession au pouvoir de Wu Zetian, seule femme en 5000 ans d'Histoire ayant accédé au statut d'Empereur de Chine.

Comme bon nombre de derniers tomes de cycles, l'Usurpatrice met avant tout en scène la confluence de plusieurs intrigues débutées dans les volumes précédents. On retrouve donc les rêves de puissance de l'impératrice Wu Zhao ainsi que la complexité de ses interactions avec le bouddhisme chinois qui va être son principal appui politique dans son accession au pouvoir suprême.

Si le récit est un peu plus fluide que précédemment, j'ai regretté que les considérations économiques et commerciales entourant la Route de la Soie ainsi que les problématiques religieuses (relations entre les différentes variantes de bouddhisme, statut des religions implantées en Chine) soient quelque peu laissées de côté au profit de la trajectoire des nombreux personnages, chacun porteur de sa propre quête. Au final, tout comme le Disque de Jade, l'Impératrice de la soie traîne en longueur et laisse malheureusement l'Histoire en simple toile de fond au profit du destin d'une multitude de personnages secondaires fictifs plus ou moins bien développés. Une semi-réussite, quand même.
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Signalé
corporate_clone | 2 autres critiques | Sep 8, 2014 |
Avec l’Impératrice de la soie, José Frèches réitère son incursion dans le roman historique ayant produit une trilogie dans l’antiquité chinoise quelques années auparavant. On a ici affaire à une nouvelle fresque exploitant une période clef de l’histoire chinoise puisque celle-ci se déroule sous la dynastie des Tang, à une époque où le commerce de la soie battait son plein et faisait la richesse de l’Empire.

Ce deuxième tome poursuit les écheveaux d’intrigues amorcés dans le premier volume, à savoir le commerce de la soie (ainsi que son trafic), l’impératrice Wuzhao rêvant de devenir premier empereur féminin de Chine ainsi que les tractations entre les différentes voies du bouddhisme (indien, chinois et tibétain). Mais c’est l’histoire d’amour entre une jeune chrétienne et un moine bouddhiste en mission qui est au-devant de la scène.

Malgré l’intérêt évident des problématiques levées dans cette trilogie (échanges entre Orient et Occident, état de l’Empire chinois sous les Tang, destin d’un des personnages historiques clé de l’Histoire de la Chine, essor du bouddhisme en Asie) et une écriture plutôt soignée, José Frèches est rattrapé par ses vieux démons. Le lecteur se voit ainsi infligé une histoire d’amour mièvre entre deux ados dont le seul intérêt semble être de décrire le dilemme de l’amour et de la foi qu’affronte un moine bouddhiste. On souffre également de la paresse scénaristique affligeante : des personnages parcourent des milliers de kilomètres et se rencontrent ponctuellement par le plus grand des hasards, etc.
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½
 
Signalé
corporate_clone | 2 autres critiques | Aug 23, 2014 |
Avec l’Impératrice de la soie, José Frèches réitère son incursion dans le roman historique ayant produit une trilogie dans l’antiquité chinoise quelques années auparavant. On a ici affaire à une nouvelle fresque exploitant une période clef de l’histoire chinoise puisque celle-ci se déroule sous la dynastie des Tang, à une époque où le commerce de la soie battait son plein et faisait la richesse de l’Empire.

Le Toit du monde est un tome d’exposition relativement efficace dans la mesure où il présente l’intégralité des personnages de la saga ainsi que bon nombre d’amorces d’intrigues. La Route de la soie est évidemment un des lieux clefs du roman mais celui-ci fait également la part belle aux hauts lieux du bouddhisme chinois, indien et tibétain, religion qui dominait déjà la majeure partie de l’Asie.

J’ai trouvé le roman agréable dans ce qu’il laisse entrevoir de l’érudition de l’auteur, en particulier sur la situation géopolitico-religieuse avec le chevauchement du bouddhisme, des variantes du christianisme avec les paganismes locaux encore bien enracinés. C’est malheureusement une des seules forces du livre (mais elle est de taille) puisque scénaristiquement l’auteur use de grosses ficelles et que les personnages sont aussi inconsistants que dans le Disque de Jade (l’autre trilogie écrite par José Frèches).
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Signalé
corporate_clone | 3 autres critiques | Aug 9, 2014 |

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