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Fabien Vehlmann

Auteur de Jolies ténèbres

80 oeuvres 2,185 utilisateurs 81 critiques

A propos de l'auteur

Comprend les noms: Vehlmann Fabien

Comprend aussi: Vehlmann (1)

Séries

Œuvres de Fabien Vehlmann

Jolies ténèbres (2009) 515 exemplaires
L'île aux cent mille morts (2011) — Auteur — 118 exemplaires
Seuls, Tome 1 : La disparition (2006) 93 exemplaires
Satania (2016) 79 exemplaires
Last Days of an Immortal (2012) 67 exemplaires
Seuls, Tome 4 : Les Cairns rouges (2009) 59 exemplaires
Seuls, Tome 3 : Le clan du requin (2008) 56 exemplaires
Sept psychopathes (2007) 48 exemplaires
Les géants pétrifiés (2006) 47 exemplaires
Seuls, Tome 7 : Les Terres basses (2012) 41 exemplaires
Seuls, Tome 8 : Les Arènes (2013) 36 exemplaires
Spirou et Fantasio. Tome 55 : La colère du Marsupilami (2016) — Auteur — 36 exemplaires
The Black Virgin: The Marquis of Anaon Volume 2 (2003) — Writer — 23 exemplaires
Le dernier Atlas. Tome 1 (2019) — Auteur — 18 exemplaires
Les Cinq Conteurs de Bagdad (2006) 16 exemplaires
I.A.N., tome 1 : Singe électrique (2003) 14 exemplaires
Infinity 8, Tome 3 : L'Evangile selon Emma (2017) — Auteur — 12 exemplaires
Le dernier Atlas. Tome 2 (2020) — Auteur — 10 exemplaires
Lessons of Darkness (Ian) (2004) 9 exemplaires
IAN : Intégrale (2007) 7 exemplaires
Ian (integral) (2012) 5 exemplaires
La Nuit de l'Inca, tome 2 (2004) 5 exemplaires
Voyage en Satanie, Tome 1 : (2011) 4 exemplaires
Seuls T14 : Les Protecteurs (2024) 4 exemplaires
Satiana, 2 (2018) 3 exemplaires
Polaris - La Nuit de Circé (2018) 2 exemplaires
Coeurs de palmier (2002) 2 exemplaires
Ian Vol. 4: Metanoia (2020) 1 exemplaire
Samedi et Dimanche 1 exemplaire
De olympische oorlog (2021) 1 exemplaire
Sette: 7 psicopatici-7 ladri: 1 (2016) 1 exemplaire
Blietzkrieg (IAN, #3) 1 exemplaire

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1972-01-30
Sexe
male
Nationalité
France
Lieu de naissance
Mont de Marsan, France

Membres

Critiques

Cette note de lecture se rapporte au cycle 2 de la série de bande dessinée « Seuls », soit les tomes 6 à 9.

Le cycle 2 de cette série, après une première partie qui est certes assez étrange et plutôt dérangeante, mais qui se tenait bien. On sait maintenant pourquoi les enfants sont seuls, ce qui est arrivé à leur monde. Mais le reste de l’histoire commence à devenir de plus en plus obscur. On avait déjà les Cairns rouges dans le précédent cycle, qui avaient commencé à me faire décrocher. Là on rajoute des histoires qui tendent au totalitarisme, et cela devient de plus en plus étrange et malsain. Je suis assez peu convaincue par ce deuxième cycle, qui ouvre beaucoup de lignes narratives dont j’ai la sensation qu’elles n’arriveront pas à se rejoindre de façon convaincante. Cela finit avec un coup de théâtre final, l’enfant-minuit, il faudra attendre pour voir ce que nous réserve la suite, mais je dois avouer que je trouve que tout cela devient malsain pour être malsain. Il aurait peut-être mieux valu savoir s’arrêter plus tôt, et peut-être aussi faire attention à ce que nos chères têtes blondes, brunes ou rousses lisent et comprennent ce qu’ils lisent. Un peu d’accompagnement me semble ici nécessaire pour réfléchir à cette bande dessinée, qui n’est pas à mettre entre toutes les mains, et surtout pas d’ingénus enfants encore plein d’illusions naïves et nécessaires à leur construction.… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | Oct 30, 2019 |
Cette note de lecture se rapporte aux cinq premiers volumes de la série de bande dessinée « Seuls ».

Titre étrange, série empruntée à la bibliothèque par P’tit Raton (il va falloir que je songe à changer son surnom, il ne fait plus que 2 cm de moins que moi…), j’ai voulu essayer aussi. « Etrange » ne s’arrête pas au titre. L’idée aussi, ces enfants qui se retrouvent seuls dans une ville immense, puis des phénomènes étranges qui se passent.
Le premier tome, qui pose la situation et introduit les personnages, est plutôt plaisant, intriguant mais plein de potentiel. Le deuxième tome est inquiétant, mais finalement plutôt mignon lorsque l’on comprend les motivations du maître des couteaux. A partir du troisième tome, par contre, les choses deviennent de plus en plus compliquées, et aussi, je crois, de plus en plus malsaines. Un peu de [Sa Majesté des Mouches] dans l’air. Encore une fois, c’est étrange, mais pourquoi pas, pour des enfants pas trop enfants, et qui savent prendre un peu de recul par rapport à ce qu’ils lisent.… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | 1 autre critique | Oct 30, 2019 |
Green Manor est un club pour gentlemen dans le Londres victorien, un club d'un genre un peu particulier puisque les membres sont un tantinet obsédés par le crime : la réalisation, la résolution, la théorie.

Chacune des histoires est marquée par l'humour. Un humour anglais, c'est-à-dire avec une dose d'ironie dans la conclusion, un côté "c'est la vie qui se venge".

On peut citer par exemple l'historiette qui s'appelle Jeux d'enfants. Un serveur du club se fait humilier systématiquement par un des membres du club. Un autre se vante de pouvoir faire assassiner qui il veut sans jamais être mis en cause. Il propose de faire profiter de ses relations au serveur, un peu comme si il parlait à une âme inférieure comparée à lui et son intelligence. Le serveur commence par lui expliquer que ce n'est absolument pas morale mais il insiste. Le serveur trouve le moyen de lui faire payer pour ses crimes en utilisant ses anciens jeux d'enfants.

Il y a dans une autre nouvelle deux gentlemen qui essaient de se tuer mutuellement pendant une semaine pour savoir qui est le meilleur. À la fin de la semaine, pas de réponse mais deux morts tout de même.

Bien sûr, comme on parle de l'époque victorienne, deux de nos gentlemen essaye de tuer Conan Doyle en lui projetant du haut d'un clocher 21 hallebardes sur la tête au cours d'une conférence.

J'ai trouvé que les historiettes étaient toutes réussies chacune dans son genre avec comme je le disais une constance sur l'humour anglais.

Les dessins ne m'ont pas subjugué mais j'ai trouvé qu'ils servaient parfaitement l'histoire : les décors retranscrives bien l'époque et les visages les émotions des personnages. Un point important : le dessinateur n'a pas dans sa palette qu'une seule forme de visage. Chacun est différent et caractéristique. Cela permet de les reconnaître très facilement.

C'est donc un très bel album avec à l'intérieur des histoires criminelles où il est important que le crime soit élégant. Vous sourirez sans aucun doute (à mon avis).
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Signalé
CecileB | 3 autres critiques | Aug 10, 2012 |
Ceux qui, dans leur jeunesse, ont lu le Voyage au centre de la Terre de Jules Verne en gardent certainement encore aujourd'hui un souvenir émerveillé. Découvrir un monde étrange et merveilleux qui se trouve là, juste sous nos pieds. Partir à l'aventure en montant une exploration scientifique pour conquérir ces nouveaux territoires encore vierges. Je fais partie de ces personnes là et j'ai même conservé l'édition Folio junior de ma jeunesse que je n'ai jamais voulu relire de peur de voir se flétrir ou s'évanouir un si beau souvenir. C'est certainement ce passif qui a éveillé ma curiosité concernant ce premier tome de Voyage en Satanie — il y a aussi le fait que j'apprécie beaucoup le travail de Fabien Vehlmann. Je ne me suis pas trompé, il est bien question d'exploration sous-terraine, autrement dit de spéléologie. C'est l'espoir de retrouver un frère disparu qui a poussé Charlie — c'est la jeune fille aux cheveux roux que l'on voit sur la couverture —, et un petit groupe d'amis, à s'aventurer dans les cavités sous-terraines. Le frère de Charlie était tout simplement parti, pour une raison que je ne révélerai pas, à la recherche de l'enfer — rien que ça. Ce petit groupe est rejoint par un curé spéléologue qui les sermonne pour leur imprudence — normal c'est un curé. Ses craintes vont pourtant se révéler fondées. Un violent orage va déclencher une brusque montée des eaux qui va forcer les imprudents à s'aventurer plus avant dans les profondeurs de la Terre.

Commençons par les dessins qui sont le gros point fort de cette BD. Ils ont un aspect presque enfantin les rendant très agréables et harmonieux. La mise en couleur toute en subtilité renforce cette bonne impression et le tout donne un résultat très original et très convaincant. Cependant, ne vous y trompez pas, malgré un début gentillet, l'aventure prend rapidement une tournure bien moins sage et doit plutôt être réservée aux plus grands.
Ce n'est pas, à mon sens, le meilleur scénario de Vehlmann on y retrouve pourtant, comme dans le marquis d'Anaon le folklore, les légendes et même ici la religion. Vous comprenez aisément qu'un abbé qui se dirige vers les enfers est le prétexte à bien des interrogations. Quel est le véritable enfer ? Pourtant le déclic ne s'est pas produit cette fois même si je serai malgré tout curieux de lire le deuxième et dernier tome. http://www.aubonroman.com/2012/01/voyage-en-satanie-t1-par-f-vehlmann.html
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Signalé
yokai | Jan 13, 2012 |

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