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Andreas Eschbach

Auteur de Des milliards de tapis de cheveux

96+ oeuvres 4,876 utilisateurs 147 critiques 26 Favoris

A propos de l'auteur

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Séries

Œuvres de Andreas Eschbach

Des milliards de tapis de cheveux (1995) 865 exemplaires
Jésus vidéo (2000) 580 exemplaires
One Trillion Dollars (2001) 491 exemplaires
Der Letzte seiner Art (2003) 289 exemplaires
En panne sèche (2007) 289 exemplaires
Maître de la matière (2011) 244 exemplaires
Der Nobelpreis (2005) 220 exemplaires
Quest. (2001) 190 exemplaires
Ein König für Deutschland (2009) 138 exemplaires
Exponentialdrift. (2003) 112 exemplaires
Station Solaire (1996) 109 exemplaires
Black*Out (2010) 95 exemplaires
Le Projet Mars (2001) 84 exemplaires
L'Affaire Jésus (2014) 77 exemplaires
Kelwitts Stern (1999) 68 exemplaires
Todesengel: Roman (2013) 65 exemplaires
Hide*Out (2011) 59 exemplaires
Eine Trillion Euro (2004) 57 exemplaires
Eine unberührte Welt (2008) 56 exemplaires
Time*Out (2012) 54 exemplaires
Copie parfaite (2002) 53 exemplaires
Die seltene Gabe (2004) 50 exemplaires
Das Buch der Zukunft (2004) 47 exemplaires
Teufelsgold (2016) 46 exemplaires
Eines Menschen Flügel (2020) 36 exemplaires
Aquamarin (2015) 34 exemplaires
Freiheitsgeld (2022) 25 exemplaires
Der schlauste Mann der Welt: Roman (2023) 14 exemplaires
Submarin (2017) 12 exemplaires
Die Wiederentdeckung (2006) 11 exemplaires
Das schwarze Messer (2011) 10 exemplaires
Ultramarin (2019) 8 exemplaires
Eine unberührte Welt - Band 1 (2010) 6 exemplaires
Der Mann aus der Zukunft (2014) 4 exemplaires
Schöne Scheiße! 4 exemplaires
Der Albtraummann (2016) 4 exemplaires
Eine unberührte Welt - Band 6 (2010) 4 exemplaires
Quantenmüll (2013) 3 exemplaires
Mars One Way 3 exemplaires
Het Armageddon-complot (2014) 3 exemplaires
Al-Qaida: TM (2015) 2 exemplaires
Carpetmaker's Son [short story] (1985) 2 exemplaires
Ex Machina (Der Jesus-Deal 2) (2016) 2 exemplaires
Eine unberührte Welt - Band 2 (2010) 2 exemplaires
Garten Eden (2016) 2 exemplaires
Eine unberührte Welt - Band 5 (2010) 2 exemplaires
Abendmahl (Der Jesus-Deal 3) (2016) 2 exemplaires
Eine unberührte Welt - Band 4 (2010) 2 exemplaires
Die Rückkehr (2017) 2 exemplaires
Der Amaryllis-Virus 1 exemplaire
Aquamarin 1 1 exemplaire
Das schönste Fest 1 exemplaire
Quantenmüll 1 exemplaire
Halloween (2013) 1 exemplaire
Skaitmeninis Jėzus 1 exemplaire
L'envol du faucon sagittal (2013) 1 exemplaire
Shortstories 1 exemplaire
Eschbach-Shortstories 1 exemplaire
Humanic Park (2014) 1 exemplaire

Oeuvres associées

L'oreille interne (1972) — Vorwort, quelques éditions1,539 exemplaires
Das Fest der Zwerge. Phantastische Weihnachtsstorys (2007) — Contributeur — 23 exemplaires
Destination 3001 (2000) — Contributeur — 12 exemplaires
Der die Unsterblichen redigiert: Klaus N. Frick zum Fünfzigsten (2013) — Contributeur — 3 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1959-09-15
Sexe
male
Nationalité
Allemagne
Lieu de naissance
Ulm, Baden-Württemberg, West Germany
Lieux de résidence
Bretagne, Frankreich
Professions
Science Fiction Author

Membres

Critiques

Ce roman d'Andreas Eschbach part d'une superbe idée, bien amenée, avec des personnages attachants, à la psychologie bien développée. Néanmoins, il manque une certaine fluidité au déroulé de l'intrigue, l'auteur semblant au final délayer en six cents pages une histoire qui n'en aurait mérité que la moitié. Ou qui aurait mérité beaucoup plus de développements temporels. On ressort de cette lecture un peu frustré, surtout lorsqu'on compare ce roman avec le chef d'œuvre de l'auteur, Des milliards de tapis de cheveux, dans lequel Andreas Eschbach parvenait à nous surprendre sans cesse, tout en faisant preuve de poésie, grâce à une superbe écriture. Il reste à espérer que l'auteur a retrouvé cet état de grâce dans une ou plusieurs autres de ces œuvres.… (plus d'informations)
½
 
Signalé
Patangel | 12 autres critiques | Jul 11, 2020 |
L’incendie était peut-être sa punition. Je ne veux pas de ton tapis si tu n’y as pas mêlé le sang de ton cœur et l’amour que tu me portes : voilà ce que l’Empereur semblait ainsi vouloir lui signifier.
(p. 65, Chapitre 4, “Le tapis perdu”).
J’ai atteint ce que je voulais. Pouvoir absolu. Vie éternelle. Tout. Et aujourd’hui je sais que tout cela n’a aucun sens.
(p. 204, Chapitre 12, “Le rebelle et l’Empereur).

Un de ces romans de SF qui se font une réputation par le bouche à oreille. Des critiques élogieuses, un titre intriguant, un résumé peu explicite, il fallait bien qu’à un moment ou à un autre j’aille voir par moi-même. J’ai profité d’un cadeau à faire à M’sieur Raton pour le glisser parmi quelques livres, comme ça je pourrais le lire quand je le voudrais. Bon, j’ai quand même laisser M’sieur Raton le lire en premier. Il a aimé, sans plus.
Quelques mois plus tard je m’y suis attelée. Et j’ai aimé, sans plus. Oui, le propos est original, tant le monde qui est créé autour de ces tapis de cheveux dont je ne dirai rien pour que le titre conserve tout son mystère, que les révélations sur un monde étrange mais tellement plausible.
Cependant, c’est sans plus, et je n’ai pas fermé ce livre à regret. On avance dans la lecture parce que l’on veut savoir, on veut comprendre, mais si le livre est bien ficelé, il manque peut-être une véritable imagination dans le propos du livre, une originalité qui ne s’arrête pas à la production de ces tapis de cheveux mais qui en fasse un symbole pour quelque chose de plus grand, qui fasse réfléchir. J’ai cru à un moment que ce livre dénonçait l’adhésion aveugle à une religion, ou à un pouvoir, j’ai voulu y lire un appel à la nécessité de toujours faire preuve de sens critique, de réflexion, mais je crois finalement que je plaquais sur ce livre ce que je voulais y voir et je crois finalement être victime d’une surinterprétation.

Ma lecture pâtit peut-être de toutes ces critiques élogieuses que j’ai lues avant et qui me faisaient peut-être espérer trop de cette lecture. Je ressors de là avec le même sentiment mitigé que lors de ma lecture de la Horde du Contrevent, là aussi des belles trouvailles pour décrire un monde original, mais une histoire qui tournait un peu à vide dans ce qu’elle voulait dire au lecteur.
La morale de l’histoire est peut-être qu’il faut que je sois plus aventureuse en termes de SF, que je n’attende pas les succès de librairie pour enfin lire un titre, mais que j’ose me lancer, sans m’attendre à un chef-d’œuvre qui alors, mécaniquement, ne vient pas.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | 43 autres critiques | Jun 21, 2017 |
Un peu long, un peu décousu sur le propos mais riche d'informations... Eschbach reste un bon auteur de (science) fiction européen contemporain!
½
 
Signalé
Nikoz | 12 autres critiques | May 23, 2014 |
Un vrai chef-d'œuvre.

Ce roman de science-fiction pourrait presque ne pas en être un, de par le sujet principal du livre - la robotique et la nanotechnologie - et de par le fait qu'y sont également abordés des sujets bien réels tels que la pauvreté et la surexploitation de notre planète, ainsi que la cupidité et la nature humaine en général.

L'histoire démarre au Japon, lors de l'enfance de nos deux protagonistes, Hiroshi Kato et Charlotte Malroux. Socialement, tout les sépare. Hiroshi est issu d'un milieu pauvre et Charlotte est la fille de l'ambassadeur de France. Charlotte possède un don spécial, celui de voir le passé des objets qu'elle touche. Hiroshi, quant à lui, trouve l'idée qui va éradiquer la pauvreté à jamais dans le monde.

Tout au long du livre, ils se séparent et se retrouvent, dans des pays différents. Les deux personnages mènent une existence bien différente, mais un lien indéfinissable les relie.

La théorie de la robotique développée dans le livre est très crédible, le thème de la science-fiction n'est pas très évident au début, il se développe progressivement et devient vraiment évident à la deuxième moitié du livre, alors que nous sommes également plongés dans un bain de mystère et de suspense avec une touche de romance. L'auteur prend vraiment le temps de développer les personnages avec des indices judicieux tout au long du livre, pour terminer sur une fin atypique.

Les personnages sont tellement vivants que j'ai fermé le livre pour la dernière fois avec un sentiment de regret de ne plus pouvoir me replonger dans les vies de Charlotte et Hiroshi.
… (plus d'informations)
 
Signalé
Deslilla | 9 autres critiques | May 21, 2014 |

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