Roger Jon Ellory

(attention : contains spoilers)

What a disappointment. Mixing real people (JFK, RFK, Jackie, Ruby, ...) and events mixed with some changed historical events (JFK was not shot in Dallas) does not an alternative historical novel make. Although the story is based on theories and suspicions about JFK, other major historical characters are depicted completely against historically known facts. Completely unbelievable is the role of the Secret Service, the ease with which it helps the presidential assassin, and the lack of personal consequences thereof. Notwithstanding these major flaws, two stars for it's good research and well written 'love' story.… (plus d'informations)

> Sans doute est-ce cette prose apparemment limpide, singulièrement dense, puissamment évocatrice. Cette manière subreptice de distiller le soupçon et l'inquiétude, de faire toucher, de façon palpable, l'emprise de l'obsession sur le narrateur, qui font de ce livre un véritable piège, dévorant, parfaitement construit. Seul le silence, premier roman traduit du Britannique Roger Jon Ellory, est une révélation.
—(Michel Abescat - Télérama du 8 octobre 2008)

> De sang-froid fut visiblement son modèle et, comme Capote, Ellory ne cesse de vouloir comprendre pourquoi et comment on devient un tueur. Il fait de son personnage, Joseph Vaughan, un romancier qui cherche à vaincre ses peurs par l'écriture, navigue entre réalité et fiction, horreur et morale. Seul le silence est un texte grave et ambitieux qui se lit aussi d'une traite, sans risque de déception. Les toutes jeunes éditions Sonatine entrent en fanfare dans le monde du polar.
—(Christine Ferniot - Lire, novembre 2008)

> Le premier roman de R. J. Ellory traduit en français et qui l'a immédiatement propulsé en haut de l’affiche. Dans ce récit crépusculaire à la noirceur absolue, Ellory explore l'énigme du mal et de la culpabilité.
—Le Livre de Poche

> Seul le silence est pour moi le polar même. Là où bien d’autres sont rapides, directs voire bâclés RJ. Ellory distille, sème et regarde pousser l’angoisse qui monte peu à peu. Elle ressert son étau et vous envahit. Vous vous retrouvez pris au piège entre le besoin de lâcher le livre et celui de le finir coûte que coûte.
—Amélie Fouquet, Espace culturel Leclerc à Clichy (92)… (plus d'informations)