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Lionel Duroy

Auteur de Le chagrin

32 oeuvres 149 utilisateurs 5 critiques

A propos de l'auteur

Comprend les noms: Duroy Lionel

Crédit image: By Le grand Cricri - Own work, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=12695828

Œuvres de Lionel Duroy

Le chagrin (2010) 32 exemplaires
Eugenia (2018) 19 exemplaires
L'hiver des hommes (2012) 14 exemplaires
Échapper (2015) 8 exemplaires
Priez pour nous (1990) 8 exemplaires
Colères (2011) 6 exemplaires
Vertiges (2013) 5 exemplaires
L'Absente (French Edition) (2016) 5 exemplaires
Disparaître (2022) 4 exemplaires
Mes pas dans leurs ombres (2023) 3 exemplaires
Méfiez-vous des écrivains (2001) 3 exemplaires
Comme des héros (1995) 3 exemplaires
Je voudrais descendre: roman (1993) 3 exemplaires
Le cahier de Turin (2012) 2 exemplaires
Des hommes éblouissants (1997) 2 exemplaires
Trois couples en quête d'orage (2000) 2 exemplaires
Ecrire (2005) 2 exemplaires
Méfiez-vous des écrivains (2019) 1 exemplaire
MON PREMIER JOUR DE BONHEUR (1996) 1 exemplaire
Échapper (2015) 1 exemplaire
Zima mužů 1 exemplaire
DIMRI I NJEREZVE 1 exemplaire

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom canonique
Duroy, Lionel
Nom légal
Duroy de Suduiraut, Lionel
Date de naissance
1949-10-01
Sexe
male
Nationalité
France
Lieu de naissance
Bizerte, Tunisie

Membres

Critiques

> Le Chagrin, par Lionel Duroy. — Lionel Duroy raconte la déchéance matérielle et conjugale d'un couple formé par un aristocrate désargent" et une petite-bourgeoie ambitieuse.
Auteur de romans le plus souvent autobiographiques, Lionel Duroy de Suduiraut, né en 1949, n'a pas son pareil pour remuer le couteau dans la plaie de ses origines. D'où, sans doute, le succès de ce Chagrin paru en 2009 - son premier véritable best-seller avec près de 70 000 exemplaires écoulés - qui, après Priez pour nous (1990), revient sur le destin désastreux de la famille Dunoyer de Pranassac. Raconté par son double William, quatrième des onze enfants de Toto et Suzanne, il commence avec leur mariage en 1944, à Bordeaux. Malgré l'amour que se portent l'aristocrate désargenté et la petite-bourgeoise ambitieuse, ils seront toujours à contre-courant de l'Histoire et à court d'argent pour entretenir leur nombreuse progéniture, au point de sombrer dans une déchéance matérielle et conjugale. Si le narrateur ne maquille jamais son ressentiment contre ces géniteurs incapables, il dit aussi avec une belle éloquence combien l'écriture l'a sauvé du chagrin...
L'Express
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Signalé
Joop-le-philosophe | Feb 10, 2021 |
Trop bavard ! et quelle complaisance envers soi-même... l'auteur y raconte une partie de sa vie, bien évidemment. C'est lourd, et les échanges entre frères et sœurs qui se retrouvent sont trop contradictoires pour ne pas se demander comment des disputes, des déchirements n'arrivent pas...
½
 
Signalé
pangee | Nov 1, 2019 |
Augustin est écrivain, depuis des années il écrit sur sa vie, sa famille. Divorcé et ayant du vendre sa maison il se retrouve un peu perdu et repense à sa famille, ses parents quand eux mêmes avaient été expulsés de leur maison de Neuilly.
On suit ainsi Augustin d'hôtel en hôtel à la recherche du passé de sa mère Suzanne jusqu'à Bordeaux accompagné par une admiratrice, lectrice, amoureuse de lui.
Ce livre est parait-il biographique, l'auteur y parle de l'écriture, du mal à commencer un ouvrage, à trouver la première phrase. On suit ses pensées, ses enquêtes qui amèneront finalement à ce roman.… (plus d'informations)
 
Signalé
coriala | Mar 25, 2017 |
Nous avons donc affaire au road trip d'un écrivain en ex-Yougoslavie à la recherche de souvenirs de Ratko Mladic et de la guerre de Bosnie dans les années 90. Trois axes de réflexions : à l'instar des fils de criminels nazis, l'écrivain cherche à savoir comment les plus proches parents de Mladic ont vécu le passé criminel de leur père ou époux. La deuxième réflexion porte sur la relativité de l'aspect criminel des actes du général : les témoins sont surtout des serbes de Bosnie, d'anciens compagnons d'armes du général pour la plupart, qui donnent leur propre version des faits qui justifient à leurs yeux toutes les tueries qui ont eu lieu pendant cette guerre. Le dernier aspect de ce périple révèle tout simplement au lecteur les séquelles de ce conflit dans le cœur des serbes de Bosnie.

J'ai appris pas mal de choses grâce à ce livre, surtout parce que, comme d'habitude, je ne m'étais alors pas assez renseigné sur ce sujet. A ma décharge, outre ma jeunesse à l'époque, la guerre de Serbie n'était pas très lisible pour celui qui ne connaissait pas la géographie de la Yougoslavie. Ceci dit, ce n'est pas un ouvrage documentaire pour autant notamment à cause de certains choix de l'auteur de mettre en avant certains éléments que je suppose autobiographiques mais qui n'ont pourtant rien à voir avec le thème abordé. De prime abord, j'ai apprécié cette enquête de personnalité sur la fille suicidée Mladic mais étant donné qu'elle est vite apparue comme vaine autant aux yeux du lecteur que du narrateur, je l'ai trouvée trop longue. Quitte à broder, j'aurais préféré lire plus de détails sur le traducteur serbe qui l'accompagnait, sur les habitants actuels de Sarajevo, etc.

Finalement, on reste le cul entre deux chaises avec cet aspect documentaire, ces bribes d'histoire personnelle, cette enquête ratée sur Ana Mladic. Ceci dit sur ce dernier point, on pourra toujours faire l'analogie avec la citation de David Breton (merci Google) « Qu’importe l’issue du chemin quand seul compte le chemin parcouru. »
… (plus d'informations)
 
Signalé
Chassegnouf | Jan 4, 2014 |

Prix et récompenses

Statistiques

Œuvres
32
Membres
149
Popularité
#139,413
Évaluation
½ 3.4
Critiques
5
ISBN
48
Langues
2

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