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A propos de l'auteur

Crédit image: Dessin/Aquarelle de Joachim du Bellay (XIXe siècle / Musée des Beaux-Arts d'Angers)

Œuvres de Joachim du Bellay

Les Regrets (1945) 43 exemplaires
Oeuvres choisies (1935) 15 exemplaires
Divers jeux rustiques (1996) 7 exemplaires
Les Regrets: CHoix de Poèmes (1933) 6 exemplaires
Les Antiquités de Rome (1994) 6 exemplaires
Poesies 4 exemplaires
Oeuvres poétiques (1993) 4 exemplaires
Poem's (French Texts Series) (1972) 3 exemplaires
Sonetos (1985) 3 exemplaires
The Olive Augmentit 1 exemplaire
Oeuvres de Joachim Du Bellay (2012) 1 exemplaire
Oeuvres poetiques IV 1 exemplaire
Ceuvres Choisies (1946) 1 exemplaire
Choix de poèmes 1 exemplaire
Oeuvres choisies 1 exemplaire
Joachim du Bellay 1 exemplaire
Œuvres poétiques - tome II (1996) 1 exemplaire
Oeuvres Poétiques 1 exemplaire
Oeuvres poetiques I 1 exemplaire
Oeuvres poetiques II 1 exemplaire
Oeuvres poetiques III 1 exemplaire
Oeuvres poetiques V 1 exemplaire
Oeuvres poetiques VI 1 exemplaire
Oeuvres poetiques VII 1 exemplaire

Oeuvres associées

World Poetry: An Anthology of Verse from Antiquity to Our Time (1998) — Contributeur — 448 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom canonique
Bellay, Joachim du
Nom légal
Bellay, Joachim du
Date de naissance
1522
Date de décès
1560-01-01
Lieu de sépulture
Apoplexie
Sexe
male
Nationalité
France
Lieu de naissance
Chateau de la Turmelière, Liré, Anjou, France
Lieu du décès
Paris, France
Lieux de résidence
1 rue Massillon, Paris, France (1557|1560)
Rome, Italie (1953|1557)
1 rue Massillon, Paris, France (1547| 1553)
Poitiers, France (1542|1547)
Château de La Turmelière, Liré, Anjou, France (1522|1546)
Études
Collège de Coqueret, Paris
Université de Poitiers
Professions
Poète
Secrétaire
Relations
Ronsard, Pierre de (Condisciple)
Macrin, Salmon (Condisciple)
Peletier du Mans, Jacques (Condisciple)
Dorat, Jean (Professeur)
François 1er, Roi de France (Protecteur)
Organisations
La Pléiade, Mouvement littéraire de poètes (Membre fondateur)
Courte biographie
Joachim du Bellay est un poète français de la Renaissance.
Il naît vers 1522 à Liré (Anjou), au château de la Turmelière, sur les bords de la Loire dans une famille noble et renommée. Il y passe son enfance mais devient orphelin de père et de mère à dix ans. Son frère aîné devient son tuteur sans y apporter grande attention. Toutefois, François 1er - alors roi de France - favorise les arts et la culture. C'est le temps de la Renaissance et Joachim du Bellay sera un représentant brillant de la période.

Vers l’âge de 20 ans, Joachim part pour l’université de Poitiers. Il suit les enseignements de latin et grec, et se lie d'amitié avec Pierre de Ronsard. Ensemble, ils rejoignent Paris et les enseignements du Collège Coqueret. Avec 5 autres "étudiants", du Bellay et Ronsard créent la Pléiade : un groupe de poètes défendant et s'exprimant en français alors que le latin domine en tant que langue des "Clercs".

De 1553 à 1557, il est secrétaire du cardinal Jean Du Bellay, cousin de son père et diplomate. Il l'accompagne à Rome mais la cité le déçoit. Pris de regret, du Bellay met en poésie ses sentiments dans plusieurs recueils de poésie en s'inspirant de Pétrarque. C'est ainsi que naît le fameux recueil "Les Regrets". Fortement attaché à son Anjou natal, il ne cesse d'en faire l'éloge dans ses poèmes, notamment avec son sonnet le plus renommé "Heureux qui comme Ulysse..."

En août 1557, du Bellay tombe malade et est de retour à Paris. Ses recueils de poésie sont appréciés et lui valent de participer à la vie intellectuelle parisienne avec ses condisciples de la Pléiade. Souffrant de plus en plus, il s'éteint le 1er janvier 1560.
Il est inhumé dans la chapelle de Saint-Crépin, une des anciennes chapelles de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Sa sépulture disparaît ensuite au fil du temps.

Membres

Critiques

> Joachim du Bellay, Les Regrets et autres Œuvres poétiques, suivis des Antiquitez de Rome. Plus un Songe ou Vision sur le mesme subject. Texte établi par J. Jolliffe, introduit et commenté par M. A. Screech. Genève, Librairie Droz, Textes Littéraires Français, 1966. Un vol. 11 x 18 de 338 p.
Se reporter au compte rendu de Yves GIRAUD
In: Revue d'Histoire littéraire de la France, 70e Année, No. 1 (Jan. - Feb., 1970), pp. 116-119… ; (en ligne),
URL : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55679961/f118.item
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | 3 autres critiques | Jan 17, 2021 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Du-Bellay-Les-Regrets/484869

> Par Adrian (Laculturegenerale.com) : Les 150 classiques de la littérature française qu’il faut avoir lus !
07/05/2017 · Joachim du Bellay (1522 – 1560), avec les autres poètes du mouvement de La Pléiade, veut imiter les formes italiennes de Pétrarque (le sonnet) et fait un effort pour enrichir la langue française. Dans Les Regrets, Du Bellay n’hésite pas à exprimer ses sentiments personnels, dans des élans lyriques qui disent la douleur de l’éloignement avec sa mère patrie. Il y fait en outre la satire de la société romaine où il réside alors.
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Jan 26, 2019 |
Read these in Oevres Francoises (LeMerre: Paris, 1866) 2 vols. In sonnet 76 he advises against desiring praise: Dispraise has more truth than praise, which makes you say what you don't believe. President Trump, four and a half centuries later, should listen to the great French poet; should ignore the flattery he requires, since no-one believes, not even the flatterer, the flattery they spout.
DuBellay's 67th sonnet is spoken by a Know-it-all. (Maybe the US prez is again addressed.) What he knows is stereotypes: vain Neapolitans, shifty Venenetians, usurer Florentines, lazy Romans, unruly Brits, brave Scots, traitor Burguignons, haughty Spaniards, drunken Thudes. [Think that's Westphalia, but...your guess?] He lists all the traits he despises, including his own imperfections, but most of all, he hates a Know-it-all.
Joachim writes a war of poetry and ignorance, "La Musagnocomachia" (I.139-43), but also an amusing old man courting a young woman, "L'anterotique de la vielle et de la juene amie,"
Vielle qui as, Ô vielle Beste!
Plus d'yeux, que de cheveaux au Teste. (lines 11-12)
Love this line: So old he has more eyes than hairs on his head.
DuBellay's "Defense et illustration de la langue Francoise" recommends following Greek and Latin examples--like the 19 different poetic forms that Horace uses, not forms like rondeau, ballad, virelais, rhyme royale which "corrupt the taste in our language." These very forms, thrown out of France by the Pleiade he represented, were welcomes into English. (I.p38) This "Defense" I quoted in my Ph.D. on poetic criticism in verse, for example, DuBellay's own "Contre Les Petraquistes" (see my This Critical Age, published U MI 1981). He says he's forgotten how the art of Petrarchising, of your beauties like pearls, crystal, marble and fine gold. He'd rather speak frankly of Love, without flattering her and without disguising himself. Disguising hellish passions in a Paradise of fictions--such empty paintings.
In contrast, "Of your beauty I'd say, if my eye does not judge foolishly, your beauty is equal to your goodness, your distinction."
His sonnet 85 begins, "Flatter un crediteur, pour son terme allonger," which I adapted to
my graduate school experience, in translation addressed to my fellow student, Ben.
To flatter the professor, quote his phrases,
Mimic him so he will think you're grand,
Discussing neither politics nor raises
Until you know just where he takes a stand;
Not to waste your health on too much laughing,
Nor to make unprofitable quips;
Not to tell anyone all you’re thinking,
While thinking least about the prof’s own field.
Know eccentricities, know the tester;
As much as you have clout to wield,,
Wield it. Challenge criticisms, make ‘em yield.
Take every course for grades, keep strict account:
Here it is, my friend Ben, I calculate
All I’ve learned five years post-graduate.

This exactly happened, with a different fellow grad student who actually memorized the Norton Anthology intro's by a professor on both our committees. The old prof was so impressed to hear his own words, he actually got that student a job at an Ivy institution. For my orals, the next day, I had neglected to memorize the old guy's intro's, so I did not get an Ivy job.
DuBellay lost both his parents early, but was raised well-connected, in a family that included Cardinal--for whom he eventually worked as a clerk and bookeeper for a couple years in Rome. Some of the sonnets he wrote there were translated into English by Edmund Spenser. DuBellay met Ronsard by chance, both around 25, in an inn nearing Poitiers. They would go on to Paris, where they lived for years and formed the Pleiade.
… (plus d'informations)
 
Signalé
AlanWPowers | 3 autres critiques | Dec 25, 2017 |
De 1553 à 1557, du Bellay vécut à Rome, pour y remplir la fonction de secrétaire auprès de son oncle le cardinal Jean du Bellay. Ce séjour au pays d'Horace et de Pétrarque le séduisit d'abord, puis le déprima profondément. D'une santé fragile, isolé par la surdité dont il était atteint, et surtout nostalgique de son Anjou natal, il ne put apprécier la beauté de Rome sans amertume : le spectacle des ruines le plongea dans une sombre méditation sur le déclin de toute chose, qui lui inspira le recueil les Antiquités de Rome, publié à son retour en France, en 1558, sous le titre complet de : le Premier Livre des Antiquités de Rome, contenant une description générale de sa grandeur et comme une déploration de sa ruine.… (plus d'informations)
 
Signalé
vdb | 1 autre critique | Dec 29, 2011 |

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