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François Coppée (1842–1908)

Auteur de Ten tales

83+ oeuvres 149 utilisateurs 6 critiques

A propos de l'auteur

Œuvres de François Coppée

Ten tales (2011) 8 exemplaires
Henriette 6 exemplaires
Toute une jeunesse (2012) 5 exemplaires
On Rend L'Argent (1923) 4 exemplaires
Le passant 4 exemplaires
Le coupable (1937) 3 exemplaires
Promenades et Intérieurs (2013) 3 exemplaires
Contes tout simples 3 exemplaires
Les Humbles (2016) 2 exemplaires
Vingt Contes Nouveaux 2 exemplaires
Theatre 2 exemplaires
Poesies 2 vols. 2 exemplaires
Olivier (poeme) 2 exemplaires
Contes rapides (2016) 2 exemplaires
The Lost Child 2 exemplaires
Tales By Coppee 1 exemplaire
Poèmes et Récits 1 exemplaire
O Pater 1 exemplaire
Padre y fiscal 1 exemplaire
La Maison abandonnée (2023) 1 exemplaire
Poesies completes 1 exemplaire
Henriette 1 exemplaire
I veri Ricchi 1 exemplaire
Poems 1 exemplaire
The Lost Child 1 exemplaire
Théâtre: 1869-1872 1 exemplaire
Contes en prose 1 exemplaire
The Substitute 1 exemplaire
L'Abandonnée 1 exemplaire
La Bataille d'Hernani 1 exemplaire
Deux Douleurs 1 exemplaire
Fais ce que dois 1 exemplaire
Le Naufragé 1 exemplaire
Le Rendez-vous 1 exemplaire
Théâtre 1873-1878 1 exemplaire
Le Trésor 1 exemplaire
True riches 1 exemplaire
Les Pommes cuites 1 exemplaire
Vingt contes nouveaux (2015) 1 exemplaire
The rivals 1 exemplaire

Oeuvres associées

World's Great Adventure Stories (1929) — Contributeur — 75 exemplaires
Pearl S. Buck's Book of Christmas (1974) — Contributeur — 46 exemplaires
Choix de poésies (1906) — Préface — 40 exemplaires
Vingt Et Un Contes (1934) — Contributeur — 29 exemplaires
Great Short Stories Volume 3: Romance and Adventure (1906) — Contributeur — 16 exemplaires
International Short Stories French (Volume 3) (2010) — Contributeur — 8 exemplaires
A Book of Narratives (1917) — Contributeur — 2 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom canonique
Coppée, François
Nom légal
Coppée, François Edouard Joachim
Date de naissance
1842-01-26
Date de décès
1908-05-23
Nationalité
France
Lieu de naissance
Paris, France
Études
Lycée Saint-Louis
Prix et distinctions
Académie française (1884)
Légion d'honneur (Officier)

Membres

Critiques

Et grâce à vous, cette enfant du peuple, cette pauvre amoureuse, dont la faute était si pardonnable et à qui la dureté des lois sociales refusait la consolation d’embrasser son amant à l’agonie, put du moins reposer un instant son front lourd de douleur sur un sein de femme et y sentir palpiter un peu de maternelle pitié.
(p. 67, Chapitre 12).

Histoire qui se veut jolie, mais que je trouve plutôt glauque. Un jeune fils unique qui s’émancipe, mais la maladie le rattrape. Qui de la gentille grisette dont il était amoureux ou de la mère toute dévouée à son fils sera la plus fidèle à sa mémoire. Etrange façon de mener son deuil, ce livre me laisse un drôle de goût et justement, s’il se veut plein de vertus et de beaux sentiments bien nobles, il me laisse un drôle de goût dans la bouche… Pas convaincue, donc…… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | Jul 4, 2016 |
J’ai découvert et apprécié François Coppée pour son regard bienveillant sur ses personnages, quelque soit l’extraction sociale de ceux-ci. Tout ne se finit pas toujours bien dans ses nouvelles, mais elles sont toujours d’une grande tendresse, du moins jusqu’à la lecture de cette nouvelle, extraite du recueil Contes rapides que je n’avais pas encore eu l’occasion de découvrir.
Cette nouvelle au titre trompeur se passe dans le milieu du théâtre de boulevard, que François Coppée ne semble pas voir d’un très bon œil. Il montre la vénalité et le matérialisme des starlettes d’un jour, et leur manque de cœur.
J’ai, je crois, été déçue par cette nouvelle, où je n’ai pas pu aimer les personnages, et dont le propos et la trame sont assez convenus. Je lirai quand même à l’occasion les autres nouvelles de ce recueil, en espérant y retrouver la tendresse de mes précédentes lectures.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | Apr 7, 2014 |
Il était une fois, — il y a si longtemps que tout le monde a oublié la date, — dans une ville du nord de l’Europe, — dont le nom est si difficile à prononcer que personne ne s’en souvient, — il était une fois un petit garçon de sept ans, nommé Wolff. (Incipit).

Je suis un peu tôt dans la saison pour lire cela, puisque c’est un conte de Noel tout ce qu’il y a de plus traditionnel qu’offre François Coppée à ses lecteurs. On sait bien vite qui aura de beaux jouets dans son sabot le lendemain matin et qui sera l’auteur de ce joli miracle. Pas de surprise donc, juste un petit plaisir qui fait flotter un petit sourire sur les lèvres.… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | Oct 21, 2013 |
Certes, la lutte fut longue ; elle fut cruelle. Bien des fois, vers l’heure d’un apéritif interdit par l’économie, quand la soif lui séchait la gorge, le capitaine dut faire un effort héroïque pour retirer sa main déjà posée sur le bec de cane de l’estaminet ; bien des fois il erra en rêvant de roi retourné et de quinte et quatorze. Mais presque toujours il rentrait courageusement chez lui ; et comme il aimait davantage Pierrette à chaque sacrifice qu’il lui faisait, il l’embrassait mieux ces jours-là. Car il l’embrassait. (“Les Vices du capitaine”).

Ce recueil de contes porte bien son nom, des contes tout simples, des petits instants de la vie de gens simples, parfois joyeux, souvent amers. Une peinture simple, qui évite autant l’écueil du misérabilisme que celui de la glorification de la pauvreté. Des tableaux, des instants, des vies qui sont juste comme un témoignage de ces petites gens qui vivaient entre dignité et bouts de chandelle, des destins sublimes de tragique qui resteront anonymes, ce sont des jolies histoires que celles contées par François Coppée. Des histoires d’humanisme simple (encore ce mot, il ne m’en vient pas d’autre), à la hauteur de chacun, et sans qu’il ne soit question jamais de rétribution dans ce monde ou dans l’au-delà. Un humanisme qui se suffit à lui-même, qui trouve sa justification et sa finalité en lui-même.
Décidément, j’apprécie cet auteur que je commence tout juste à découvrir. Il regarde le petit peuple comme un Zola mais avec tendresse sans aucune revendication sociale, il écrit aussi légèrement qu’une Comtesse de Ségur mais sans nous engluer dans une morale chrétienne par trop manichéenne. Drôle de description que de placer un auteur en équilibre entre Zola et la Comtesse de Ségur, mais c’est pourtant l’idée qui me vient spontanément à la fin de cette lecture. Il me reste d’autres contes à découvrir, je les garde pour plus tard, comme autant de dragées douces-amères à faire fondre sous la langue.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | Sep 30, 2013 |

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