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Sandrine Collette

Auteur de Juste après la vague

13 oeuvres 214 utilisateurs 11 critiques

A propos de l'auteur

Comprend les noms: Sandrine Collette

Œuvres de Sandrine Collette

Juste après la vague (2018) 33 exemplaires
Et toujours les forêts (2020) 32 exemplaires
Des nœuds d'acier (2012) 29 exemplaires
Il reste la poussière (2016) 29 exemplaires
Un vent de cendres (2014) 22 exemplaires
On était des loups (2022) 22 exemplaires
Six fourmis blanches (2015) 18 exemplaires
Les larmes noires sur la terre (2017) 14 exemplaires
Animal (2019) 5 exemplaires
Ces Orages-là (2021) 5 exemplaires
Une Brume si légère (2018) 3 exemplaires
La Grosse 1 exemplaire
El soterrani (2019) 1 exemplaire

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom légal
Collette, Sandrine
Date de naissance
1970
Sexe
female
Nationalité
France
Lieu du décès
Paris, France
Lieux de résidence
Nanterre, France

Membres

Critiques

Bienvenue dans le grand nord canadien. Enfin… Bienvenue n’est pas forcément le bon terme. Ici, tout est dur, froid, inhospitalier. La nature, faune, éléments et même les rares humains qui s’y accrochent.

On était des loups est certes un magnifique nature-writing qui m’a souvent rappelé Jack London, mais aussi un très beau livre sur l’humain. Seul face à ses décisions, sa morale, ses engagements. Un homme fou de colère, son fils de cinq ans et deux chevaux (les gros) au milieu des terres hostiles… (plus d'informations)
 
Signalé
noid.ch | 1 autre critique | Aug 9, 2023 |
Magnifique, bouleversant. Sandrine Collette a un style bien à elle, qui nous accroche, nous "parle". C'est un grand écrivain !
 
Signalé
pangee | 1 autre critique | Nov 11, 2022 |
Le [La Route] français ? Il y a un peu de ça c’est certain, avec même un clin d’œil très appuyé quand un père et son fils poussant un caddy apparaissent dans le fond de la scène. En tout cas, comme pour le livre de Cormac McCarthy, je n’ai pas accroché et ce, dans les deux cas, malgré le succès de ces deux livres.
J’ai lu ce livre sans déplaisir, c’est sûr, mais je suis toujours restée comme à l’extérieur de l’histoire, incapable, malgré un sujet encore plus d’actualité que lorsque j’ai lu La Route il y a plus de 10 ans, de vivre au côté des personnages. Je crois que j’aurais préféré que ce roman soit plus resserré, tant dans sa forme (une longue nouvelle m’aurait parue plus efficace) que dans son propos (j’aurais coupé le début et la fin et resserré le livre sur l’immédiate après-catastrophe : je ne vois pas ce que l’enfance du personnage principal apporte à l’histoire, et je ne suis pas convaincue par la description au long cours).
Le style très sec, parfois télégraphique, de Sandrine Collette me paraît bien fonctionner dans les quelques semaines qui suivent une catastrophe dont on saura peu de choses. Elle arrive à bien décrire les pensées de son personnage, ses oscillations constantes entre espoir et désespoir et tous les degrés qu’il y a entre. Les espoirs déçus aussi, les changements de situation ou d’état d’esprit d’une seconde à l’autre. Toute cette partie, heureusement la plus longue dans le livre, est vraiment intéressante et le personnage de Corentin m’a alors paru très convaincant. Mais le livre tire ensuite un peu en longueur, et l’autrice ne joue pas tout à fait le jeu, avec une fin trop positive par rapport à ce que le reste du livre pouvait nous faire anticiper.
Si l’on ajoute à cela une répartition genrée des rôles sans aucune imagination (le monde vient d’être réduit à néant tout de même, tout est à réécrire, mais non, la femme fait la cuisine et s’occupe de la famille, l’homme, en bon chasseur préhistorique, est l’éternel pourvoyeur, de nourriture et de gamètes) et quelques incohérences (les premiers animaux qui reviennent sont les loups. Ah bon, et ils se nourrissent de quoi, ces loups?), cela donne un livre qui ne tient pas ses nombreuses promesses.

J’avais découvert Sandrine Collette à travers ses feuilletons radiophoniques et j’avais beaucoup aimé [Une Brume si légère] adapté d’une longue nouvelle. Je n’ai très clairement pas retrouvé cela dans ce roman, le premier que je lis d’elle. Parfois la distance permet de mieux apprécier un livre, là je crois que c’est le contraire : je l’ai fini depuis quelques jours et je passe d’une certaine indifférence, voire indulgence, à un sentiment beaucoup plus négatif et un certain mal à l’aise qui m’envahit lorsque j’y repense.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | 2 autres critiques | Aug 6, 2022 |
Si j'ai craints au début du livre que ce soit un roman larmoyant, j'ai été très vite rassurée et finalement passionnée par cette histoire à faire des insomnies tellement ce qui arrive dans le livre pourrait survenir d'un jour à l'autre sur la planète en ce moment... histoire de survie, d'amour parental pour des enfants qui ne connaissent que la terre dévastée, la nourriture fade et les dangers d'être attaqués par des hordes sauvages. On a un petit espoir qu'enfin le père et les enfants devenus adultes connaissent enfin autre chose que le désespoir, la faim et la peur. Oui, on a un espoir, et on s'y cramponne. L'écriture de ce roman est originale, un brin trop descriptive, mais on ressort de ce livre très très ému(e)… (plus d'informations)
½
 
Signalé
pangee | 2 autres critiques | Mar 17, 2022 |

Listes

Prix et récompenses

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Statistiques

Œuvres
13
Membres
214
Popularité
#104,033
Évaluation
½ 3.7
Critiques
11
ISBN
50
Langues
3

Tableaux et graphiques