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François Cheng

Auteur de L'éternité n'est pas de trop

60+ oeuvres 826 utilisateurs 26 critiques

A propos de l'auteur

Œuvres de François Cheng

L'éternité n'est pas de trop (2002) 116 exemplaires
Le Dit de Tian-yi (1998) 115 exemplaires
Cinq méditations sur la beauté (2006) 82 exemplaires
Vide et plein (1979) 70 exemplaires
L'écriture poétique chinoise (1977) 59 exemplaires
Poésie chinoise (1986) 54 exemplaires
Assise : Une rencontre inattendue (2013) 21 exemplaires
À l'orient de tout (2005) 15 exemplaires
Enfin le royaume: Quatrains (2018) 12 exemplaires
La vraie gloire est ici (2015) 11 exemplaires
Lacan : l'écrit et l'image (2000) 10 exemplaires
Shitao ou la saveur du monde (1998) 9 exemplaires
Le livre du vide médian (2004) 6 exemplaires
Quand les âmes se font chant (2014) 5 exemplaires
Pèlerinage au Louvre (2008) 5 exemplaires
Über die Schönheit der Seele (2018) 3 exemplaires
Vraie lumière née de vraie nuit (2009) 2 exemplaires
De l'arbre et du rocher (1989) 1 exemplaire
Saisons à vie (1993) 1 exemplaire
Quand les pierres font signe (1997) 1 exemplaire
L ESPACE DU REVE (1991) 1 exemplaire
Nell'eterno, l'amore (2005) 1 exemplaire
Echos du silence (2018) 1 exemplaire
Una pasion por las lenguas (2005) 1 exemplaire

Oeuvres associées

19 Ways of Looking at Wang Wei: How a Chinese Poem is Translated (1987) — Traducteur — 187 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Autres noms
Chéng, Bàoyī
程, 抱一
Date de naissance
1929-08-30
Sexe
male
Nationalité
Chine (naissance)
France (naturalisation)
Lieu de naissance
Nanchang, Jiangxi, People's Republic of China
Lieux de résidence
Paris, France
Professions
Ecrivain
Poète
Calligraphe
Organisations
Académie française (2002)
Prix et distinctions
Académie française (Grand Prix de la Francophonie, 2001)
Courte biographie
François Cheng, de l'Académie française, est à la fois poète (Entre source et nuage, 1990 ; Le Livre du vide médian, 2004), romancier (Le Dit de Tianyi Prix Femina 1998, L'Eternité n'est pas de trop 2002, Quand reviennent les âmes errantes 2012) et essayiste (Cinq méditations sur la beauté 2006, L'un vers l'autre 2008, Cinq méditations sur la mort autrement dit sur la vie, 2013, Assise, 2014). Le dernier livre que nous ayons publié de lui est la série de ses Entretiens avec Françoise Siri (2015, en coédition avec France-Culture.

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Critiques

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Cheng-Oeil-ouvert-et-coeur-battant--Comment-envis...

> OEIL OUVERT ET COEUR BATTANT, Comment envisager et dévisager la beauté, de François Cheng. — Pour écrire ses « Cinq Méditations sur la Beauté » parues en 2006, François Cheng avait soumis ses idées à un groupe de réflexion… Il continue seul, et magistralement, à approfondir ce sujet qui lui est si cher, lors d'une conférence au Collège des Bernardins. La beauté dont il parle ne se contente pas d'être esthétique, elle l'envisage et la dévisage sous toutes ses formes, plaçant celle du coeur au plus haut, puisqu'elle conditionne notre regard sur la vie.
Le titre évoque le petit personnage souvent représenté dans les peintures de paysages en Chine, peintures « états d'âme » dans lesquelles il symbolise « le coeur battant de l'univers ». Editions Desclée De Brouwer, 80 pages - 10 € (Françoise BLÉVOT)
Infos Yoga, (84), Nov./Déc. 2011, (p. 44 )
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Feb 2, 2022 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Cheng--lorient-de-tout/13101

Dans l’Ouvert, toutes choses se révèlent présences
Leur voie n’est point écoulement - épuisement
Présence à présence, elles se suscitent et s’élèvent
Transformant la marche droite et horizontale
Enfumée bleue de l’accueil.
Corps ailés tendus
Vers le clair et le haut, mouvement même du Tao
Ah, élan du souffle, pur jaillissement, chant !
À l’Orient de Tout, p.152

L'infini n'est autre
Que le va-et-vient
Entre ce qui s'offre
Et ce qui se cherche.
Va-et-vient sans fin
Entre arbre et oiseau
Entre source et nuage
À l’Orient de Tout, p.146

(…)
Nous irons à deux vers !'Ouvert
Ouverts à ceux qui comme nous
Rient et pleurent, comme nous porter
Par le souffle qui ici nous lie
Souffle aussi ardent qu'un rayon
Que ne résorbe point le soir
Et parmi tant d'ailes trouant le ciel
De feuilles ensanglantant le sol
Il sera seul à tout prendre encore
Seul à prendre de court la mort
À l’Orient de Tout, p.183

Nous sommes clôture et finitude
Pourtant c'est d'entre nous
Que sans fin jaillira
Ce que la vie désire
de plus vaste
de plus haut
d'infiniment transformable
Aimer c'est être
en avant de soi
Aimer c'est dire
« tu ne mourras pas ! »
À l’Orient de Tout, p.188

Vraie Lumière
celle qui jaillit de la Nuit
Et vraie Nuit
celle d'où jaillit la Lumière
À l’Orient de Tout, p.230
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Jan 31, 2022 |
> LE LIVRE DU VIDE MÉDIAN, de François Cheng (Albin Michel, 2004). — Cette idée d’un entre-deux évanescent qui insuffle sa vie à la réalité duelle, secret de la rencontre féconde des opposés, est présente en filigrane dans toute l’oeuvre de François Cheng. Lui-même, en tant que poète chinois et français, incarne cet échange incessant. En plus de cent poèmes nourris de sa vision du monde et de son expérience humaine, il nous offre avec ce livre son testament poétique. (Espaces libres)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Cheng-Le-livre-du-Vide-median/109025
> Nuit blanche : https://nuitblanche.com/commentaire-lecture/le-livre-du-vide-median/
> L'Homme en Question (No 25 – automne 2009) : http://www.albin-michel.fr/multimedia/Documents/hq/hq_25.pdf

> Réédition attendue des fulgurant poèmes de François Cheng : Le Livre du vide médian.
Nouvelles Clés

> LE LIVRE DU VIDE MÉDIAN, de François Cheng, (Albin Michel, 26,95 $). — Selon la philosophie taoïste, le vide médian, né de la rencontre des forces essentielles de la nature que sont le Yin et le Yang, est cet espace d’où germe une énergie créatrice. Sans François Cheng, de l’Académie française, les lecteurs ne pourraient en savourer la poésie, charmante et éthérée. Si le souffle est « vie », selon le Tao, les mots de Cheng peuvent donc être comparés à une brise reposante. Ici, rien de trop obscur, et ce, tant dans les thèmes (contemplation de la nature et des hommes, sources de l’âme) que dans le choix des mots, d’une désarmante simplicité. Étrange et beau à la fois, Le Livre du vide médian devrait être dégusté lentement, avec du thé, de préférence, et quelques vapeurs de jasmin pour vous chatouiller les narines. (Antoine TANGUAY)
Le Libraire, Décembre 2004 | no 26
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Apr 21, 2021 |
> Nul !
Nicolas (Le blog de Menon), le 25 octobre 2015 (Amazon.fr) 1/5

> Babelio : rel="nofollow" target="_top">https://www.babelio.com/livres/Cheng-Cinq-meditations-sur-la-mort/1242239
> BAnQ (Relations, mai 2014) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2890851
> Paperblog : https://www.paperblog.fr/7304783/cinq-meditations-sur-la-mort-de-francois-cheng/
> Revue Etudes : https://www.revue-etudes.com/article/cinq-meditations-sur-la-mort-16172
> Philosophie magazine : https://www.philomag.com/livres/cinq-meditations-sur-la-mort-autrement-dit-sur-l...

> Blévot F. (Infos Yoga, (95), janv-févr. 2014, p.43) … ; (en ligne),
URL : https://drive.google.com/file/d/1W14Qdq6LAiqMCmlytumuWfhgyQlCzH9I/view?usp=shari...

> Les superbes méditations de François Cheng, poète pétri de tradition taoïste, nous invitent à vivre plus pleinement.
François Busnel, le 12/12/2013 (L'Express.fr)

> Un livre sur la mort aujourd'hui, mais, comme le dit son sous titre, un livre sur la vie. Un livre que tous les vivants devraient lire pour avoir moins peur d'elle, et peut-être la comprendre autrement.
Bertrand Dicale, le 05/12/2013 (Radio France)

> Ce livre est né d'un cheminement amorcé dans « Quand reviennent les âmes errantes » où se dessinait déjà, sur fond de légende chinoise, la vision d'un royaume dans lequel la mort n'est pas une fin définitive. Ces nouvelles méditations sont le fruit de cinq rencontres avec des amis, ce qui leur donne la tonalité d'oralité poétique qui a fait le succès des « Cinq méditations sur la beauté ».
Livres Hebdo

> LA MORT ET SA BEAUTÉ — Sur le modèle des Cinq méditations sur la beauté, François Cheng nous livre cette fois ses Cinq méditations sur la mort (Albin Michel). Le ton n’est jamais grave, il est même empreint d’un bout à l’autre d’espoir. Un livre en somme sur la vie, sans cesse recommencée.
Nuit blanche

> La mort n’est point notre issue,
Car plus grand que nous
Est notre désir, lequel rejoint
Celui du Commencement, Désir de vie.
(...)
Fidèle compagne, la mort nous contraint
À creuser sans cesse en nous
Pour y loger songe et mémoire,
A toujours creuser en nous
Le tunnel qui mène à l’air libre.
Elle n’est point notre issue.
Posant la limite,
Elle nous signifie l’extrême
Exigence de la Vie,
Celle qui donne, élève,
Déborde et dépasse.… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | 3 autres critiques | Mar 11, 2021 |

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