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Luc Brunschwig

Auteur de Holmes, Episode 1 :

57 oeuvres 488 utilisateurs 8 critiques

A propos de l'auteur

Comprend aussi: Brunschwig (1)

Séries

Œuvres de Luc Brunschwig

Holmes, Episode 1 : (2006) 38 exemplaires
Le pouvoir des innocents 1: Joshua (1992) 17 exemplaires
Le pouvoir des innocents 2 : Amy (1993) 16 exemplaires
La dix-neuvième victime (1996) 11 exemplaires
La Mémoire dans les poches T2 (2009) 9 exemplaires
Le sourire du clown, Tome 2 : (2007) 9 exemplaires
Le sourire du clown, Tome 1 : (2005) 9 exemplaires
Makabi, tome 1 : Poupées russes (2002) 9 exemplaires
Urban 5: Schizo Robot (2022) 7 exemplaires
Urban. Band 3: Es werde Licht … (2015) 7 exemplaires
Le sourire du clown, Tome 3 : (2009) 7 exemplaires
Car l'Enfer est ici tome 1 (2011) 6 exemplaires
Makabi, Tome 4 : Juke-box (2007) 5 exemplaires
Après la guerre, Tome 1 : (2006) 5 exemplaires
Luminary - Tome 01 (2019) 4 exemplaires
The Scarlet Citadel (2019) 4 exemplaires
Luminary - Tome 02: Black power (2020) 4 exemplaires
Mic Mac Adam, tome 3 : Les Taupes (2004) 3 exemplaires
Macadam, tome 3 2 exemplaires
Après la guerre, épisode 2/15 (2006) 1 exemplaire

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1967-09-03
Sexe
male
Nationalité
Belgium

Membres

Critiques

Mai 1891. On avait laissé à la fin du livre II Watson devant le caveau des Holmes dans la propriété familiale. Il était sur le point d’entrer pour se recueillir sur la dépouille de son ami. Watson était arrivé dans le Yorkshire avec Wiggins et Mary à cause de son enquête sur le suicide de son ami aux chutes de Reichenbach. En effet, le professeur Moriarty ne pouvait pas être en Suisse puisqu’il vit reclus à Leicester, et ce suite à une bagarre, sur une falaise avec Holmes en 1872, pour les beaux yeux d’une femme, Madeleine, et qui s’est soldée par la chute des deux combattants et une blessure très grave pour le professeur, alors le précepteur de Sherlock. C’est en tout cas la version de Mycroft et de sa mère. Watson menait donc l’enquête car il sentait quelque chose de suspect et avait fait la rencontre du père de Sherlock, Siger. C’était un vieil homme sénile, dont les soins étaient laissés à une certaine Gloria Dumbley. Bien qu’âgée du même âge que les parents Holmes, et ayant une jambe de bois, cette femme a été choisie pour s’occuper du vieil homme. Elle semble même très proche de la famille puisqu’elle appelle les parents Siger et Violet

Dans ce livre III, chapitre 4 daté du 13 juin 1891, on retrouve Watson en train de rentrer dans le caveau. La porte se referme. L’espace s’agrandit. Sherlock Holmes se réveille et lui montre ce qu’il doit regarder. Il doit interroger Madeleine pour avoir sa version des faits. Watson rétorque que cela est impossible puisqu’elle s’est mariée et est allée vivre en Australie.

Holmes demande à Watson de s’interroger sur Gloria Dumbley. Pourquoi elle ? est-elle une vraie infirmière, dévouée à son patient ou à une cause autre ? La seule piste est qu’elle utilise une canne qui n’est pas marqué à son nom. Sur le pommeau, on peut lire Dudley P. Parks M.D. Oxford 1851. Qui est ce docteur ?

Sur la deuxième scène que Holmes montre à Watson, on voit Siger dans la force de l’âge avec ses deux fils mais sans leur mère. Où est-elle ? Pourquoi n’était-elle pas là pour s’occuper de son bébé ?

Wiggins, devenu détective (et un détective très brillant), va suivre la piste londonienne du docteur tandis que le docteur et sa femme suivront la piste paloise, Sherlock ayant passé son enfance à Pau. Suivre ces pistes ne sera pas de tout repos pour nos trois héros.

J’attendais ce troisième tome depuis quatre ans. Je ne suis pas déçue du tout même si c’est un tome où le scénario semble plutôt dirigé par les intrigues secondaires. Cette bande dessinée fait plutôt naître des attentes pour le livre IV car on lit plutôt une remise en jambe dans l’histoire, n’apprenant pas grand chose de décisif sur l’enfance de Sherlock. On sent que la famille Holmes, et particulièrement Mycroft, travaille pour que rien ne se sache. J’espère que le tome IV tiendra ses promesses de révélations. Même les personnages semblent prendre plaisir à nous faire attendre : Wiggins se tourne avec nostalgie vers sa première rencontre avec Holmes et Watson et Mary vivent une seconde lune de miel.

Pour lire ce troisième tome, j’ai relu les deux précédents et j’ai été surprise ne me semble plus aussi beaux que la première fois. Les dessins sont magnifiques : les muscles du visage sont figurés avec une précision que l’on voit rarement mais je trouvais que le tout manquait de profondeurs. Il faut rappeler que l’album est tout en dégradé de bleu. J’ai trouvé que les auteurs avaient amélioré ce détail dans ce livre ci (ils étaient déjà excellents avant).

Le seul bémol que je mettrais, c’est la gestion des transitions entre Londres et Pau. Cela n’est pas forcément évident de suivre pour le lecteur.
… (plus d'informations)
½
 
Signalé
CecileB | Dec 30, 2012 |
Résumé

L'enquête se poursuit dans la jeunesse de Sherlock Holmes. On y voit la rencontre des parents de Holmes, sa chambre. Et même on y apprend que Sherlock Holmes a été amoureux quand il était jeune !!!

Mon avis

C'est toujours aussi génial ! Cette fois-ci, Cecil utilise deux types de dégradés : toujours un de bleu pour 1891 et un de jaune pour les autres périodes. Ces dessins sont toujours aussi beaux. La série doit comprendre neuf volumes : j'espère ne pas avoir à attendre trop longtemps !!!… (plus d'informations)
½
 
Signalé
CecileB | Dec 30, 2012 |
Résumé

Cela commence par la question habituelle : Sherlock Holmes est-il mort en même temps que Moriarty aux chutes de Reichenbach ?

Watson, assisté du jeune Wiggins (devenu avec le temps "détective amateur chaudement recommandé par Monsieur Sherlock Holmes"), va mener l'enquête. On retrouve alors les personnages habituels : le frère Mycroft, le professeur Moriarty ainsi que Arthur Conan Doyle en agent littéraire de Watson.

Mon avis

C'est un coup de coeur à cause du scénario de Luc Brunschwig que j'ai trouvé particulièrement original. En plus, dans ce tome 1, on entrevoit la jeunesse de Holmes peu abordée dans le canon. Les dessins de Cecil tout en dégradé de bleu sont vraiment sublimes : les personnages sont expressifs et vraiment comme on se les imagine en lisant les livres de Doyle.… (plus d'informations)
 
Signalé
CecileB | 1 autre critique | Dec 30, 2012 |
 
Signalé
folivier | Dec 12, 2011 |

Prix et récompenses

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Statistiques

Œuvres
57
Membres
488
Popularité
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Évaluation
½ 3.6
Critiques
8
ISBN
131
Langues
6

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