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Fanny Britt

Auteur de Jane, le renard & moi

9+ oeuvres 669 utilisateurs 54 critiques

Œuvres de Fanny Britt

Jane, le renard & moi (2012) 486 exemplaires
Louis Undercover (2016) 86 exemplaires
Les maisons (1657) 31 exemplaires
Truffe (2021) 19 exemplaires
Faire les sucres (2020) 18 exemplaires
Bienveillance (2012) 4 exemplaires
Lysis (French Edition) (2020) 3 exemplaires

Oeuvres associées

The Best American Comics 2014 (2014) — Contributeur — 98 exemplaires
Granta 141: Canada (2017) — Contributeur — 58 exemplaires
The Best American Comics 2019 (2019) — Contributeur — 42 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1977
Sexe
female
Nationalité
Canada
Lieux de résidence
Montreal, Quebec, Canada
Études
l’École Nationale de Théâtre du Canada

Membres

Critiques

Il ne faut pas s’y tromper, derrière les codes feel-good de la couv’ ou du titre, se cache un autre type de livre. Pas forcément un livre d’horreur, trash ou que sais-je, mais les amateurs de jolies histoires qui finissent bien ne s’y retrouveront pas forcément.

L’histoire d’une middle-age crisis, à l’âge où un événement (pas forcément gravissime) peut tout faire dérailler. Un moment où les repères ne sont plus clairs, où l’usure des couples se fait ressentir et où le besoin de sens se fait prégnant. Un accident, la peur de mourir et voilà qu’Adam bascule emportant avec lui Marion, sa compagne.

Un livre qui – tout en restant choupinou – propose avec finesse – et quelques clins d’œils amusés – une jolie satire sociale en exposant quelques contrastes de préoccupations. Et comment ne pas sourire devant ce besoin de retour à la terre d’une personne à qui tout réussit ou face à l’abandon dans d’autres bras de son épouse délaissée. Et comment ne pas réagir devant leur incompréhension face aux douleurs qui leur font face ?

Cliché ? Oui, mais bien pris, avec le bon angle et sans trop de douceur malgré tout
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Signalé
noid.ch | Aug 17, 2023 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Britt-Jane-le-renard-et-moi/414099
> La Plume Francophone : https://la-plume-francophone.com/2016/12/06/isabelle-arsenault-et-fanny-britt-ja...
> BoDoï : https://www.bodoi.info/jane-le-renard-et-moi/
> Radio‑Canada (Lu par Émilie Bibeau) : https://ici.radio-canada.ca/ohdio/livres-audio/41593/jane-le-renard-et-moi
> du9 : https://www.du9.org/chronique/jane-le-renard-moi/

> Existe-t-il un lecteur qui n'a pas, un jour, plongé dans un livre afin d'échapper à ceux qui le ridiculisaient? Et qui, ce faisant, s'est soustrait à la méchanceté tout en trouvant, dans les pages de ce livre, un peu de réconfort? C'est le propos d'un roman graphique chavirant et subtil, inspiré par Jane Eyre de Charlotte Brontë: Jane, le renard et moi, texte de la dramaturge Fanny Britt, illustré par Isabelle Arsenault.
*Jane, le renard et moi. Fanny Britt et Isabelle Arsenault. La Pastèque, 104 pages.
—Marie-Christine Blais (LaPresse.ca)

> ​JANE, LE RENARD ET MOI ENCORE COURONNÉ. — La Ville de Montréal annonçait vendredi le livre lauréat de son 8e Prix jeunesse des bibliothèques de Montréal. C’est l’album de Fanny Britt, aussi connue pour ses pièces et traductions de théâtre, et de l’illustratrice Isabelle Arsenault qui remporte les honneurs. Jane, le renard et moi (La Pastèque) poursuit ainsi sa collecte de prix. Récit illustré, album, bande dessinée, le livre flirte avec les genres, et a ainsi récolté les prix Shuster et Bédéis Causa de bande dessinée. Il est aussi finaliste aux prix littéraires du Gouverneur général. L’histoire aborde l’intimidation à l’école, à travers une petite Hélène, souvent bousculée, qui se réconforte par la lecture du roman de Charlotte Brontë Jane Eyre. Au Prix des bibliothèques, les autres œuvres finalistes étaient À la recherche du bout de monde (Hurtubise) de Michel Noël, Au carnaval des animaux (La Courte Échelle) de Marianne Dubuc, Ho (Québec Amérique) de François Gravel et Mingan, mon village : poèmes d’écoliers innus de Rogé.
Le Devoir,
26 octobre 2013
Lire


> Hélène est victime de harcèlement et d’intimidation à son école. Elle trouve refuge dans le monde de Jane Eyre, le premier roman de Charlotte Brontë...
Jane, le Renard et Moi (éditions La Pastèque) est un récit touchant qui présente avec justesse la méchanceté que les enfants peuvent déployer les uns envers les autres. (par Marianne PIERRE)
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Signalé
Joop-le-philosophe | 42 autres critiques | Dec 12, 2018 |
Pourquoi ce livre ?

Il y a longtemps que j’avais envie de lire ce livre, plusieurs de mes amis et proches l’avaient déjà lu et me l’avais fortement recommandé, j’ai donc saisi l’occasion. Cela me permettrait aussi d’essayer la plateforme de prêt numérique des bibliothèques de la ville de Montréal, puisque je me doutais que ce livre assez populaire serait probablement disponible en format numérique. Aussi, comme il s’agissait pour moi d’une première expérience de lecture numérique, je trouvais intéressant de choisir un livre d’une part, pas trop long, et aussi que j’avais de grandes chances d’aimer, afin qu’une expérience de lecture moins à mon goût ne teinte pas ma perception du livre numérique.

Un aspect qui m’a plu :

J’ai particulièrement apprécié le style de l’auteure. On entre facilement dans l’univers du personnage et l'on s’y attache, grâce à l’écriture drôle et intelligente de Fanny Britt. Les dialogues sont particulièrement savoureux, dont le rythme très rapide et les échanges incisifs sont à la fois réalistes et captivants. L’auteure réussit également à très bien dépeindre l’univers intérieur du personnage, dans le présent et à travers des souvenirs, ce qui accroche d’autant plus le lecteur au sort de cette femme dont on suit les péripéties avec beaucoup d’appréhension.

Un aspect qui m’a moins plu :

La fin du livre nous laisse un peu sur notre faim. Tout au long de la lecture, on attend avec impatience un évènement qui doit se produire, mais dont on ne connait pas l’issue finale. Or, l’évènement en question se déroule finalement très rapidement, et le livre se termine tout de suite après, sur une scène assez banale. On termine donc le roman un peu insatisfait, on aurait aimé que cela dure plus longtemps!

L’objet numérique :
a.Fonctions liées à l’affichage et à l’annotation
Comme il s’agit d’un livre numérique emprunté sur le site des bibliothèques de Montréal, le logiciel utilisé permet de faire une série limitée d’action. En fait, on avait accès au livre original avec tous les éléments habituels (page couverture, page de garde, etc.), mais en version numérique. Impossible dans ce cas de modifier la police, la présentation, la couleur ou autre, puisqu’il s’agit d’un objet fixe. Ceci étant dit, il était tout de même possible d’effectuer un zoom sur le texte ce qui permet d’afficher les caractères en plus grands. Il est possible de passer d’une page à l’aide de flèches permettant d’avancer ou de reculer, ou en utilisant les flèches du clavier de l’ordinateur. Le logiciel ne permettait aucune action sur le document : impossible de surligner des passages ou d’insérer des commentaires. Dans ce cas précis, puisqu’il s’agit d’un roman et non d’une lecture académique, même si ces fonctions étaient disponibles, je ne les aurais probablement pas utilisées.

b.Fonctions hypertextuelles
La navigation d’une page à l’autre se fait donc avec les flèches du logiciel ou celles du clavier. Il est également possible d’afficher un menu de navigation à gauche du texte, reprenant tous les sections du livre : page couverture, chapitres, table des matières, remerciements, etc. Il est donc possible de passer d’un chapitre à l’autre sans utiliser les flèches. On peut également utiliser le « signet » pour retrouver plus facilement certaines pages, qui se retrouvent ainsi dans le menu de navigation. Une fonction recherche permet aussi de chercher des mots ou des bouts de phrases pour les retrouver dans le texte. Le logiciel permet aussi les renvois internes, puisqu’il est possible à partir de la table des matières d’accéder aux différents chapitres.
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Signalé
catherine6344a16 | 4 autres critiques | Oct 13, 2016 |
Appareil de lecture : Samsung Galaxy Tab 3
Plateforme vous ayant permis l’accès : BAnQ : http://banq.pretnumerique.ca/resources/5272a59a1dab10c297307a39
Pourquoi avez-vous choisi ce livre ?
J’ai choisi ce livre parce que j’avais envie d’expérimenter pour la première fois la bande dessinée numérique. Étant fervente amatrice de bande dessinée, j’étais curieuse de faire ce test. Et comme j’aime particulièrement la bande dessinée québécoise, je cherchais une bédé de cette origine sur le web. Les bandes dessinées numériques québécoises étant très peu nombreuses sur la Toile, je me suis rapidement tournée vers Jane, étant donné sa très grande renommée et les nombreux prix que ce livre a reçu, tant au Québec qu’à l’étranger.
En 75-100 mots, un aspect qui vous a plu :
J’aime beaucoup le traitement des couleurs dans cette bande dessinée. J’aime comment le gris du crayon de plomb correspond au gris de la vie d’Hélène et comment les couleurs s’animent en aquarelles lorsque celle-ci fait référence à sa lecture de Jane Eyre ou lorsqu’apparaît son beau renard sauvage. J’aime aussi comment ces couleurs prennent de plus en plus de place au fil des pages au fur et à mesure qu’Hélène prend confiance en elle, qu’elle se fait des amies et que sa vie s’égaye.
Un aspect qui vous a moins plu :
J’ai détesté ne pas avoir une vue d’ensemble sur les pages double de la bande dessinée en version numérique. Certaines « pages » numériques n’avaient ainsi aucun sens. Je pense à un cas en particulier (p.74-75) où on voit seulement sur la page « de gauche » quelques traits au plomb formant une tache. C’est en consultant ensuite la page « de droite » que l’on comprend que le personnage d’Hélène est en fait dans un immense trou s’étalant sur deux pages. Ce découpage nécessaire du numérique nuisait ici à la compréhension du récit.
L’objet numérique :
a. Fonctions liées à l’affichage et à l’annotation
Lors de ma lecture, il m’était possible de cliquer sur quelques options. Sous Réglages, il était possible de verrouiller l’orientation du texte ou le fond d’écran (ce que je n’ai pas vraiment trouvé pertinent), ou encore de me mettre en mode nocturne ou de changer la luminosité de la tablette (ce qui peut être plus utile). Je pouvais également modifier l’animation pour tourner les pages du livre (Tourner, Glisser, Fondue, Couper), ce qui me semble à mon avis qu’une « bébelle pour faire joli ». Il m’était impossible de choisir une grosseur de texte ou de page prédéterminée, bien qu’il ait été possible, avec les doigts, d’agrandir chaque page comme on le fait habituellement sur un écran tactile (nécessitant beaucoup de patience pour revenir au format de départ ou passer à la page suivante). Je n’ai pas compris l’utilisation des signets. Finalement, la fonction Recherche était inutile, puisque le texte ne semblait pas être indexé. Évidemment, il était impossible d’annoter ou de surligner le texte.
Comme il s’agit d’une bande dessinée, la taille de l’écriture, sa couleur ou sa police font partie de façon intégrale de l’œuvre et on comprend aisément qu’il ait été impossible ici de les changer sans la dénaturer. Heureusement, dans le cas de Jane, il m’était possible de lire le texte sans avoir à faire de zoom toutes les pages.
b. Fonctions hypertextuelles
Le format du document semblait prévoir un espace pour un index sous l’onglet Contenus, mais il n’était pas utilisé dans le cas de Jane. Aucun renvoi n’était non plus accessible, que ce soit entre différentes partie de l’ouvrage ou vers d’autres ressources.
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Signalé
mariepier6344a16 | 42 autres critiques | Sep 27, 2016 |

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Ina Pfitzner Übersetzer

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