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Boulet

Auteur de Bea Wolf

45+ oeuvres 940 utilisateurs 28 critiques 2 Favoris

A propos de l'auteur

Crédit image: Georges Seguin

Séries

Œuvres de Boulet

Bea Wolf (2023) — Illustrateur — 218 exemplaires
La Page blanche (2012) 77 exemplaires
Notes, Tome 7 : Formicapunk (2012) 25 exemplaires
Notes T8 - Les 24 heures (2013) 19 exemplaires
Raghnarok, Tome 5 : Tempus fugit (2007) 10 exemplaires
Notes 11 - Un royaume magique (2018) 10 exemplaires
Raghnarok, Tome 6 : Casus belli (2009) 9 exemplaires
Raghnarok. 1, Dragon junior (2001) 8 exemplaires
Bolchoi arena T03: Révolutions (2022) 6 exemplaires
La rubrique scientifique : Tome 1 (2002) 6 exemplaires
Rogatons (2022) 5 exemplaires
Le Voeu de Simon (2011) 5 exemplaires
Donjon Zénith T10: Formule incantatoire (2023) — Artist — 4 exemplaires
Donjon Zenit 8: Zu ihrem Andenken (2021) 4 exemplaires
Le Miya (2005) 4 exemplaires
La rubrique scientifique, tome 2 (2004) 4 exemplaires
La rubrique scientifique (2005) 4 exemplaires
Rogatons 2 (2023) 3 exemplaires
Le jour où ça bascule (2015) 2 exemplaires
Noirness (2013) 1 exemplaire
Darkness 1 exemplaire

Oeuvres associées

Romeo and/or Juliet: A Chooseable-Path Adventure (2016) — Illustrateur — 650 exemplaires
Tous malades ! : Un recueil de sales poèmes (1991) — Illustrateur, quelques éditions347 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom légal
Roussel, Gilles
Date de naissance
1975-02-01
Sexe
male
Nationalité
France
Lieu de naissance
France
Lieux de résidence
Paris, Ile-de-France, France

Membres

Critiques

Je suis un fidèle de la première heure du grand Boulet. Je possède tous les recueils sobrement intitulés Notes qui reprennent les billets publiés sur son blog depuis 2004 — j’ai même un autographe, le seul que je possède. Je me suis donc procuré le huitième tome dès sa sortie.

Cet recueil est centré sur une performance à laquelle participe Boulet : rel="nofollow" target="_top">Les 24 heures de la bande dessinée. Cet évènement a lieu chaque année lors du festival d’Angoulême et consiste a — comme son nom l’indique en partie — dessiner une BD de 24 pages en 24 heures. Ce n’est pas tout. A chaque édition sa contrainte à respecter. Par exemple, celle de l’édition 2013 était:

L’histoire doit se dérouler sur une durée intégrant 24 unités de temps : secondes, heures, jours, années…

Comme chez les oulipiens, la contrainte est là pour stimuler l’imagination, créer quelque chose qui ne n'aurait pas existé sans elle.

Boulet reprend dans ce recueil ses exploits d'endurance accomplis lors des différentes éditions des 24H et les agrémente d’interludes dans lesquels il les commente. Paradoxalement, j’ai largement préféré ces interludes aux morceaux de bravoures, les anecdotes à l'exploit. Je le trouve meilleur — et bien plus marrant — dans le commentaire autocentré que dans l’exercice de style — pourtant il est excellent partout. Encore une bonne dose de talent, d’humilité et de poilade. Merci monsieur Boulet. http://www.aubonroman.com/2014/02/notes-tome-8-par-boulet.html… (plus d'informations)
 
Signalé
yokai | Feb 8, 2014 |
Toujours drôle, le Boulet. Le seul regret c'est que le format de ces notes demeure trop petits. Faudrait une loupe...
 
Signalé
hubertguillaud | 2 autres critiques | Jan 4, 2014 |
Eloïse est assise sur un banc, dans un quartier de Paris. Elle ne comprend pas ce qu'elle fait là, elle attend. Elle a oublié son nom, qui elle est, où elle est et pourquoi... Elle a gardé la mémoire du temps, de l'histoire mais plus son histoire à elle... Ce soir à la tombé de la nuit, sur son banc c'est une page blanche qui s'ouvre. Avec beaucoup d'humour, de sensibilité et d'intelligence, les auteurs nous font découvrir le parcours angoissant, terrifiant d'Eloïse pour retrouver son passé, faire semblant et réapprendre à vivre avec ce trou noir et recomposer une histoire avec les informations qu'elle glane autour d'elle et ses déductions. Elle découvre une Eloïse très superficielle et qui ne lui plaît guère.
Un dessin simple, épuré et très graphique avec une mise en couleur en aplat vif qui permet de focaliser sur les émotions, les sentiments. Une belle histoire dont la morale pourrait être qu'importe ce que l'on a été ce qui compte ce que l'on ait et ce que l'on devient.
… (plus d'informations)
 
Signalé
folivier | 3 autres critiques | Apr 1, 2012 |
Oh mon Dieu deux blogueurs BD ont fusionné pour donner naissance à un joli livre tout rose intitulé La page blanche. Le titre fait moins référence à la célèbre peur de l'écrivain ou du dessinateur qu'à la perte de mémoire, l'amnésie qui ne laisse qu'un vide. Combien d'histoires ont été écrites sur ce trouble tellement perturbant pour l'être humain ? Ne pas savoir qui l'on est, d'où l'on vient nous est parfaitement insupportable et nous empêche de savoir où l'on va. C'est donc un sujet de choix pour un conteur d'histoires. Dans ce type de récit elle progresse dans deux sens chronologiquement opposés. Plus elle avance dans le temps et plus le passé se révèle à la lumière des évènements vécus par le personnage. La protagoniste est une jeune fille perdue, seule sur un banc qui ne cesse d'écarquiller les yeux et de regarder en tout sens en se demandant non seulement ce qu'elle fait là mais mais qui elle est.Boulet — dont j'apprécie tout particulièrement le travail — est au scénario pendant que Pénélope Bagieu — dont je découvre l'oeuvre — s'occupe des dessins. Ces derniers sont tout à fait dans le style de Pénélope Bagieu — normal me direz-vous mais on aime ou on aime pas — et les couleurs sont un peu trop présentes, trop marquées à mon goût.
L'histoire est très centrée sur la jeune héroïne et n'utilise pas d'autres perspectives. Par conséquent, il y a très peu d'interaction avec les autres puisqu'elle ne connaît personne et beaucoup d'introspection sur pas grand chose puisqu'elle ne se souvient de rien. Ce choix rend le récit un peu monotone malgré quelques bonnes trouvailles. Pourtant, l'allégorie sur la vacuité de la vie des personnes "comme tout le monde" et le nivellement de la culture est intéressante. Ils regardent les mêmes séries télé et les mêmes films, écoutent la même musique, lisent les mêmes livres — souvent le dernier Marc Levy —, ont chez eux les mêmes meubles Ikea — mais si, vous savez ce meuble rouge en ferraille style vestiaire — et les mêmes objets qui ne servent à rien de chez Nature & Découvertes — souvent des cadeaux de quelqu'un qui ne savait pas quoi acheter —; ils ont les mêmes conversations — qui portent principalement sur les éléments précités — dans des bars et les poursuivent en rentrant chez eux sur Facebook. Ce que nous dit cette BD, c'est que cette vie est tellement fade qu'elle finit par disparaître. Parviendra-t-elle à nous sauver de cette fatalité ? http://www.aubonroman.com/2012/02/la-page-blanche-par-penelope-bagieu.html
… (plus d'informations)
 
Signalé
yokai | 3 autres critiques | Feb 5, 2012 |

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