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Fred Bernard

Auteur de La reine des fourmis a disparu

62 oeuvres 271 utilisateurs 13 critiques

A propos de l'auteur

Séries

Œuvres de Fred Bernard

La reine des fourmis a disparu (1996) 39 exemplaires
L'homme bonsaï (2003) 15 exemplaires
Anya et tigre blanc (2015) 13 exemplaires
Jésus Betz (2001) — Illustrateur — 12 exemplaires
La Comédie des Ogres (2001) 12 exemplaires
Le Train jaune (1998) 11 exemplaires
Lily Love Peacock (2006) 10 exemplaires
Essence (2018) 8 exemplaires
La Fille du Samouraï (2012) 7 exemplaires
Le jardin de Max et Gardénia (1998) 7 exemplaires
Chroniques de la vigne (2013) 6 exemplaires
La Malediction de l'anneau d'or (2017) 5 exemplaires
Uma, la petite déesse (2006) 5 exemplaires
Les évasions célèbres (2010) 4 exemplaires
Rex et Moi (2007) 4 exemplaires
Anouketh (2011) 3 exemplaires
Monsieur cloud nuagiste (1999) 3 exemplaires
Little Odyssée (2008) 3 exemplaires
Kiki la tortue (2013) 3 exemplaires
Rose et l'automate de l'opéra (2013) 2 exemplaires
Le pompier de Lilliputia (2009) — Auteur — 2 exemplaires
L'indien de la Tour Eiffel (2004) 2 exemplaires
Le Grand Match (2015) 2 exemplaires
Das Geheimnis der Wolken (1998) 2 exemplaires
Jeanne et le Mokélé (2001) 2 exemplaires
Ushi (2000) 2 exemplaires
Les Hommes préhistoriques (2002) 1 exemplaire
Les Grands conquérants (2004) 1 exemplaire
Wonderful escapes 1 exemplaire
La Hollande 1 exemplaire
Nungesser (2015) 1 exemplaire
On nous a coupé les ailes (2014) 1 exemplaire
Terre de feu, feux follets (2018) 1 exemplaire
Monsieur Moisange (2015) 1 exemplaire
Himalaya Vaudou (2009) 1 exemplaire

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1969-09-01
Nationalité
France
Pays (pour la carte)
France
Lieu de naissance
Beaune, France

Membres

Critiques

J’avais entendu parler de ce livre il y a longtemps, et j’ai été contente de pouvoir enfin l’emprunter. C’est un drôle de livre, avec un joyeux mélange de piraterie, de contes orientaux et un peu de philosophie pas trop compliquée. Il me semblait que cette bd était adaptée d’un livre pour enfants, et je ne m’attendais pas à ce qu’il y soit question d’opium et qu’il y ait quelques dessins un peu trop osés pour mes yeux un peu trop prudes.
Je ne suis pas certaine d’avoir vraiment compris l’intérêt de la bd. Le trait parfois un peu tremblant et les grands aplats de couleur ne sont pas tout à fait à mon goût mais elle n’était pas déplaisante à lire, mais je l’oublierai vite. Il faut que j’arrête d’emprunter toutes les bd qui me tombent sous la main dans les bibliothèques que je fréquente trop assidûment !… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | 1 autre critique | Feb 1, 2023 |
Un deuxième tome tout aussi sympathique que le premier, aux mêmes dessins simples mais directs, efficaces dans l'expression des sentiments, aux personnages un poil déjantés mais des plus attachants...
Mais dans cette deuxième aventure, l'histoire m'a moins passionnée, je l'ai trouvé peut-être moins décalé, donc moins drôle, et puis il manque aussi ces "espaces oniriques transitionnels" que j'ai adoré dans le premier.
 
Signalé
elisala | Feb 16, 2018 |
Voilà bien une BD fort intéressante: on peut si l'on veut la lire comme une traite, porté par le rythme de l'histoire et des dessins, on peut aussi s'y attarder, scruter les dessins, les paysages, les expressions...
Personnellement, j'ai choisi l'entre deux, dévorant les passages dans lesquels l'intrigue se déroule admirablement, pour rester scotchée sur les paysages, et surtout, surtout sur ces intermèdes onirico-sensuels que j'ai trouvés tout simplement fabuleux... (pleines pages apparaissant 5 fois, comme les 5 sens)
Et puis j'aime bien ces BD qui montrent s'il y en avait encore besoin que les fioritures ne sont pas nécessaires en BD: un dessin simple, noir et blanc, mais efficace, dans le sens où les sentiments, les idées sont exprimés sans problème par ce dessin... Et puis la Jeanne, l'héroïne, est moderne et intéressante, façon adèle blanc-sec mais en plus sympa; le héros plutôt façon rhett-butler-de-la-jungle (mais moins bien rasé). Une histoire et des personnages un brin décalés ne gâchent rien non plus, rappelons-nous ce fabuleux adage du guide africain: "l'eau cuit le poisson, où est la confiance?"
… (plus d'informations)
 
Signalé
elisala | Feb 16, 2018 |
 
Signalé
Relais | Feb 7, 2014 |

Prix et récompenses

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Œuvres
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Popularité
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Évaluation
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Critiques
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Langues
5

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