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Alain de Benoist

Auteur de Comment peut-on être païen?

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A propos de l'auteur

Séries

Œuvres de Alain de Benoist

Comment peut-on être païen? (1981) 73 exemplaires
The Problem of Democracy (2011) 32 exemplaires
Beyond Human Rights (2011) 22 exemplaires
Histoire secrète de la gestapo. Tome 1 à 4 (1971) — Auteur — 17 exemplaires
Runes and the Origins of Writing (2018) 10 exemplaires
Kritik der Menschenrechte (2004) 5 exemplaires
The Empire of Myth (2021) 3 exemplaires
Guide pratique des prénoms (1981) 3 exemplaires
Les Idées à l'endroit (1979) 3 exemplaires
Kulturrevolution von rechts (2017) 2 exemplaires
Schöne vernetzte Welt (2001) 2 exemplaires
Non à la théorie du genre ! (2014) 2 exemplaires
Die Wurzeln des Hasses (2002) 2 exemplaires
Les traditions d'Europe (1996) 2 exemplaires
Las ideas de la "nueva derecha" (1986) 2 exemplaires
SALAN DEVANT L'OPINION (1963) — Auteur — 1 exemplaire
The Ideology of Sameness (2022) 1 exemplaire
Krisis 1 exemplaire
L'eclisse del sacro 1 exemplaire
Identità e comunità (2005) 1 exemplaire
Les démons du bien (2013) 1 exemplaire
Charles Maurras 1 exemplaire
L'eclisse del sacro (2017) 1 exemplaire
Quelle religion pour l'Europe? (1990) 1 exemplaire
¿Cómo se puede ser Pagano? (2004) 1 exemplaire

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Critiques

> Maas-Chauveau Claudia. Alain de Benoist, Le guide pratique des prénoms. 8000 prénoms pour choisir le bon, 1990.
In: Nouvelle revue d'onomastique, n°15-16, 1990. p. 279. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/onoma_0755-7752_1990_num_15_1_1077_t1_0279_0000_3… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Mar 9, 2019 |
> De Halleux André. Démètre Théraios (éd.), Quelle religion pour l'Europe ? Un débat sur l'identité religieuse des peuples européens. 1990.
In: Revue théologique de Louvain, 23ᵉ année, fasc. 2, 1992. pp. 255-256. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/thlou_0080-2654_1992_num_23_2_2562_t1_0255_0000_2

> QUELLE RELIGION POUR L'EUROPE ?, Un débat sur l'identité religieuse des peuples européens. — Prenant comme point de départ l’aphorisme de Léon Tolstoï selon lequel « la foi est la chose par laquelle on vit », les auteurs de cet ouvrage collectif ont essayé de voir plus clair dans l’essence profonde d’un christianisme à redécouvrir ; foi, qu’on le veuille ou non, qui a fait l’Europe, façonnant en une unique communauté culturelle et religieuse la vie de ses peuples. Cette foi est-elle encore capable de remplir son rôle dans l’avenir ? Ou n’est-elle plus qu’une survivance archaïque au milieu des peuples qui l’ont jadis nourrie de leur sang, mais qui, aujourd’hui, semblent de plus s’en éloigner, optant pour un mode de vie mondialiste, platement consommateur et laïc ? Si cela était, rien ne pourrait plus endiguer le déclin de l’Europe, voire la disparition pure et simple de ses peuples, acquiesçant déjà, avec l’apathie du moribond, à leur propre suicide.
Il n’y a pas de réponse toute prête à ces questions. Sur le plan historique (corroboré par la psychologie, voire la psychanalyse des religions), une chose est sûre : c’est que la provenance du christianisme en ligne directe du judaïsme a vivement été contestée, non seulement par les juifs orthodoxes, mais également par saint Paul, parlant de la Loi mosaïque comme d’une servitude dont il s’agit de se libérer ; ce qui a permis de découvrir dans l’enseignement et, par extension, dans la personne même du Christ, au-delà de cette Loi, d’une part un élément hellénique (le “Logos" de l’évangile de Jean, source de liberté, de vérité et d’équilibre, descendant authentique de la religion païenne-apollinienne), et d’autre part un élément persan-apocalyptique, venant, à travers les prophètes d’Israël et les Esséniens, de la religion zoroastrienne. Ces deux éléments renvoient à une source linguistique et mythologique commune : celle des peuples indo-européens originaires du Nord de l’Europe, ce qui expliquerait la facilité avec laquelle la nouvelle foi a pu prendre racine dans les religions européennes indigènes, aussi bien romaine que celto-germanique.
Dans un monde menacé par l’effondrement écologique, la vision russe du triomphe apparent du Mal vient, elle aussi, renouer avec cette double provenance (johannique et escathatologique) du contexte religieux européen. Quel symbole, en effet, que celui tracé par les premiers chrétiens dans les catacombes de Rome, qui voyaient, eux, le lien entre la beauté, la nature (Orphée-Apollon) et le Christ, sens ultime d’une harmonie à redécouvrir ! Georg Editeur
3e millénaire, (20), Été 1991
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Mar 8, 2019 |
Police secrète de l'État nazi, contraction du mot allemand Geheime Staatspolizei. Ce nom générique de Gestapo a été utilisé par les Français occupés pour désigner à tort des organismes aussi différents que l'Abwehr (service de contre-espionnage de l'armée allemande, dirigé par l'amiral Canaris) ; la Kriminalpolizei, ou Kripo (police criminelle) ; le Sicherheitsdienst ou SD (Service de renseignements de sûreté, d'espionnage et de contre-espionnage du parti et des SS) ; ou encore la Sicherheitspolizei, ou Sipo (police de sûreté, faisant partie de la SS). En réalité, la Gestapo n'est que l'organe exécutif du SD et de la Sipo. Créée par décret de Goering en 1933, passée en 1934 sous l'autorité de Himmler, Reichsführer SS, et en fait sous celle de son redoutable adjoint Heydrich, elle est dirigée du commencement à la fin du IIIe Reich par Heinrich Müller...… (plus d'informations)
 
Signalé
vdb | Aug 15, 2010 |

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