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Michel Audiard

Auteur de Audiard par Audiard

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A propos de l'auteur

Comprend les noms: Michel Audiard

Crédit image: Michel Audiard

Œuvres de Michel Audiard

Maigret and the St. Fiacre Case [1959 film] (1959) — Screenwriter — 15 exemplaires
Audiard par Audiard (1995) 15 exemplaires
The Grilling [1981 film] — Screenwriter — 9 exemplaires
Any Number Can Win [1963 film] (2000) — Screenwriter — 6 exemplaires
The Old Guard [1960 film] — Scénario — 4 exemplaires
La Cage aux Folles 3: The Wedding (2000) — Screenwriter — 4 exemplaires
Le p'tit cheval de retour (1998) 3 exemplaires
The President [1961 film] — Screenwriter — 2 exemplaires
Le Terminus des prétentieux (2023) 2 exemplaires
Don't Take God's Children for Wild Geese [1968 film] (2017) — Directeur — 2 exemplaires

Oeuvres associées

125 rue Montmartre [1959 film] (1959) — Dialogues — 2 exemplaires

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Critiques

Michel Audiard était un dialoguiste hors pair et nombre de ses tirades sont encore reprises mot-pour-mot par les cinéphiles. C'était aussi - bien possiblement - un sale jeune con durant la guerre. Mais là, s'il me fallait en juger par ce terminus des prétentieux, c'était également un bien piètre romancier.

Et si certaines belles phrases et bons mots parsèment ce roman noir… l’intrigue est décousue, tissée de bric et broc et… de tout ce qui semble tomber sous la main.

L’histoire d’un petit truand, une lecture inutile et fatigante… (plus d'informations)
 
Signalé
noid.ch | Jun 4, 2023 |
Roman autobiographique, sur le mode romanesque, et dont la mort du fils d'Audiard fut à l'origine.

Éditeur : " Au cours d'une nuit d'errance dans les rues de Paris, entre Montsouris, Pigalle et Montparnasse, Michel Audiard invoque ses fantômes et ses souvenirs. Requiem, complainte ou rêverie hallucinée, La nuit, le jour et toutes les autres nuits ressuscite un Paris populaire marqué dans sa chair par les années noires de l'Occupation. On y croise Quenotte, fille d'un " charbon, vins, liqueurs " de la rue Saint-Jacques, tondue le dernier jour d'août 1944, et Myrette, la prostituée aux yeux couleur d'huître. On y retrouve la grosse Sophie Clodomir, ancienne championne de basket et joueuse de banjo, ou encore l'inénarrable Pamela de Sweerte, la femme du monde " aurifiée, emperlousée, sertie, damasquinée ", dont le narrateur guette les fabuleuses apparitions. Une dérive de noctambule inspiré, avec la drôlerie et la verve irrésistibles du dialoguiste des Barbouzes et des Tontons flingueurs. "

Site de l'INA : Apostrophes de Bernard Pïvot
http://www.ina.fr/video/I04195040
… (plus d'informations)
 
Signalé
BibliOdyssee | Dec 29, 2013 |

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