Ahmet Altan
Auteur de Je ne reverrai plus le monde ; textes de prison
A propos de l'auteur
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Œuvres de Ahmet Altan
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Partage des connaissances
- Nom canonique
- Altan, Ahmet
- Nom légal
- Altan, Ahmet Hüsrev
- Date de naissance
- 1950-03-02
- Sexe
- male
- Nationalité
- Turkey
- Lieu de naissance
- Ankara, Turkey
- Lieux de résidence
- Ankara, Turkey
Istanbul, Turkey - Études
- Robert College, Istanbul, Turkey
Ankara College
Middle East Technical University
Istanbul University - Professions
- journalist
novelist - Relations
- Altan, Çetin (father)
Altan, Mehmet (brother) - Prix et distinctions
- International Hrant Dink Award (2011)
Turkish Publishers Association, Freedom of Thought and Expression Prize (2013)
Istanbul Human Rights Association Ayşe Nur Zarakolu Freedom of Thought and Expression Prize (2017)
Geschwister Scholl Preis (2019)
Membres
Critiques
Listes
Prix et récompenses
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Statistiques
- Œuvres
- 35
- Aussi par
- 1
- Membres
- 488
- Popularité
- #50,613
- Évaluation
- 4.0
- Critiques
- 13
- ISBN
- 101
- Langues
- 10
Ce sont aussi tous les tics d’écriture qui sont un peu agaçants. Presque tous les chapitres finissent de la même façon : il ne savait pas que ce petit détail allait changer toute sa vie ; il ne savait pas encore qu’en entamant ce voyage il allait au-devant d’un événement qui réorienterait toute sa vie, etc. etc. La posture d’écrivain omniscient qui joue avec ses personnages un peu comme avec des marionnettes est intéressante et elle me fait penser au premier texte d’Ahmet Altan que j’ai lu, [Je ne reverrai jamais le monde] (un titre un peu grandiloquent, à l’image de son écriture dans ce roman), dans lequel il clame qu’il est écrivain et que, de ce fait, ses geôliers n’auront jamais d’emprise sur lui car il pourra toujours s’échapper dans d’autres vies, d’autres lieux, par la seul force de son imagination. J’avais aimé cela, cette pensée un peu naïve, mais dont il tire manifestement une force éclatante et qui lui avait gagné mon immense respect. Je suis triste, à la lecture de ce roman, de voir que cela se traduit, dans son œuvre de fiction, par une prose qui ne fonctionne pas du tout pour moi.
Et c’est bien dommage car il paraît que ce livre fait de nombreux parallèles entre l’histoire turque du début du XXème siècle et celle de ces dernières années. J’avais donc beaucoup à découvrir, sur hier et sur aujourd’hui, j’avais aussi envie de m’émerveiller aux descriptions d’Istanbul remplie de l’amour qu’Ahmet Altan porte à sa ville. J’avais envie de beaucoup et je repars triste et déçue. Cet auteur, lorsqu’il écrit des romans n’est pas pour moi, mais je ne peux finir qu’en redisant à quel point j’ai aimé son essai [Je ne reverrai plus le monde] et à quel point j’aimerais qu’il soit lu par toujours plus de lecteurs.… (plus d'informations)