Megan Abbott
Auteur de You Will Know Me
A propos de l'auteur
Megan Abbott is an award wining author. She was born in the Detroit area and graduated from the University of Michigan with a B.A. in English Literature. Abbott went on to receive a Ph.D. in English and American Literature from New York University. Abbott's stories have appeared in Damn Near Dead: afficher plus An Anthology of Geezer Noir (2006), Wall Street Noir (2007), Detroit Noir (2007), Storyglossia and Queens Noir (2007). Her nonfiction book, The Street Was Mine: White Masculinity in Hardboiled Fiction and Film Noir, was published in 2003. She is also the editor of the Edgar-nominated A Hell of a Woman: An Anthology of Female Noir. Megan is also the Edgar-winning author of the novels Die a Little, The Song Is You, Queenpin and Bury Me Deep. She won the Barry Award (Deadly Pleasures and Mystery News award) and has been nominated three times for the Anthony Award (Bouchercon World Mystery Convention award). Her novel, The End of Everything, cames out in 2011. She also won an International Thriller Award 2015 for her title The Fever. (Bowker Author Biography) afficher moins
Crédit image: Photograph by Joshua A. Gaylord
Séries
Œuvres de Megan Abbott
A Hell of a Woman: An Anthology of Female Noir (2007) — Directeur de publication — 80 exemplaires, 4 critiques
Cheer 3 exemplaires
The Girl 2 exemplaires
My Heart Is Either Broken 2 exemplaires
Snowberries 2 exemplaires
Our Eyes Couldn't Stop Opening 1 exemplaire
Leave Her to Heaven (Criterion Collection 1020) 1 exemplaire
Oeuvres associées
In Sunlight or In Shadow: Stories Inspired by the Paintings of Edward Hopper (2016) — Contributeur — 254 exemplaires, 14 critiques
Books to Die For: The World's Greatest Mystery Writers on the World's Greatest Mystery Novels (2012) 252 exemplaires, 10 critiques
Between the Dark and the Daylight and 27 More of the Best Crime and Mystery Stories of the Year (2009) — Contributeur — 42 exemplaires, 1 critique
Read Harder: Five More Years of Great Writing from the Believer (2014) — Contributeur — 37 exemplaires
A Darker Shade: New Stories of Body Horror from Women Writers (2023) — Contributeur — 33 exemplaires, 17 critiques
Étiqueté
Partage des connaissances
- Nom canonique
- Abbott, Megan
- Nom légal
- Abbott, Megan E.
- Date de naissance
- 1971-08-21
- Sexe
- female
- Nationalité
- USA
- Pays (pour la carte)
- Detroit, Michigan, USA
- Lieux de résidence
- New York, New York, USA
- Études
- New York University (PhD, English and American Literature)
University of Michigan (BA|English Literature) - Relations
- Gaylord, Joshua (husband)
- Agent
- Paul Cirone (Aaron M. Priest Literary Agency)
Membres
Discussions
You Will Know Me à Crime, Thriller & Mystery (Juillet 2017)
Critiques
Listes
Prix et récompenses
Vous aimerez peut-être aussi
Auteurs associés
Statistiques
- Œuvres
- 29
- Aussi par
- 17
- Membres
- 7,027
- Popularité
- #3,486
- Évaluation
- 3.5
- Critiques
- 512
- ISBN
- 224
- Langues
- 10
- Favoris
- 19
J’avais envie de lire un « page turner », quelque chose de simple et d’accessible, après des lectures plus corsées et difficiles à terminer, et c’est pourquoi j’ai choisi ce titre. Par contre, j’avoue que je ne sais plus trop comment j’ai entendu parler de ce livre… Si je me souviens bien, je l’ai croisé sur un site web qui recensait des bons thrillers, et celui-ci m’a frappé parce qu’il se déroule dans le monde de la gymnastique.
Un aspect qui m’a plu :
Ce qui m’a d’abord frappé, c’est l’univers du roman, plutôt atypique pour un thriller : le monde de la gymnastique adolescente. Il fallait le faire ! J’ai aimé explorer ce monde qui m’est à la fois vaguement familier (je regarde les Olympiques comme tout le monde) et fondamentalement étranger. J’appréciais les descriptions des programmes d’exercices, de la psychologie des personnages sportifs et perfectionnistes, etc. J’ai donc aimé me plonger dans un univers inconnu et, surtout, voir comment l’auteure allait se débrouiller pour construire une intrigue de thriller dans celui-ci.
Un aspect qui m’a moins plu :
La pauvreté du style. C’était peut-être à prévoir, puisqu’il s’agit avant tout d’un roman de divertissement qui se veut accessible à tous, mais le style m’a semblé parfois banal et inerte. Je trouvais qu’il manquait de ces petites épiphanies – une phrase inattendue qui éclaire un personnage autrement, un paragraphe qui ouvre sur une réflexion inédite – qui rendent la langue d’un livre vraiment séduisante. J’aurais préféré un peu plus d’attention portée au style, et je ne crois pas que le rythme du récit en aurait été affecté.
L’objet livre :
Il s’agit d’un livre imprimé somme toute traditionnel. Il est divisé en cinq parties, qui chacune contient plusieurs chapitres assez courts, et parties et chapitres suivent la progression chronologique de l’intrigue. Le papier est plutôt épais et de bonne qualité pour un livre à grand tirage, et l’encre est dense et bien imprimée, sans pâleurs occasionnelles comme dans certains livres grand public (et surtout, elle sent bon !). La typographie du livre d’Abbott est spécialement agréable à lire : élégante sans être encombrée de fioritures, avec un léger empattement qui n’accroche pas l’œil, et son italique n’est pas trop exagéré. Le livre ne contient pas d’illustrations.
Sur le plan des éléments paratextuels, la page de couverture est frappante : c’est un gros plan sur le profil plongé dans l’ombre d’une jeune fille (sûrement la gymnaste au cœur du récit). Elle annonce bien l’ambiance menaçante et mystérieuse du récit. Sinon, la page de titre, le résumé et la biographie de l’auteure m’ont semblé assez canoniques et ne m’ont pas marqué outre mesure.
Je crois que plusieurs des éléments que j’ai mentionnés contribuent à installer un puissant rapport sensoriel entre l’objet livre et moi, en particulier le papier, l’encre et la typographie. En fait, ces derniers sont carrément essentiels pour me procurer une expérience de lecture vraiment satisfaisante. Me plonger dans un livre, ce n’est pas uniquement me plonger dans l’acte intellectuel de la lecture : c’est aussi quelque chose de corporel. Cet acte va de la posture adoptée dans un fauteuil préféré à tous ces éléments paratextuels. Pour moi, entrer en contact avec l’univers singulier d’un auteur implique nécessairement toute ma personne et, pour ce faire, j’ai besoin d’impliquer aussi mon corps, qui trouve toujours plaisir au papier agréable à toucher, à l’odeur spéciale de l’encre, à une typographie harmonieuse, etc.… (plus d'informations)