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Héctor Abad Faciolince

Auteur de L'oubli que nous serons

30+ oeuvres 907 utilisateurs 67 critiques 1 Favoris

A propos de l'auteur

Œuvres de Héctor Abad Faciolince

L'oubli que nous serons (2006) 423 exemplaires
The Farm (2014) 127 exemplaires
Recipes for Sad Women (1996) 102 exemplaires
Angosta (2004) 49 exemplaires
Traiciones de la memoria (2009) 28 exemplaires
Basura (2000) 24 exemplaires
Fragmentos de amor furtivo (1998) 23 exemplaires
Salvo mi corazón, todo está bien (2023) 22 exemplaires
El amanecer de un marido (2008) 21 exemplaires
The Joy of Being Awake (1994) 21 exemplaires
Manual de tolerancia (1988) — Auteur — 11 exemplaires
Oriente Empieza En El Cairo (2002) 7 exemplaires

Oeuvres associées

Granta 124: Travel (2013) — Contributeur — 92 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom canonique
Abad Faciolince, Héctor
Autres noms
Abad, Héctor
Date de naissance
1958
Sexe
male
Nationalité
Colombia
Lieux de résidence
Medellín, Colombia (birth)
Mexico City, Mexico
Turin, Italy

Membres

Critiques

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Abad-Faciolince-Angosta/404391

> Le livre est riche mais je lui reproche de nombreux passages lents et ennuyeux. Je pense que l'auteur aurait pu faire plus court. Il y a trop de mots, trop de répétitions. Cela pourrait être plus dense et plus concis.
D'autres passages sont intérressants, on y trouve de la profondeur, une vraie réflexion et des émotions. Et beaucoup de justesse dans les sentiments.
Danieljean (Babelio)
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | 5 autres critiques | Feb 19, 2021 |
Par certaines de ces lettres que je conserve encore, et par le souvenir des centaines et des centaines de conversations que j’eux avec lui, j’ai pu me rendre compte qu’on ne naît pas bon, loin de là, mais que si quelqu’un tolère et dirige notre mesquinerie innée, il est possible de mener sa barque dans des voies non néfastes, voire de lui faire changer de sens. On ne vous apprend pas à vous venger (car nous naissons avec des sentiments vindicatifs), mais on vous apprend à ne pas vous venger. On ne vous apprend pas à être bon, mais on vous apprend à ne pas être méchant. (p. 147, Chapitre 17, Partie 4, “Voyages en Orient”).

Il est toujours difficile de donner son avis pour le récit d’une tragédie personnelle. Pourtant, je dois avouer que j’ai été déçue par cette lecture. Probablement en partie du fait de ce que j’avais imaginé, à tort, sur ce livre. Je pensais en effet qu’il s’agissait d’un témoignage sur l’assassinat d’un anonyme, victime de la Colombie sanglante des années 80. En réalité, Hector Abad évolue dans les cercles privilégiés de la société colombienne, héritier d’une tradition familiale de nantis, et son père est une personnalité en vue de Medellín, d’abord par ses combats pour la mise en place d’une politique de santé publique dans sa ville et dans le pays, puis comme défenseur des droits de l’homme alors que ceux-ci étaient bafoués quotidiennement dans le pays. Dans ce cadre, moi qui pensais découvrir la vie d’un homme simple, peut-être d’un héros anonyme, je découvre l’hommage d’un fils à un père à l’action éminemment politique, et ma position en tant que lectrice me parait alors bien plus inconfortable.
Le fils justifie les actions du père, même celles qui peuvent paraître les plus étranges, mais je n’ai pas les éléments pour comprendre et me positionner par rapport à la vie publique de cet homme. De ce point de vue, le témoignage perd de sa force. Certes, la captation du pouvoir par la violence et l’assassinat est condamnable, que la personne soit anonyme ou candidat à la mairie de Medellin ; certes, même au plus profond des territoires des cartels de la drogue, aucune zone ne devrait être marquée par l’impunité. Mais je n’avais pas besoin de ce livre pour le savoir, et je dois bien avouer que je n’ai pas pu toucher du doigt la particularité de cette situation.
A côté de ce plaidoyer qui ne m’a pas convaincue, je n’ai pas été sensible à la relation entre le père et son fils. Le fils écrivain se décrit lâche, faible de caractère, et j’espère pour lui qu’il force le trait, alors que son père apparait comme le père idéal, mais vue la personnalité de son fils, son éducation ne semble pas avoir réussi.

En définitive, entre un propos politique qui ne m’apprend rien et sur lequel je ne peux porter de regard critique et une relation père-fils qui me semble caricaturale, le tout servi par un style que j’ai trouvé plat pour ne pas dire inexistant, je suis passée complètement à côté de ce livre, dont j’espérais pourtant beaucoup.
Un coup d’épée dans l’eau, donc, et je retournerai à d’autres écrits pour mieux comprendre la situation inextricable dans laquelle s’est trouvée la Colombie il y a quelques décennies, et dont les échos douloureux se font toujours sentir aujourd’hui.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | 34 autres critiques | Apr 23, 2013 |
Très beau livre.
A la fois une belle histoire sur la figure du père et témoignage poignant sur les années les plus sombres de la Colombie.
Et un titre magnifique qui annonce le très beau style du texte.
½
 
Signalé
sinaloa237 | 34 autres critiques | Jan 16, 2011 |

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