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La caravane (1997)

par Galsan Tschinag

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J’ai lu quelques livres de Galsan Tschinag, nouvelles ou récits de son enfance touva dans les grandes steppes mongoles, et, fiction ou réalité, j’ai toujours aimé son ton sobre, cette sorte de nostalgie résignée qui rend poignante la simplicité de ses récits.
J’ai donc ouvert La Caravane sans trop réfléchir, pensant y retrouver l’auteur que j’aime. Mais ce récit est bien différent. C’est l’accomplissement d’une promesse que s’était faite Galsan Tschinag, celle de ramener son peuple exilé par les vicissitudes du communiste Mongol sur ses terres, pour y vivre à nouveau selon ses traditions nomades. Galsan Tschinag se mut alors en organisateur d’expédition, en acheteur de dromadaires et en berger pour son peuple.
En berger surtout, et c’est ce qui m’a dérangé dans ce livre où l’auteur, parlant de lui à la troisième personne, se donne le rôle de patriarche débonnaire ou sévère, redresseur de tort et ayant toujours raison. Un rôle qui ne sied pas à l’image que je me fais du personnage et qui me le rend bien antipathique. J’espère qu’il n’a pas pris la grosse tête comme l’on dit, mais je crois que je vais rester pour un temps sur les œuvres qu’il a écrit plus tôt dans sa carrière, et je préfère conseiller Le monde gris ou Belek, une chasse dans le Haut Altaï à ceux qui ne connaissent pas cet écrivain.
Je tiens seulement à préciser, avec de mettre un point final à cette note de lecture, que, bien que je n’ai pas aimé l’angle ni le style du récit, j’ai beaucoup appris sur les Touvas. Je n’aurais jamais imaginé qu’il existe, aux confins glacés de la Mongolie, un peuple turcophone, minorité exotique dans ce peuple déjà si étrange à nos yeux que sont les nomades des déserts froids. Le livre semble accompagner un reportage sur la caravane qu’a monté Galsan Tschinag pour retourner sur le territoire traditionnel des Touvas. Si je parlais allemand (pays d’adoption de l’auteur, où il connaît un bien plus grand succès qu’en France), je crois que je tenterais de regarder ce film et que je le conseillerais plutôt que ce livre.
  raton-liseur | Apr 30, 2012 |
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