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Chargement... Brooklynpar Colm TÓIBÍN
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Ultimately, Brooklyn does not feel limited. Tóibín makes a single incision, but it’s extraordinarily well-placed and strikes against countless nerve-ends. The novel is a compassionate reminder that a city must be made of people before it can be made of myths. In tracking the experience, at the remove of half a century, of a girl as unsophisticated and simple as Eilis — a girl who permits herself no extremes of temperament, who accords herself no right to self-assertion — Toibin exercises sustained subtlety and touching respect. . . In “Brooklyn,” Colm Toibin quietly, modestly shows how place can assert itself, enfolding the visitor, staking its claim. Appartient à la sérieEilis Lacey (1) Appartient à la série éditorialeKeltainen kirjasto (419) Keltainen pokkari (62) Est contenu dansFait l'objet d'une adaptation dansPrix et récompensesDistinctionsListes notables
In Ireland in the early 1950s, Eilis Lacey is one of many who cannot find work at home. Thus when a job is offered in America, it is clear to everyone that she must go. Leaving behind her family and country, Eilis heads for unfamiliar Brooklyn, and to a crowded boarding house where the landlady's intense scrutiny and the small jealousies of her fellow residents only deepen her isolation. Slowly, the pain of parting is buried beneath the rhythms of her new life -- and finally, she begins to realize that she has found a sort of happiness. As she falls in love, news comes from home that forces her back to Enniscorthy -- not to the constrictions of her old life, but to new possibilities which conflict deeply with the life she has left behind in Brooklyn. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.914Literature English & Old English literatures English fiction Modern Period 1901-1999 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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J’ai décidé de lire Brooklyn après avoir vu le film. Comme j’ai beaucoup aimé l’histoire, j’ai voulu le livre à partir duquel le scénario était adapté afin de voir si l’interprétation cinématographique était fidèle à l’œuvre originale. Il s’agit donc d’une lecture de loisir, choisie sous le coup de l’impulsion. Avant de voir le film, j’ignorais même que cette histoire était tirée d’un roman, c’est la curiosité qui m’a poussée à vouloir en savoir plus sur ce livre.
Un aspect qui m’a plu :
Ce qui m’a le plus plu de ce roman est la thématique exploitée. J’ai trouvé très intéressante cette histoire d’immigration et de déracinement vécue par une jeune irlandaise dans le New York des années 1950. Il s’agit d’une histoire toute en sensibilité et finesse où les événements du quotidien d’Eilis se retrouvent empreints de nostalgie et d’un mal du pays lancinant qui l’empêche d’apprécier sa nouvelle vie. L’immigration y perd son sens théorique pour devenir une expérience personnelle, intime et intimiste.
Un aspect qui m’a moins plu :
Le récit est teinté de passivité et de distance, et c’est ce qui m’a le plus déplu de ce roman. La narration est à la troisième personne, donc externe, mais limitée à la perception d’Eilis. Ainsi, le lecteur ne peut accéder ni aux pensées des autres personnages ni aux pensées d’Eilis, seulement à ce qu’elle voit et entend. Cette narration crée une importante distance entre le personnage et les événements qui surviennent dans le récit, et donne l’impression qu’Eilis est complètement déconnectée de son existence. Cette passivité devient de plus en plus irritante à mesure que le récit progresse.
L’objet numérique :
J’ai lu ce livre sous sa forme numérique sur ma tablette ipad 2 à partir de l’application imposée par la plateforme de prêt, Bluefire Reader.
Cette application n’est pas facile d’utilisation. Pour pouvoir personnaliser les options d’affichage du texte comme la taille de la police, la taille des marges et la luminosité de l’écran, il faut appuyer au milieu de la page pour faire apparaitre le menu. Si on appuie trop à gauche, on reculera d’une page tandis que trop à droite, on avancera. C’est frustrant lorsqu’on souhaite quitter un livre, visualiser les signets ou changer les options d’affichage et qu’on n’appuie pas exactement au bon endroit puisqu’on se retrouve à changer de page plusieurs fois et ainsi perdre le fil de la lecture. Les réglages sont accessibles à partir d’une icône non identifiée, je n’avais aucune idée que cette fonction existait jusqu’à récemment bien que j’utilise cette application depuis quelques années. Le changement de page peut se faire, comme mentionné, en appuyant d’un côté ou de l’autre du texte, mais aussi en glissant latéralement pour tourner la page. La lecture en mode défilement n’est pas disponible. Il est facile de surligner ou d’apposer un signet à un passage. Certaines fonctions hypertextuelles sont disponibles, comme les notes et les renvois internes, qui sont intégrés au texte et faciles à naviguer. Cependant, les renvois externes sont inexistants à partir cette application, seulement le texte est disponible. On ne peut donc pas avoir accès à des ressources externes à partir du texte.