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Les chroniques de Spiderwick ont commencé avec Le Livre magique, puis se sont poursuivies avec La Lunette de Pierre dans laquelle nous avons vu les premières confrontations entre les êtres imaginaires et les humains.
Dans ce troisième tome, il est question de ce fameux livre de l'oncle Arthur, et qui suscite beaucoup d'interrogations et de convoitises. Passionnant pour les enfants Grace ou dangereux pour les créatures car portant sur la réalité de leur monde, ce troisième volume laisse supposer l'existence d'un complot interne au monde magique. On y découvre cette fois-ci le peuple des Elfes, guère plus accommodant que les autres créatures de ce monde parallèle.
Ce livre est toujours bien écrit et illustré. L'avantage est qu'on y parle d'un livre et de ses connaissances et non d'un ordinateur. C'est un retour aux fondamentaux de la culture et du savoir. Dans les chroniques de Spiderwick, il y a le côté "tolkiennien" du refus de cette modernité qui gomme le substrat vital de l'imagination. La technicité n'existe quasiment pas dans cette histoire, hormis via le baladeur de Mallory, très discret. C'est ce qui fait l'attrait de cette histoire qui permet de se placer dans un temps autre. En un sens, Spiderwick retrace bien cette critique de la modernité qui est faite dans des essais plus sérieux. ( )
Dans ce troisième tome, il est question de ce fameux livre de l'oncle Arthur, et qui suscite beaucoup d'interrogations et de convoitises. Passionnant pour les enfants Grace ou dangereux pour les créatures car portant sur la réalité de leur monde, ce troisième volume laisse supposer l'existence d'un complot interne au monde magique. On y découvre cette fois-ci le peuple des Elfes, guère plus accommodant que les autres créatures de ce monde parallèle.
Ce livre est toujours bien écrit et illustré. L'avantage est qu'on y parle d'un livre et de ses connaissances et non d'un ordinateur. C'est un retour aux fondamentaux de la culture et du savoir. Dans les chroniques de Spiderwick, il y a le côté "tolkiennien" du refus de cette modernité qui gomme le substrat vital de l'imagination. La technicité n'existe quasiment pas dans cette histoire, hormis via le baladeur de Mallory, très discret. C'est ce qui fait l'attrait de cette histoire qui permet de se placer dans un temps autre. En un sens, Spiderwick retrace bien cette critique de la modernité qui est faite dans des essais plus sérieux. ( )