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Tout art et toute investigation, et pareillement toute action et tout choix tendent vers quelque bien, a ce qu'il semble. Aussi a-t-on declare avec raison que le Bien est ce a quoi toutes choses tendent. Mais on observe, en fait, une certaine difference entre les fins: les unes consistent dans des activites, et les autres dans certaines oeuvres, distinctes des activites elles-memes. Et la ou existent certaines fins distinctes des actions, dans ces cas-la, les oeuvres sont par nature superieures aux activites qui les produisent. ...]. Si donc il y a, de nos activites, quelque fin que nous souhaitons par elle-meme, ...] il est clair que cette fin-la ne saurait etre que le bien, le Souverain Bien. .… (plus d'informations)
mcaution: A new morality grounded completely in reason, based upon the facts of reality. Presents "selfishness" in proper context and does away with its common false dichotomy.
> Celui qui attend du philosophe des recettes pour être heureux fait fausse route. Comme le rappelle Aristote, on ne saurait démontrer ce qu'il faut faire pour bien vivre. Au mieux, on peut prendre pour prémisses les opinions couramment admises sur la question et tenter de les juger correctement, en distinguant les points de vue avisés, fondés sur l'expérience, des théories péremptoires. À la lecture de ce texte, on saisit vite ce qui sépare le gourou du philosophe. L'un prétend définir le Bien de manière univoque, l'autre reconnaît qu'il revient à chacun de découvrir selon les circonstances les moyens d'agir comme il convient. La prudence est d'ailleurs la vertu cardinale de ceux qui savent saisir l'occasion d'être heureux. Aristote n'aurait donc aucun programme ? Pas vraiment. Il sait bien que les lois peuvent favoriser l'harmonie sociale et permettre aux hommes de vivre en bonne amitié. Même s'il ne se décrète pas, le bonheur reste une affaire politique, d'autant plus qu'on n'est jamais heureux dans la solitude. Et si le bonheur des uns pouvait faire celui des autres ? —Paul Klein (Amazon.fr)
Aristote expose, explique, justifie. Il est le premier à organiser la philosophie comme une discipline embrassant la totalité du savoir selon un ordre logique, le premier à concevoir et à construire un système global du savoir. Lorsque nous parlons de ''puissance'' et d'''acte'', de ''matière'' et de ''forme'', nous faisons de l'Aristote comme Monsieur Jourdain faisait de la prose, sans le savoir... ( )
The volume before us is much more than a translation. The translators, Robert C. Bartlett, who teaches Hellenic politics at Boston College, and Susan D. Collins, a political scientist at the University of Houston, have provided helpful aids. ... Together these bring the original text within the compass of every intelligent reader.
Tout art et toute investigation, et pareillement toute action et tout choix tendent vers quelque bien, a ce qu'il semble. Aussi a-t-on declare avec raison que le Bien est ce a quoi toutes choses tendent. Mais on observe, en fait, une certaine difference entre les fins: les unes consistent dans des activites, et les autres dans certaines oeuvres, distinctes des activites elles-memes. Et la ou existent certaines fins distinctes des actions, dans ces cas-la, les oeuvres sont par nature superieures aux activites qui les produisent. ...]. Si donc il y a, de nos activites, quelque fin que nous souhaitons par elle-meme, ...] il est clair que cette fin-la ne saurait etre que le bien, le Souverain Bien. .
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> Elle (Trollion C., Moussou K.) : https://www.elle.fr/Loisirs/Livres/Dossiers/Livres-qui-rendent-heureux/Ethique-a...
> Celui qui attend du philosophe des recettes pour être heureux fait fausse route. Comme le rappelle Aristote, on ne saurait démontrer ce qu'il faut faire pour bien vivre. Au mieux, on peut prendre pour prémisses les opinions couramment admises sur la question et tenter de les juger correctement, en distinguant les points de vue avisés, fondés sur l'expérience, des théories péremptoires.
À la lecture de ce texte, on saisit vite ce qui sépare le gourou du philosophe. L'un prétend définir le Bien de manière univoque, l'autre reconnaît qu'il revient à chacun de découvrir selon les circonstances les moyens d'agir comme il convient. La prudence est d'ailleurs la vertu cardinale de ceux qui savent saisir l'occasion d'être heureux.
Aristote n'aurait donc aucun programme ? Pas vraiment. Il sait bien que les lois peuvent favoriser l'harmonie sociale et permettre aux hommes de vivre en bonne amitié. Même s'il ne se décrète pas, le bonheur reste une affaire politique, d'autant plus qu'on n'est jamais heureux dans la solitude. Et si le bonheur des uns pouvait faire celui des autres ?
—Paul Klein (Amazon.fr)