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Ce manuel invite à reconnaître l'impossibilité pour l'homme de contrôler ce qui ne dépend pas de lui : l'avis des autres, la richesse, la chance, les malheurs, la mort. L'idée à la racine de l'ouvrage est la nécessité de n'attacher d'importance qu'à ce qui dépend de nous : opinions, désirs, pensées, et autres « opérations de l'âme ». Le philosophe doit se concentrer sur ce qui est sous son contrôle, c'est-à-dire son âme, seule partie libre de son être. Vouloir changer ce qui ne dépend pas de lui rend l'homme malheureux, tandis qu'accepter son impuissance sur ces choses et ne s'occuper que de la partie de lui-même qu'il peut contrôler l'amène à un bonheur immuable et infini : cette distinction entre ce qui peut être contrôlé et ce qui échappe à la volonté humaine est la base fondamentale de la doctrine. Les trois principes pour l'ataraxie y sont développés, de manière à apprendre à distinguer ce qui dépend de soi et ce qui ne dépend pas de soi : concevoir et comprendre la fatalité, être indifférent aux événements extérieurs qui ne dépendent pas de soi, agir au mieux dans les domaines qui dépendent de soi.… (plus d'informations)
prosfilaes: It's mostly the same philosophy, except Irvine had read Voltaire's Candide. But it's expanded, with a lot more discussion about how it applies practically and to modern life.
> Epictète, comme Socrate, n'a pas écrit son œuvre ; c'est son disciple Arrien qui nous l'a léguée. Né en 50 après Jésus-Christ, en Phrygie, contrée d'Asie Mineure, Epictète fut amené à Rome comme esclave, mais sa condition ne l'empêcha pas de suivre l'enseignement du stoïcien romain Musonius Rufus. Après avoir été affranchi, il ouvrit une première école de philosophie à Rome, tout en menant une vie de pauvreté. Banni en 94, avec tous les philosophes, par l'empereur Domitien, il se réfugia sur la côte grecque à Nicopolis et continua ses leçons dans une nouvelle école. Le Manuel, c'est-à-dire l'enkheiridion, le poignard que l'on a sous la main pour affronter toute éventualité, est voué à l'efficacité éthique. Il est bref et incisif par nécessité. Il ne s'adresse pas au sage, qui n'en a pas besoin, mais à ceux qui, parmi les non-sages, sont en progrès et s'exercent à la sagesse. Le Manuel donne non seulement les signes du progrès, mais les ultimes conseils, et les marques qui pourront montrer que le pas décisif vers la philosophie aura été franchi. Ces signes, ces conseils et ces marques, le destinataire du Manuel doit les emporter avec lui, pour une oeuvre qui, s'appuyant sur les livres, est hors des livres, et ne peut être aidée par personne, sinon par le dieu qui est en lui. —Pauline Hamon (Culturebox)
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Some things are up to us and some are not up to us.
Citations
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Non sono le cose a turbare gli uomini, ma i giudizi sulle cose... Quando dunque siamo ostacolati, o turbati, o soffriamo, non accusiamo mai nessun altro se non noi stessi, ovvero i nostri giudizi.
Non adoperarti perché gli avvenimenti vadano come vuoi, ma desidera piuttosto che essi si svolgano come viene, e vivrai sereno.
Derniers mots
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Anytus and Meletus can kill me, but they can't harm me.
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
Aucun
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Ce manuel invite à reconnaître l'impossibilité pour l'homme de contrôler ce qui ne dépend pas de lui : l'avis des autres, la richesse, la chance, les malheurs, la mort. L'idée à la racine de l'ouvrage est la nécessité de n'attacher d'importance qu'à ce qui dépend de nous : opinions, désirs, pensées, et autres « opérations de l'âme ». Le philosophe doit se concentrer sur ce qui est sous son contrôle, c'est-à-dire son âme, seule partie libre de son être. Vouloir changer ce qui ne dépend pas de lui rend l'homme malheureux, tandis qu'accepter son impuissance sur ces choses et ne s'occuper que de la partie de lui-même qu'il peut contrôler l'amène à un bonheur immuable et infini : cette distinction entre ce qui peut être contrôlé et ce qui échappe à la volonté humaine est la base fondamentale de la doctrine. Les trois principes pour l'ataraxie y sont développés, de manière à apprendre à distinguer ce qui dépend de soi et ce qui ne dépend pas de soi : concevoir et comprendre la fatalité, être indifférent aux événements extérieurs qui ne dépendent pas de soi, agir au mieux dans les domaines qui dépendent de soi.
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—Pauline Hamon (Culturebox)