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Ce volume est le résultat de deux rencontres de recherche organisées en 2004 et 2006 par des chercheurs en études américaines des universités de Berkeley (États-Unis), Bologne (Italie), Brown (États-Unis), Sorbonne nouvelle-Paris 3 (France), et Yale (États-Unis). [...]
In memoriam Franco La Polla Jean–Loup Bourget
isparu en 2009, Franco La Polla était le fondateur et l’animateur du réseau américaniste qui regroupe, autour de l’Université de Bologne, celles de Yale, de Brown et de Berkeley ainsi que la Sorbonne nouvelle– Paris 3. [...]
Préface : Refaire l’histoire ? Un nouveau chapitre des études américaines
Lorsqu’au soir du 4 novembre 2008, Barack Obama prononce son discours de victoire à Chicago, c’est de façon prévisible qu’il donne à sa victoire une dimension collective particulière: “It’s the answer that led those who’ve been told for so long by so many to be cynical and fearful and doubtful about what we can achieve to put their hands on the arc of history and bend it once more toward the hope of a better day. [...]
Première partie. Exception américaine et imaginaire historique
Renaissances américaines : de la jérémiade au western Richard Hutson
Dans De la démocratie en Amérique, Alexis de Tocqueville souligne que la culture des États-Unis est essentiellement révolutionnaire. Comme il l’écrit dans le second volume : « … au milieu du mouvement continuel qui règne au sein d’une société démocratique, le lien qui unit les générations entre elles se relâche ou se brise ; chacun y perd aisément la trace des idées de ses aïeux, ou ne s’en inquiète guère » (Tocqueville, 1840 : 12). Cette observation n’explique cependant pas ce qui fait la singularité de ce « mouvement continuel ». [...]
Citations
Derniers mots
(La fragmentation des mythes nationaux dans l’écriture de David Markson et W.G. Sebald) (Françoise Palleau-Papin)
[...]. Melville et son Bartleby sont donnés comme antidote au totalitarisme d’une nation. Lire et réfléchir pour développer son esprit critique permettent d’éviter l’unanimité potentiellement criminelle d’un mythe national, que ce soit en France sous le règne de Louis XVI ou en Amérique, sous l’égide de Thoreau et de Whitman. Pour regarder en face les ombres de toute Histoire, sans les nier ni les glorifier, pour résister à la tentation de l’unité totalitaire qui menace toute révolution politique, Markson et Sebald ouvrent leurs romans à la possibilité d’une combinatoire des fragments narratifs, des médias et des bribes d’histoires, dans des romans d’un genre nouveau ouverts à l’infini, qui redessinent sans cesse les contours que les nations donnent à leur passé.