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Chargement... Archipel van de hond (original 2018; édition 2021)par Philippe Claudel (Auteur)
Information sur l'oeuvreL'Archipel du Chien par Philippe Claudel (2018)
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. livre âpre et cruel, noirceur des âmes et de certains hommes, qui préfèrent le profit à l'humanité. Histoire lugubre d'un lieu où les gens vivent en se surveillant constamment, en s'ennuyant ferme, et condamnent à mort sans réfléchir. Les personnages ressemblent à bien d'autres personnages de la "vraie vie", leur noirceur n'a rien d'exceptionnel et celle -ci fait frémir car on imagine que l'on pourrait leur ressembler... aucune critique | ajouter une critique
גופותיהם של שלושה גברים שחורים, שנסחפו לחופיו של אי קטן ושלו אי-שם בים התיכון, מאיימות להרוס עסקה כלכלית שאמורה להביא רווחה לתושביו. האם יצליח ראש האי למנוע את חשיפת העניין? ומיהו אותו מפקח מסתורי שמגיע ושואל שאלות שעלולות לערער את תוכניות התושבים?. -- Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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Au travers de ce village et de ses habitants face à la découverte de trois cadavres de jeunes émigrés noirs , c’est toute notre lâcheté, notre refus de voir, notre volonté de ne pas savoir, notre capacité si facile à faire le mal afin de sauver notre tranquillité et nos petites vies, que dénonce Philippe Claudel.
« Le métier de ces hommes (les politiques) est de parler tout le temps, de parler et de ne jamais écouter qui leur parle, de ne jamais d’arrêter de parler, de vivre dans la parole, même la plus creuse et qui devient un bruit inepte et enjôleur, le chant moderne des Sirènes » p57
« C’était toujours pareil avec les hommes qui ont étudié. (…) si le monde tournait si mal c’est la faute aux hommes (..) empêtrés d’idéaux et de bonté, qui cherchent jusqu’à l’obsession l’explication du pourquoi du comment, qui se persuadent de connaître le juste et l’injuste, le bien et le mal, et croient que les frontières entre les deux versants ressemblent au tranchant d’un couteau, alors que l’expérience et le bon sens enseignent que ces frontières n’existent pas, qu’elles ne sont qu’une convention, une invention des hommes, une façon de simplifier ce qui est complexe et de trouver le sommeil » p68
« Vous ne m’avez guère aidé hier soir - le Docteur avait haussé les épaules - vous êtes pourtant intelligent. Je comptais sur vous. Et je suis certain que vous êtes un homme non. Je suis surtout un homme lâche, lui avait-il répondu. Un homme lâche ? Avait repris, songeur, l’Instituteur. C’est presque un pléonasme non ? Avait conclut le Docteur » p221 ( )