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Chargement... Pot Luck (Oxford World's Classics) (original 1882; édition 2009)par Émile Zola (Auteur), Brian Nelson (Traducteur)
Information sur l'oeuvrePot-Bouille par Émile Zola (1882)
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Un impression de brouillon, de vouloir trop en faire, trop en dire... ( ) Sûrement pas le meilleur de la série Rougon-Macquart. Même si l'écriture reste exceptionnelle, l'histoire en elle-même est pour le moins assez peu crédible. En fait de roman naturaliste, on sent surtout que Zola a voulu "se payer" la bourgeoisie, quitte à sombrer dans la parodie et l'outrance. C'est peut-être divertissant, mais sans doute assez éloigné des aspirations supposées de Zola pour le naturalisme. Un sentiment assez mitigé au final. aucune critique | ajouter une critique
Appartient à la sérieLes Rougon-Macquart (10)
Extrait: ...air dhorreur. Il laissa echapper ce cri desespere: -Il ny a plus dhonnetete sur terre Et, dans une brusque expansion, il dit ce quil avait fait pour elle. Il parla de son ame, laccusa debranler sa foi aux meilleurs sentiments de lexistence, cachant naivement sous cette douleur sentimentale le desarroi de ses gros appetits. Clarisse lui etait devenue necessaire. Mais il la retrouverait, dans le seul but de la faire rougir de son procede, disait-il, et pour voir si son coeur avait perdu toute noblesse. -Laissez donc cria Bachelard que linfortune du conseiller enchantait, elle vous jobardera encore.... Il ny a que la vertu, entendez-vous Prenez-moi une petite sans malice, innocente comme lenfant qui vient de naitre.... Alors, il ny a pas de danger, on dort tranquille. Cependant, Trublot fumait contre le mur, les jambes allongees. Il se reposait gravement, on loubliait. -Si ca vous demange, je saurai ladresse, dit-il. Je connais la bonne. Duveyrier se retourna, etonne de cette voix qui sortait du plancher; et, quand il lapercut fumant tout ce quil restait de Clarisse, soufflant de gros nuages de fumee, ou il croyait voir passer les vingt-cinq mille francs de meubles, il eut un geste de colere, il repondit: -Non, elle est indigne de moi.... Il faut quelle me demande pardon a genoux. -Tiens la voila qui revient dit Gueulin en pretant loreille. En effet, quelquun marchait dans lantichambre, une voix disait: "Eh bien? quest-ce donc? ils sont tous morts " Et ce fut Octave qui entra. Il etait ahuri de ces pieces vides, de ces portes ouvertes. Mais sa stupefaction grandit encore, lorsquil vit, au milieu du salon nu, les quatre hommes, un a terre, trois debout, eclaires seulement par la maigre bougie, que le conseiller tenait comme un cierge. On le mit au courant dun mot. -Pas possible cria-t-il. -On ne vous a donc rien dit, en bas? demanda Gueulin. -Mais non, le concierge ma tranquillement regarde monter.... Tiens ... Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)843.8Literature French and related languages French fiction Later 19th century 1848–1900Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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