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Chargement... El Segundo Anillo De Poder/the Second Ring of Power (édition 1986)par Carlos Castaneda
Information sur l'oeuvreLe second anneau de pouvoir par Carlos Castaneda
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ENTER THE SORCERESS! Back from the abyss, Castaneda encounter his greatest test on the journey towards impeccability and freedom: to outwit and overpower the sorcery of Doña Soledad, herself transformed from a defeated and meaningless life to a warrior, a hunter and a "stalker of power." Now the combat will begin. Now the journey will continue. Till the last danger is faced...the final paradox embraced. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)299.7Religions Other Religions By Region/Civilization Of North American OriginClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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> BAnQ (La presse, 26 mai 1979) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2410271
> Carlos Castaneda. – L’herbe du diable ou la petite fumée, Paris - Le Soleil Noir, 1972 ; Voir, Paris, Gallimard, 1973 ; Le voyage à Ixtlan, Paris, Gallimard, 1974 ; Histoires de pouvoir, Paris, Gallimard, 1978 ; Le second anneau de pouvoir, Paris, Gallimard, 1979 ; Le don de l’Aigle, Paris, Gallimard, 1982 ; Le feu du dedans, Paris, Gallimard, 1984 ; La force du silence, Paris, Gallimard, 1988. — En 1960, Carlos Castaneda, jeune anthropologue de l’Université de Los Angeles, spécialisé dans l’étude des plantes hallucinogènes, rencontre au Mexique un sorcier yaqui nommé Don Juan. Ce dernier, après avoir testé Carlos et mesuré son « inflexible résolution », qualité indispensable et fondamentale pour devenir « apprenti », accepte de lui transmettre sa science et de faire de lui un « homme de connaissance ». Commencent alors de longues années d’apprentissage, auprès de Don Juan et d’autres sorciers, apprentissage souvent ardu et douloureux qui prend parfois l’allure d’une aventure terrible et sans retour, où l’auteur, mené aux confins de lui-même, vit une transformation radicale de son être. Des relations extrêmement fortes s’installent entre Carlos et Don Juan ainsi que les autres sorciers et apprentis qu’il rencontre. Quel que soit son niveau de lecture et de compréhension, le lecteur est frappé par le caractère extraordinaire de ce maître sorcier qu’est Don Juan, par son étonnante pédagogie et par l’apothéose de cette relation maître-disciple où le maître, après avoir participé à la transformation radicale du disciple lui confère le titre de maître, assurant ainsi sa filiation.
Renverser les schémas connus, brûler tous les masques qui servent nos conditionnements afin de devenir « un homme de connaissance », voilà ce qu’enseigne le sorcier à l’anthropologue. Devenir « un homme de connaissance », c’est d’abord développer une écoute totale du corps, savoir accorder celui-ci aux tonalités du monde extérieur, apprendre à percevoir avec le corps tout entier, libérer le mental de cette surcharge d’activité que l’homme d’aujourd’hui s’impose et par là-même, chercher la vérité et non le savoir. Au cours de cette initiation, il apprend aussi à développer un nouveau rapport avec la nature ; celle-ci considérée comme « consciente » doit être traitée « impeccablement » de même que la création toute entière. Mieux encore, l’apprenti doit chercher à intérioriser le cosmos, à l’incorporer totalement jusqu’à créer un sentiment total d’unité avec le monde extérieur et pouvoir incarner l’esprit de chacun des éléments du cosmos. Autre thème récurrent de ces ouvrages : celui de la peur. Le « guerrier » cher à Don Juan doit cultiver en lui la force de poursuivre son apprentissage jusqu’au bout sans défaillir et surmonter avec succès toutes les épreuves les plus terrifiantes qui lui sont proposées pour extirper de lui ce fléau. Carlos est mis tout d’abord en situation d’expérimenter la peur afin d’évaluer soigneusement les sensations qu’elle génère et apprendre ensuite à la dominer en lui faisant face. La dominer aussi en se familiarisant avec la mort, et faire de celle-ci une alliée, un guide : « Il existe un étrange et brûlant bonheur dans le fait d’agir en sachant que cet acte peut tout aussi bien être le dernier de sa vie. Je te demande de reconsidérer la tienne et d’accomplir tes actions en pensant à cela ».
—Revue Française de Yoga, (1), Janv. 1990
> LE SECOND ANNEAU DE POUVOIR, de Carlos Castaneda. Traduit de l’anglais. (Gallimard (Coll. Témoins) 270 p. $14.95). — Le second anneau de pouvoir est, après Voir: les enseignements d’un sorcier Yaqui et Le voyage à Ixtlan: les leçons de don Juan, le troisième ouvrage relatant la longue initiation destinée à faire de l'apprenti, Castaneda, un homme de connaissance. C'est dans un autre monde que nous conduit maintenant Castaneda, l'apprenti abandonné à lui-même après le départ de son maître don Juan et et son benefactor don Genaro. Dans un décor de collines rongées par l'érosion, de canons isolés et de maisons à la géographie étrange, Carlos le guerrier va livrer son premier combat de sorcier en pleine possession de ses moyens. Cette nouvelle étape du voyage vers l'impeccabilité, où l'ancien disciple se trouve contraint de mettre en application dans une vie réelle les enseignements du maître, constitue, dans le Cycle de don Juan, une mutation capitale. Jamais Castaneda n'était allé aussi loin.
—Le devoir, 17 mars 1979 ( )