Bon roman malgré une grosse déception sur le dernier tiers du roman. J'ai retrouvé le Tom Wolfe du Bucher des vanités, un Homme un vrai, Moi Charlotte Simpsons... une description captivante de la ville de Miami et ses banlieues, des différentes population qui y cohabitent ou plutôt des communautés qui y vivent les unes à côté des autres dans la défiance permanente des autres, .. une plongée sidérante dans la société américaine de cette ville et région de la Floride. Mais est-ce du à la maladie de Tom Wolfe, tout d'un coup j'ai eu le sentiment que l'on basculait dans un thriller très ordinaire, le sentiment que l'auteur ne savait plus comment finir son roman. Bref à lire pour les deux premiers tiers du livre, mais ce n'est pas du niveau des best-sellers de Tom Wolfe.

Tout le monde… tous… c’est la voix du sang! La religion est moribonde… et pourtant tout le monde a encore besoin de croire en quelque chose. Ce serait intolérable - personne ne pourrait le supporter - d’être finalement obligé de se dire, « pourquoi continuer à feindre ? Je ne suis qu’un atome perdu à l’intérieur d’un super collision sur qu’on appelle l’univers » Mais croire en ne signifie-y-il pas par définition aveuglement, irrationnellent ? Alors mon peuple il ne reste plus pour nous unir que la lignée, le sang qui court dans nos veines. La Raza crient les Portiricains »La Race » crie le monde entier. Tous ces hommes partout dans le monde n’en étendent plus qu’une chose - mardi voix du sang - Vous les hommes partout dan sle monde vous n’avez pas le choix c’est la voix du sang (p33) ( )